Fer de lance de la sélection nationale du Bénin Stéphane Sésségnon garde intactes ses origines ivoiriennes. Présent à Abidjan cet été, le milieu de terrain du PSG a tenu a les réaffirmer. Il évoque également son parcours, l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, son avenir immédiat et les éliminatoires couplées Can-Mondial 2010.
Des Requins du Bénin au PSG en passant Créteil et Le Mans comment appréciez-vous votre parcours ?
Je ne dirai pas que tel ou tel club a été le summum pour moi. Je crois que je me suis plutôt adapté à chaque conteste auquel j’ai été confronté. Pour ma première année en Europe je vous assure que ce n’était pas évident. Mais il faut dire qu’un club comme Le Mans m’a permis de franchir un autre palier de ma carrière. Avec Paris c’est une autre étape de ma carrière que j’essaie de négocier au mieux.
Porter le maillot du PSG était un objectif pour vous. Aujourd’hui que vous y êtes savourez-vous une certaine satisfaction ?
On n’est jamais satisfait de ce qu’on fait. Et c’est sûr que j’ai encore beaucoup à apprendre au niveau du football professionnel. Dieu merci tout se passe bien pour moi actuellement. Mais il va falloir encore travailler et surtout avoir la tête sur les épaules pour continuer de progresser. Je n’ai pas encore atteint le niveau des grands footballeurs que l’on connaît. Je dirai que je suis plutôt entrain de construite quelque chose que j’espère sera grand. Etait-il évident pour vous d’évoluer au sein d’un club en proie à de multiples problèmes de gestion ?
J’ai su m’adapter à l’environnement et au club. Mais vous savez que pour tout joueur il y a un peu de chance et j’ai su saisir la mienne. Paris, ce n’est vraiment pas un club évident. Et je ne vous apprends rien. Avec tout les problèmes que le club a connu et connaît toujours, je crois c’est assez difficile de se concentrer sur son objectif. Mais je suis un footballeur professionnel et si je savais où je mets les pieds, c’est sûr que je me suis apprêté à faire face à toute difficulté tant sur le terrain qu’en dehors. Je m’en sors c’est vrai, mais je dois dire que ce n’est pas facile de porter le maillot du PSG.
Pensez-vous continuer l’aventure avec le PSG surtout qu’il y a l’appel de Chelsea ?
Pour l’instant nous sommes en négociation. Le club veut que je reste. Maintenant il y a des propositions que mon agent et moi examinons. C’est vrai que tout le monde parle de Chelsea. Mais rien n’est encore décidé. On discute toujours et je crois que nous allons prendre une décision cette semaine.
Avec du recul est-ce qu’il ne vous arrive pas de penser que vous auriez pu appartenir aux Eléphants de Côte d’Ivoire ?
Je ne veux pas revenir sur ce sujet. C’est vrai qu’à entendre les noms qui composent l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, ça fait rêver. Mais j’ai eu à faire un choix, c’est celui du Bénin et j’assume mon choix jusqu’au bout. Toutefois je reste un Ivoirien qui est attaché à son pays.
Regrettez-vous par moment ce choix de l’équipe nationale du Bénin au détriment des Eléphants de Côte d’Ivoire ?
Il ne faut pas regretter, il ne faut surtout pas regretter les choix que nous faisons. C’est vrai que j’aurai bien voulu appartenir aux Eléphants de Côte d’Ivoire mais j’ai choisi les Ecureuils du Bénin et je dois dire que je me sens bien dans cette sélection.
Le Bénin réalise des débuts difficiles en éliminatoires de la Can-Mondial 2010. Vous pensez pouvoir décrocher l’un des deux tickets ?
On y croit toujours. Mais je pense que décrocher le ticket pour la Coupe du Monde en Afrique du Sud, ça sera difficile. Mais un autre objectif est de participer à la CAN 2010 et on se battra pour se rendre en Angola.
starafric.com
Des Requins du Bénin au PSG en passant Créteil et Le Mans comment appréciez-vous votre parcours ?
Je ne dirai pas que tel ou tel club a été le summum pour moi. Je crois que je me suis plutôt adapté à chaque conteste auquel j’ai été confronté. Pour ma première année en Europe je vous assure que ce n’était pas évident. Mais il faut dire qu’un club comme Le Mans m’a permis de franchir un autre palier de ma carrière. Avec Paris c’est une autre étape de ma carrière que j’essaie de négocier au mieux.
Porter le maillot du PSG était un objectif pour vous. Aujourd’hui que vous y êtes savourez-vous une certaine satisfaction ?
On n’est jamais satisfait de ce qu’on fait. Et c’est sûr que j’ai encore beaucoup à apprendre au niveau du football professionnel. Dieu merci tout se passe bien pour moi actuellement. Mais il va falloir encore travailler et surtout avoir la tête sur les épaules pour continuer de progresser. Je n’ai pas encore atteint le niveau des grands footballeurs que l’on connaît. Je dirai que je suis plutôt entrain de construite quelque chose que j’espère sera grand. Etait-il évident pour vous d’évoluer au sein d’un club en proie à de multiples problèmes de gestion ?
J’ai su m’adapter à l’environnement et au club. Mais vous savez que pour tout joueur il y a un peu de chance et j’ai su saisir la mienne. Paris, ce n’est vraiment pas un club évident. Et je ne vous apprends rien. Avec tout les problèmes que le club a connu et connaît toujours, je crois c’est assez difficile de se concentrer sur son objectif. Mais je suis un footballeur professionnel et si je savais où je mets les pieds, c’est sûr que je me suis apprêté à faire face à toute difficulté tant sur le terrain qu’en dehors. Je m’en sors c’est vrai, mais je dois dire que ce n’est pas facile de porter le maillot du PSG.
Pensez-vous continuer l’aventure avec le PSG surtout qu’il y a l’appel de Chelsea ?
Pour l’instant nous sommes en négociation. Le club veut que je reste. Maintenant il y a des propositions que mon agent et moi examinons. C’est vrai que tout le monde parle de Chelsea. Mais rien n’est encore décidé. On discute toujours et je crois que nous allons prendre une décision cette semaine.
Avec du recul est-ce qu’il ne vous arrive pas de penser que vous auriez pu appartenir aux Eléphants de Côte d’Ivoire ?
Je ne veux pas revenir sur ce sujet. C’est vrai qu’à entendre les noms qui composent l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, ça fait rêver. Mais j’ai eu à faire un choix, c’est celui du Bénin et j’assume mon choix jusqu’au bout. Toutefois je reste un Ivoirien qui est attaché à son pays.
Regrettez-vous par moment ce choix de l’équipe nationale du Bénin au détriment des Eléphants de Côte d’Ivoire ?
Il ne faut pas regretter, il ne faut surtout pas regretter les choix que nous faisons. C’est vrai que j’aurai bien voulu appartenir aux Eléphants de Côte d’Ivoire mais j’ai choisi les Ecureuils du Bénin et je dois dire que je me sens bien dans cette sélection.
Le Bénin réalise des débuts difficiles en éliminatoires de la Can-Mondial 2010. Vous pensez pouvoir décrocher l’un des deux tickets ?
On y croit toujours. Mais je pense que décrocher le ticket pour la Coupe du Monde en Afrique du Sud, ça sera difficile. Mais un autre objectif est de participer à la CAN 2010 et on se battra pour se rendre en Angola.
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