La noblesse du métier du journalisme interpelle. A cet effet les structures de régulation et le gouvernement ivoirien ont pris un certain nombre de mesures à la grande satisfaction des lecteurs. Malheureusement, ces mesures n’empêchent pas les brebis galeuses qui avaient vite profité de la désorganisation du secteur pour embrasser ce métier - d’opérer. On voit encore aujourd’hui des écrits de certains journaux dirigés injustement contre des personnalités. Sinon comment comprendre qu’on veuille coûte que coûte impliquer le Directeur général du Port d’Abidjan dans une affaire qui oppose les dockers à leur employeur. Pourquoi doit-on forcément voir la main de Monsieur Gossio dans les affaires internes au bureau des dockers ? Pourtant, le rôle de régulateur dont jouit le port a toujours conduit les autorités portuaires à rechercher l’entente entre la SEMPA et ses employés à travers des rencontres. Chaque fois qu’il s’est posé un problème entre les deux parties, la direction générale du Port s’est toujours mobilisée pour rechercher l’accalmie. Jamais le Port n’a pris de mesure relativement à la gestion des dockers à l’insu de la SEMPA. Pourquoi alors cherche-t-on forcément à traîner négativement le DG du Port d’Abidjan dans cette affaire. A l’extérieur, il est difficile de comprendre qu’on puisse laisser écrire des insanités sur le compte d’une personnalité comme Marcel Gossio qui a hissé le Port d’Abidjan au rang des grands port. Cet homme qui a été le véritable précurseur de l’intégration sous régionale mérite-il vraiment ces injures ? Il y a même des gens qui mangeaient hier à sa table qui le trouvent subitement méchant. Allez-y comprendre quelque chose. Nous y reviendrons en dévoilant l’identité de ces ingrats. Marcel Gossio, yako !
D.Z
D.Z
