Située à 25 km du centre de Yaoundé, la capitale camerounaise, sur la route de Douala, la principale ville du pays, la toute nouvelle académie de la Confédération africaine de football (CAF) a fière allure. Dans le calme douillet d’une végétation luxuriante qui l’entoure, à laquelle mène une bretelle de 3km entièrement bitumée, elle est un lieu idéal pour la concentration des acteurs du sport de haut niveau.
Le complexe, qui comprend un hôtel tout confort de 20 chambres, deux terrains de football dont l’un est en gazon artificiel, un bâtiment administratif, deux piscines, un terrain multisports et un forage d’eau potable, s’étend sur une superficie de 23 hectares. Branché au réseau de distribution de l’énergie électrique locale, il dispose en plus de trois générateurs performants pour pallier toute panne électrique.
Ce joyau, dont les travaux ont débuté en décembre 2006, a été réalisé par l’entreprise égyptienne Shorouk. «Nous devons une fière chandelle au gouvernement camerounais, qui nous a permis de réduire les coûts de cette opération en exonérant des taxes douanières l’ensemble des travaux et des matériaux nécessaires à l’édification de l’académie», avait déclaré le président de la CAF, Issa Hayatou, lors de la visite du chantier le 16 mai 2008, en marge d’une réunion du Comité exécutif de la CAF tenue à Yaoundé.
La création des académies de la CAF entre en droite ligne dans le programme de la CAF qui vise un développement harmonieux du football sur le continent. Chaque académie CAF, dirigée par un directeur, est destinée à accueillir des cours et séminaires régionaux pour instructeurs de haut niveau dans les quatre domaines suivants : arbitrage, entraînement, administration et médecine sportive.
L’académie de Yaoundé est, avec Dakar et Addis Abeba, l’une des trois académies régionales dont la construction est déjà achevée, et qui a la capacité, en dehors de sessions de formation propres à la CAF, d’accueillir d’autres regroupements de sportifs africains. Elle servira de base régionale à toute l’Afrique centrale, laquelle, faut-il le rappeler, accueillera, pour la première fois depuis la CAN 1972 au Cameroun, une phase finale de la Coupe d’Afrique des nations en 2012 (Gabon et Guinée).
Cafonline.com
Le complexe, qui comprend un hôtel tout confort de 20 chambres, deux terrains de football dont l’un est en gazon artificiel, un bâtiment administratif, deux piscines, un terrain multisports et un forage d’eau potable, s’étend sur une superficie de 23 hectares. Branché au réseau de distribution de l’énergie électrique locale, il dispose en plus de trois générateurs performants pour pallier toute panne électrique.
Ce joyau, dont les travaux ont débuté en décembre 2006, a été réalisé par l’entreprise égyptienne Shorouk. «Nous devons une fière chandelle au gouvernement camerounais, qui nous a permis de réduire les coûts de cette opération en exonérant des taxes douanières l’ensemble des travaux et des matériaux nécessaires à l’édification de l’académie», avait déclaré le président de la CAF, Issa Hayatou, lors de la visite du chantier le 16 mai 2008, en marge d’une réunion du Comité exécutif de la CAF tenue à Yaoundé.
La création des académies de la CAF entre en droite ligne dans le programme de la CAF qui vise un développement harmonieux du football sur le continent. Chaque académie CAF, dirigée par un directeur, est destinée à accueillir des cours et séminaires régionaux pour instructeurs de haut niveau dans les quatre domaines suivants : arbitrage, entraînement, administration et médecine sportive.
L’académie de Yaoundé est, avec Dakar et Addis Abeba, l’une des trois académies régionales dont la construction est déjà achevée, et qui a la capacité, en dehors de sessions de formation propres à la CAF, d’accueillir d’autres regroupements de sportifs africains. Elle servira de base régionale à toute l’Afrique centrale, laquelle, faut-il le rappeler, accueillera, pour la première fois depuis la CAN 1972 au Cameroun, une phase finale de la Coupe d’Afrique des nations en 2012 (Gabon et Guinée).
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