Le Conseil Municipal, conduit par la liste du Front populaire ivoirien dénommée «La Refondation» est sorti vainqueur des élections municipales de 2001. Cette liste conduite par M. Kouamé AIIou Jean a réalisé de 2001 à 2007 tous les projets (50). Le coût global de ces travaux s'élève à 480 548 000 FCFA. Pour l'exercice 2008, selon M. Kouamé AIIou, six projets sont en cours et représente une somme de 32 450 000 FCFA. Huit autres sont en voie d'achèvement soit un investissement de 8 700 000 CFA. Selon le maire, l'accent a été mis sur l'électrification des quartiers de la commune, l'éducation nationale, etc. En ce qui concerne l'électrification, Bétékro, l'axe principal, le marché de nuit, la gare routière, le quartier résidentiel, Koffikro-Kinikro ont été entièrement électrifiés. Dans le domaine de l'éducation nationale, M. Kouamé AIIou Jean et son équipe n'ont pas lésiné sur les moyens pour réaliser certaines infrastructures scolaires. Ainsi des salles de classes et plusieurs logements de maîtres ont été construits. L'ouverture des rues, l'hôtel communal, le grand marché, le foyer polyvalent, etc. n'ont pas été oubliés. Ces infrastructures ont été également réhabilitées.
Le maire nourrit de grandes ambitions pour sa commune. Il veut en faire une des plus belles villes de la Côte d'Ivoire en général et en particulier de la région du N'Zi-Comoé. Pour cela, il est en train de prendre des contacts avec certains partenaires étrangers pour la réalisation de certains grands projets. C'est pourquoi M. Kouamé Allou Jean souhaite que la crise prenne fin pour que l'Etat dégage suffisamment de moyens pour les communes en vue de leur développement. Aussi lance-t-il un appel aux cadres de n'importe quel bord politique que la commune n'est pas la seule affaire d'un homme ou d'un parti politique.
J.G.
Le maire nourrit de grandes ambitions pour sa commune. Il veut en faire une des plus belles villes de la Côte d'Ivoire en général et en particulier de la région du N'Zi-Comoé. Pour cela, il est en train de prendre des contacts avec certains partenaires étrangers pour la réalisation de certains grands projets. C'est pourquoi M. Kouamé Allou Jean souhaite que la crise prenne fin pour que l'Etat dégage suffisamment de moyens pour les communes en vue de leur développement. Aussi lance-t-il un appel aux cadres de n'importe quel bord politique que la commune n'est pas la seule affaire d'un homme ou d'un parti politique.
J.G.
