Wêrê-Wêrê Liking et les Reines mères ont présenté récemment “Profession femme“, leur prochain album, le jeudi dernier, au village Ki-Yi à la Riviera II, à l’occasion d’une cérémonie organisée à cet effet.
Selon Nserel Njock, membre de ce groupe, c’est une œuvre de treize titres qui fusionnent les sonorités panafricaines pour contribuer à la préservation des valeurs africaines. Pour elle, “Profession femme” interpelle les femmes dans toutes leurs responsabilités d’éducatrices. Car, dit-elle, il faut savoir donner la vie, mais il faut savoir la préserver. Elle a aussi affirmé que ce nouvel album se veut sensibilisateur de la jeunesse pour une meilleure prise de conscience. “Nous souhaitons insuffler le courage et la pratique continue de la paix, à travers les arts et le spectacle”, a-t-elle mentionné.
Cette cérémonie marquée par les prestations de DJ Volcano, de Pape Gnepo, tous deux issus du village Ki-yi, et de la prestation live des Reines mères, était aussi le lieu de faire la dédicace de “La mémoire amputée”, un roman écrit par Wêrê Wêrê-Liking. Selon l’auteur, ce roman met en couleur les maux de l’Afrique. “Il est destiné à tous ceux qui veulent s’ouvrir à la vie, et veut ainsi leur dire qu’il est possible d’avancer”, a-t-elle souligné. Aussi, a-t-elle indiqué que cette oeuvre a reçu plusieurs distinctions, dont le prix “The book of the year”, en 2008, attribué par une université de New York.
“La culture, c’est ce qui reste quand on a tout perdu”, a déclaré le parrain de cette manifestation, Boua Ahmed Touré, PCA de SOFIA immobilier. Pour lui, Les Reines mères oeuvrent pour pérenniser la culture africaine. C’est pourquoi il a promis de leur offrir 3 hectares de terrain et de s’investir pour la construction du village Ki-Yi nouveau, à la dimension de la culture que ses filleules ne cessent de défendre.
Sonia Dia (Stagiaire)
Selon Nserel Njock, membre de ce groupe, c’est une œuvre de treize titres qui fusionnent les sonorités panafricaines pour contribuer à la préservation des valeurs africaines. Pour elle, “Profession femme” interpelle les femmes dans toutes leurs responsabilités d’éducatrices. Car, dit-elle, il faut savoir donner la vie, mais il faut savoir la préserver. Elle a aussi affirmé que ce nouvel album se veut sensibilisateur de la jeunesse pour une meilleure prise de conscience. “Nous souhaitons insuffler le courage et la pratique continue de la paix, à travers les arts et le spectacle”, a-t-elle mentionné.
Cette cérémonie marquée par les prestations de DJ Volcano, de Pape Gnepo, tous deux issus du village Ki-yi, et de la prestation live des Reines mères, était aussi le lieu de faire la dédicace de “La mémoire amputée”, un roman écrit par Wêrê Wêrê-Liking. Selon l’auteur, ce roman met en couleur les maux de l’Afrique. “Il est destiné à tous ceux qui veulent s’ouvrir à la vie, et veut ainsi leur dire qu’il est possible d’avancer”, a-t-elle souligné. Aussi, a-t-elle indiqué que cette oeuvre a reçu plusieurs distinctions, dont le prix “The book of the year”, en 2008, attribué par une université de New York.
“La culture, c’est ce qui reste quand on a tout perdu”, a déclaré le parrain de cette manifestation, Boua Ahmed Touré, PCA de SOFIA immobilier. Pour lui, Les Reines mères oeuvrent pour pérenniser la culture africaine. C’est pourquoi il a promis de leur offrir 3 hectares de terrain et de s’investir pour la construction du village Ki-Yi nouveau, à la dimension de la culture que ses filleules ne cessent de défendre.
Sonia Dia (Stagiaire)