Hier, a été officiellement lancé le Festival de la route des reines et rois. Du 2 au 7 août en Côte d’Ivoire, puis du 8 au 15 août, du Ghana au Bénin, en passant par le Togo, la 7e édition du «Festival international de la route des reines et des rois» (Festiroi), revêt entièrement son caractère multinational, cette année, en parcourant au moins une vingtaine de localités de la sous-région ouest-africaine.
La cérémonie officielle de lancement s’est déroulée, hier, à l’hôtel Pullmann d’Abidjan. Pour le Pr Urbain Amoa, recteur de l’Université Charles Louis de Montesquieu (Uclm) et président du directoire de l’Académie des arts, des civilisations et du développement endogène (Aacde), initiatrice de la caravane, le point focal et centre névralgique de l’édition, sera la (re) découverte du royaume de Kong. Qui a connu son apogée entre 1700 et 1900.
A juste titre, la 7e édition du Festiroi est placée sous le parrainage du Dr Alassane Dramane Ouattara (Ado), président du Rassemblement des républicains (Rdr) et ancien Premier ministre ivoirien, entre autres hautes fonctions qu’il a occupées, et surtout figure de proue de la ville contemporaine de Kong.
C’est pourquoi, représentant le parrain, la secrétaire générale de son parti et ancienne ministre (de la Culture, puis de la Justice), l’historienne Henriette Diabaté, se félicitera de cette option de préserver le patrimoine historique en y associant scientifiques et garants de la tradition. Aussi, assurera-t-elle les organisateurs du soutien d’Alassane Ouattara pour la réussite de l’évènement. Cette édition s’articulera autour du thème central: «Royautés, chefferies traditionnelles et nouvelles gouvernances : intercompréhension, développement communautaire et actions pour la paix».
Les localités de Songon, Dabou, Sikensi, Toumodi, Dimbokro, Yamoussoukro, Bouaké, Katiola, Ferké, Nafana, Kong (Côte d’Ivoire), Kumasi, Winneba (Ghana), Lomé, Aneho (Togo), Ouidah, Porto-Novo, Abomey et Cotonou (Bénin) seront visitées par les festivaliers. Au nombre desquels on comptera une centaine de têtes couronnées, une vingtaine de danseurs (ses), une cinquantaine de prêtres et prêtresses traditionnels et près de 500 étudiants et universitaires, journalistes et autres invités institutionnels, essentiellement originaires d’Afrique de l’Ouest et du Centre. L’on notait les présences distinguées de plusieurs rois et chefs nationaux et étrangers, à la cérémonie de lancement. Dont celle remarquée du président du Conseil des chefs traditionnels du Bénin.
Rémi Coulibaly
La cérémonie officielle de lancement s’est déroulée, hier, à l’hôtel Pullmann d’Abidjan. Pour le Pr Urbain Amoa, recteur de l’Université Charles Louis de Montesquieu (Uclm) et président du directoire de l’Académie des arts, des civilisations et du développement endogène (Aacde), initiatrice de la caravane, le point focal et centre névralgique de l’édition, sera la (re) découverte du royaume de Kong. Qui a connu son apogée entre 1700 et 1900.
A juste titre, la 7e édition du Festiroi est placée sous le parrainage du Dr Alassane Dramane Ouattara (Ado), président du Rassemblement des républicains (Rdr) et ancien Premier ministre ivoirien, entre autres hautes fonctions qu’il a occupées, et surtout figure de proue de la ville contemporaine de Kong.
C’est pourquoi, représentant le parrain, la secrétaire générale de son parti et ancienne ministre (de la Culture, puis de la Justice), l’historienne Henriette Diabaté, se félicitera de cette option de préserver le patrimoine historique en y associant scientifiques et garants de la tradition. Aussi, assurera-t-elle les organisateurs du soutien d’Alassane Ouattara pour la réussite de l’évènement. Cette édition s’articulera autour du thème central: «Royautés, chefferies traditionnelles et nouvelles gouvernances : intercompréhension, développement communautaire et actions pour la paix».
Les localités de Songon, Dabou, Sikensi, Toumodi, Dimbokro, Yamoussoukro, Bouaké, Katiola, Ferké, Nafana, Kong (Côte d’Ivoire), Kumasi, Winneba (Ghana), Lomé, Aneho (Togo), Ouidah, Porto-Novo, Abomey et Cotonou (Bénin) seront visitées par les festivaliers. Au nombre desquels on comptera une centaine de têtes couronnées, une vingtaine de danseurs (ses), une cinquantaine de prêtres et prêtresses traditionnels et près de 500 étudiants et universitaires, journalistes et autres invités institutionnels, essentiellement originaires d’Afrique de l’Ouest et du Centre. L’on notait les présences distinguées de plusieurs rois et chefs nationaux et étrangers, à la cérémonie de lancement. Dont celle remarquée du président du Conseil des chefs traditionnels du Bénin.
Rémi Coulibaly
