Aide-toi et le ciel d’aidera. Les villageois d’Adebem, Godjiboué, Gobroko et Sago ont compris qu’avant de compter sur les autres, ils doivent d’abord compter sur eux-mêmes. Ainsi, en quelques mois et grâce à la bonne volonté de leur frère Gbalé Dapleu Lazare, ils ont cultivé de grandes superficies de rizières. Sans grand moyen. Des dabas, des machettes et surtout leurs mains. Dans ce mois de fortes pluies, le riz a déjà germé et bientôt ce sera la récolte. Mais, tout le monde pense déjà à la prochaine semence. Avec quel moyen ? Les mêmes moyens rudimentaires ?
Après la phase expérimentale, il faudrait maintenant passer à la modernisation des exploitations. Il faut certes des bottes, des pelles, des gants etc, mais il faut surtout des motoculteurs, des produits phytosanitaires, des pulvérisateurs. Les villageois l’ont dit eux-mêmes. Ils ont aussi besoin d’un encadrement adéquat. Pour produire selon les techniques modernes et obtenir les rendements escomptés. Aider ces jeunes, c’est une façon de lutter contre l’insécurité alimentaire.
A.K
Après la phase expérimentale, il faudrait maintenant passer à la modernisation des exploitations. Il faut certes des bottes, des pelles, des gants etc, mais il faut surtout des motoculteurs, des produits phytosanitaires, des pulvérisateurs. Les villageois l’ont dit eux-mêmes. Ils ont aussi besoin d’un encadrement adéquat. Pour produire selon les techniques modernes et obtenir les rendements escomptés. Aider ces jeunes, c’est une façon de lutter contre l’insécurité alimentaire.
A.K