ABIDJAN - Les médecins ivoiriens ont suspendu lundi "pour deux semaines" leur grève déclenchée mi-juin, dans l'attente d'obtenir la satisfaction de leurs revendications salariales, a-t-on appris de source syndicale.
"Le mot d'ordre de grève est suspendu pour deux semaines seulement, parce que le problème de la revalorisation salariale, qui est le point culminant de la plate-forme revendicative, n'a pas encore été satisfait", a déclaré à l'AFP le Dr Serge Anoma, indiquant que les médecins avaient repris le travail dans la matinée.
"D'ici là, nous espérons que le gouvernement va emprunter la voie de la sagesse", a ajouté le porte-parole du Syndicat national des cadres supérieurs de la santé de Côte d'Ivoire (Synacass-CI).
Le responsable a affirmé que son syndicat avait obtenu notamment l'engagement du gouvernement d'intégrer à la fonction publique certains personnels hospitaliers ayant un statut de "contractuel".
Plusieurs syndicats de la santé s'étaient joints au mouvement de grève avec "service minimum" lancé par le Synacass le 15 juin.
Durant cette période, les trois centres hospitaliers et universitaires
(CHU) d'Abidjan ont tourné au ralenti, de même que de nombreux dispensaires à l'intérieur du pays.
"Le mot d'ordre de grève est suspendu pour deux semaines seulement, parce que le problème de la revalorisation salariale, qui est le point culminant de la plate-forme revendicative, n'a pas encore été satisfait", a déclaré à l'AFP le Dr Serge Anoma, indiquant que les médecins avaient repris le travail dans la matinée.
"D'ici là, nous espérons que le gouvernement va emprunter la voie de la sagesse", a ajouté le porte-parole du Syndicat national des cadres supérieurs de la santé de Côte d'Ivoire (Synacass-CI).
Le responsable a affirmé que son syndicat avait obtenu notamment l'engagement du gouvernement d'intégrer à la fonction publique certains personnels hospitaliers ayant un statut de "contractuel".
Plusieurs syndicats de la santé s'étaient joints au mouvement de grève avec "service minimum" lancé par le Synacass le 15 juin.
Durant cette période, les trois centres hospitaliers et universitaires
(CHU) d'Abidjan ont tourné au ralenti, de même que de nombreux dispensaires à l'intérieur du pays.