Ce soir, en prime time, après le Journal télévisé de 20h, sera diffusée l’émission «Moov Fair-play», toute dédiée à la fraternité ivoiro-burkinabé par le canal du football.
En effet, au-delà des enjeux sportifs, le confrère Erico Séry fait une incursion avant, pendant et après le dernier match Burkina-Faso/Côte d’Ivoire, qualificatif pour la Can et le Mondial 2010, dans l’antre des Etalons à Ouagadougou.
En effet, loin des passions, le jeune reporter ivoirien, sous un aspect ludique, inculque aux téléspectateurs, les plus jeunes et amoureux du foot, les valeurs du respect de l’autre, du partage d’une passion et d’esprit de compétition dans le sens du fair-play. En outre, que ce soit dans ce numéro de l’émission ou les précédentes, une large part est accordée à la promotion de la culture ivoirienne dont les stars du foot sont de dignes ambassadeurs, en Europe notamment. Dans ce numéro, on verra donc les Ivoiriens Baky Koné, Zokora Didier Maestro, Barry Copa, entre autres, face aux Burkinabè Charles Kaboré, Moumouni Dagano, Aristide Bansé…, exécutant des pas de danses de musiques urbaines «made in Côte d’Ivoire» malgré la pression d’avant-match et/ou malgré la défaite du onze du Pays des hommes intègres devant les Eléphants, sur leurs installations du stade du 4 août.
Côté cour et jardin, l’émission présente ces vedettes internationales du ballon rond avec leurs familles, à l’entraînement, dans leurs loisirs aux fins de montrer qu’en dépit de tout, que les Kalou, Kolo, Gnégnéry, Kader Kéita, Gervinho, Adebayor, Malouda et autres, sont accessibles, sont des citoyens ordinaires, modèles pour leurs cadets qui voudraient embrasser une carrière professionnelle. Ce sentiment, à Abidjan comme à Ouaga, est partagé par les supporters. Qui, malgré l’enjeu de la rencontre, ont chanté, dansé et repris en chœur les hymnes d’intégration dont la Côte d’Ivoire et le Burkina sont des exemples achevés en Afrique, loin de toute connotation politicienne.
R. C
En effet, au-delà des enjeux sportifs, le confrère Erico Séry fait une incursion avant, pendant et après le dernier match Burkina-Faso/Côte d’Ivoire, qualificatif pour la Can et le Mondial 2010, dans l’antre des Etalons à Ouagadougou.
En effet, loin des passions, le jeune reporter ivoirien, sous un aspect ludique, inculque aux téléspectateurs, les plus jeunes et amoureux du foot, les valeurs du respect de l’autre, du partage d’une passion et d’esprit de compétition dans le sens du fair-play. En outre, que ce soit dans ce numéro de l’émission ou les précédentes, une large part est accordée à la promotion de la culture ivoirienne dont les stars du foot sont de dignes ambassadeurs, en Europe notamment. Dans ce numéro, on verra donc les Ivoiriens Baky Koné, Zokora Didier Maestro, Barry Copa, entre autres, face aux Burkinabè Charles Kaboré, Moumouni Dagano, Aristide Bansé…, exécutant des pas de danses de musiques urbaines «made in Côte d’Ivoire» malgré la pression d’avant-match et/ou malgré la défaite du onze du Pays des hommes intègres devant les Eléphants, sur leurs installations du stade du 4 août.
Côté cour et jardin, l’émission présente ces vedettes internationales du ballon rond avec leurs familles, à l’entraînement, dans leurs loisirs aux fins de montrer qu’en dépit de tout, que les Kalou, Kolo, Gnégnéry, Kader Kéita, Gervinho, Adebayor, Malouda et autres, sont accessibles, sont des citoyens ordinaires, modèles pour leurs cadets qui voudraient embrasser une carrière professionnelle. Ce sentiment, à Abidjan comme à Ouaga, est partagé par les supporters. Qui, malgré l’enjeu de la rencontre, ont chanté, dansé et repris en chœur les hymnes d’intégration dont la Côte d’Ivoire et le Burkina sont des exemples achevés en Afrique, loin de toute connotation politicienne.
R. C