Un gigantesque incendie a ravagé récemment trois appartements à Yopougon-Toits rouges, non loin du collège moderne Ségbé. Selon des témoignages recueillis sur place, l'incendie dont l'origine n'est pas encore élucidée a causé de nombreux dégâts matériels. Heureusement, il n'y a pas eu de perte en vie humaine. L'appartement n°2631 appartenant à Mme Diarra Ahoua, standadiste au district d'Abidjan, a été entièrement ravagé par les flammes. Pas une seule aiguille n'a été trouvée. Ses bijoux, ses trois ventilateurs, ses deux minichaînes Hi-Fi, son réfrigérateur, son poste-téléviseur, ses ustensils de cuisine, le mobilier, ses vêtements et ceux de ses enfants et petits enfants sont partis en fumée.
C'est une dame inconsolable qui a relaté les faits en ces termes : “C'est un coup de fil de la servante qui m'a fait rentrer précipitamment à la maison. Le feu qui était au salon s'est vite propagé dans les trois chambres qui se sont embrasées. Les flammes qui étaient violentes ne nous ont pas permis de sauver quelque chose. Même les sapeurs pompiers n'ont rien pu faire. Ils ont pu cependant arrêter la propagation des flammes chez mes trois voisins. Tous mes dossiers administratifs et les diplômes de mes enfants qui passaient des concours ont été dévorés par les flammes. Je m'en remets aux âmes de bonne volonté pour me sauver après mes 25 ans de service ruinés par le feu”. Mme Diarra Ahoua en larme ne sait à quel saint se vouer dans cette épreuve difficile qu'elle traverse en ce moment.
Les forces de l'ordre ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cet incendie.
Didier Kéï
C'est une dame inconsolable qui a relaté les faits en ces termes : “C'est un coup de fil de la servante qui m'a fait rentrer précipitamment à la maison. Le feu qui était au salon s'est vite propagé dans les trois chambres qui se sont embrasées. Les flammes qui étaient violentes ne nous ont pas permis de sauver quelque chose. Même les sapeurs pompiers n'ont rien pu faire. Ils ont pu cependant arrêter la propagation des flammes chez mes trois voisins. Tous mes dossiers administratifs et les diplômes de mes enfants qui passaient des concours ont été dévorés par les flammes. Je m'en remets aux âmes de bonne volonté pour me sauver après mes 25 ans de service ruinés par le feu”. Mme Diarra Ahoua en larme ne sait à quel saint se vouer dans cette épreuve difficile qu'elle traverse en ce moment.
Les forces de l'ordre ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cet incendie.
Didier Kéï