Le bureau ivoirien des droits d`auteur (Burida) tiendra son Assemblée générale, bientôt. Avant cette rencontre, Armand Obou, l`administrateur provisoire du Burida après deux ans, a dressé son bilan.
Après deux années d`Administration provisoire passées à la tête du Bureau ivoirien des droits d`auteur (Burida), Armand Gérard Obou à l’heure du bilan. A cet effet, a eu lieu jeudi dernier, au Café de Rome au Plateau, un cocktail de remerciement à la presse. L`occasion a été donnée à Armand Gérard Obou pour offrir un téléviseur écran plasma et une pléthore de présents dont des dictaphones à l`union des journalistes culturels de Côte d`Ivoire (Ujocci). `` Pour ce qui a été de ces deux années passées a la tête du Burida, je peux dire que le bilan est positif. Moi, je pense que j`ai joué ma partition. Il est grand temps pour moi de ranger mes bagages”. Déclare-t-il. Il a tenu à faire remarquer que ces résultats positifs qui devraient déboucher sur la cession de structure de gestion du droit d`auteur aux créateurs d`œuvres de l`esprit, conformément à la volonté exprimée par le chef de l`Etat, SEM Laurent Gbagbo, sont le fruit d`une saine collaboration avec toute l`équipe du Burida. Mais aussi le fait du soutien de ses enfants et son épouse. Toutefois, certains employés du Burida restent mécontents face à cette décision prise. Car, sous le mandat de Gérard Armand Obou, le ministère de la culture et de la francophonie avait prévu une décoration des agents du Burida. Avec en premier lieu, l`administrateur provisoire. Les médailles nécessaires avaient été déjà achetées par le Bureau. Aux dernières nouvelles, les employés apprennent que le ministère s`est rebiffé de ces engagements sans raison valable. Pour ce qui est du départ de Armand Obou, certains employés comme des artistes sont contre. Car pour eux, Armand Obou n`a pas accompli la mission pour laquelle il est là. De tout ce qui a été dit Armand Obou reste toujours sur sa position. Selon certaines indiscrétions, il aurait été coopté par une institution internationale pour conduire un projet d`envergure sur le continent, l`Europe et l`Amérique dans la mouvance du 1er mondial sur le continent africain.
Maty Gbané
Après deux années d`Administration provisoire passées à la tête du Bureau ivoirien des droits d`auteur (Burida), Armand Gérard Obou à l’heure du bilan. A cet effet, a eu lieu jeudi dernier, au Café de Rome au Plateau, un cocktail de remerciement à la presse. L`occasion a été donnée à Armand Gérard Obou pour offrir un téléviseur écran plasma et une pléthore de présents dont des dictaphones à l`union des journalistes culturels de Côte d`Ivoire (Ujocci). `` Pour ce qui a été de ces deux années passées a la tête du Burida, je peux dire que le bilan est positif. Moi, je pense que j`ai joué ma partition. Il est grand temps pour moi de ranger mes bagages”. Déclare-t-il. Il a tenu à faire remarquer que ces résultats positifs qui devraient déboucher sur la cession de structure de gestion du droit d`auteur aux créateurs d`œuvres de l`esprit, conformément à la volonté exprimée par le chef de l`Etat, SEM Laurent Gbagbo, sont le fruit d`une saine collaboration avec toute l`équipe du Burida. Mais aussi le fait du soutien de ses enfants et son épouse. Toutefois, certains employés du Burida restent mécontents face à cette décision prise. Car, sous le mandat de Gérard Armand Obou, le ministère de la culture et de la francophonie avait prévu une décoration des agents du Burida. Avec en premier lieu, l`administrateur provisoire. Les médailles nécessaires avaient été déjà achetées par le Bureau. Aux dernières nouvelles, les employés apprennent que le ministère s`est rebiffé de ces engagements sans raison valable. Pour ce qui est du départ de Armand Obou, certains employés comme des artistes sont contre. Car pour eux, Armand Obou n`a pas accompli la mission pour laquelle il est là. De tout ce qui a été dit Armand Obou reste toujours sur sa position. Selon certaines indiscrétions, il aurait été coopté par une institution internationale pour conduire un projet d`envergure sur le continent, l`Europe et l`Amérique dans la mouvance du 1er mondial sur le continent africain.
Maty Gbané