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Société Publié le vendredi 10 juillet 2009 | Le Repère

Lettre prophétique à la nation ivoirienne - Le spirituel Apocalypse B. de Bangolo révèle : “Tant que les Ivoiriens ne redonnent pas le pouvoir à Bédié, la Côte d`Ivoire ne retrouvera jamais la paix”

Shalôm à toute la nation ivoirienne et que la paix véritable emplisse le cœur de tous les concitoyens de ce pays afin que nous puissions en toute tranquillité, loin de nos passions déplacées, accéder à la quiétude qui régnait auparavant dans cet Etat laïc et cosmopolite qui se veut un modèle d’intégration et d’espérance. La lecture de cet article requiert toute notre concentration et appelle à notre bon sens et notre esprit de discernement. Je me nomme Gueyes Mouo Beauhya Ralph, ivoirien originaire de l’ouest de la Côte d’Ivoire (Bangolo, de Béoué canton Zagna). Je suis plus connu sous le titre honorifique d’Apocalypse B le Katabo. Je suis un homme spirituel (chrétien de confession) évoluant dans le monde de la musique et de la mode. Les personnes me connaissant bien vous témoigneront de tout mon détachement vis-à-vis de la politique jusqu’à ce que je reçoive cette révélation prophétique au sujet de la crise ivoirienne et des élections à venir qui nous préoccupe tous. Alors séance tenante, j’invoque le même Esprit de Vérité qui m’a inspiré toutes ces choses afin qu’il puisse aussi éclairer vos cœurs dans la compréhension de cette apocalypse (révélation).

Voici la prophétie venant de l’Esprit. Soyons donc attentifs afin que chacun d’entre nous puisse comprendre et reconnaître sa part de culpabilité dans cette crise qui nous secoue tous et aussi pour que nous sachions tout ce qui nous reste à faire pour retrouver la sérénité perdue.

Après quatre décennies de stabilité politique et de relative prospérité, la Côte d’Ivoire, présentée comme un modèle de développement pour les autres États du continent noir, sombre à son tour dans le chaos. C’est la consternation dans le monde. Mais le fait le plus étonnant, c’est l’absence totale, je dirais même la complicité flagrante de ceux qui se revendiquaient démocrates dans le pays.

La démocratie, du grec ancien dêmokratía, «souveraineté du peuple», de dêmos, «peuple» et krátos, «pouvoir», «souveraineté») est le gouvernement de tous (limités aux citoyens).

On résume souvent ce corpus à la formule d’Abraham Lincoln : «Le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple», qui a été introduite dans la constitution de 1958 de la Cinquième République française. La démocratie est devenue un système politique (et non plus un simple régime) dans lequel la souveraineté est attribuée au peuple qui l’exerce de façon: directe: régime dans lequel le peuple adopte lui-même les lois et décisions importantes et choisit lui-même les agents d’exécution, la démocratie directe ; indirecte : régime dans lequel le rôle du peuple se borne à élire des représentants, la démocratie représentative ; semi-directe: variété de la démocratie indirecte dans laquelle le peuple est cependant appelé à statuer, lui-même, sur certaines lois, par les référendums, véto ou initiatives populaires. Par extension, le terme «démocratie» qualifie souvent tout pays qui est reconnu comme appliquant des principes démocratiques dans son fonctionnement. Loin de vouloir montrer mon érudition et mes maigres connaissances, ce petit cours sur la démocratie était indispensable pour la suite de l’article. Je vais donc simplifier le discours pour les lecteurs non avertis. La démocratie, comme le disait Lincoln, est «le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple». Le terme «peuple», du latin populus désignant l’ensemble des citoyens (donc des individus ayant le pouvoir de voter dans la démocratie) revient trois fois dans la citation comme pour insister sur le rôle primordial du peuple dans tout processus démocratique. Mais, voilà qu’après quatre décennies(40 ans) de stabilité politique et de relative prospérité, la Côte d’Ivoire, présentée comme un modèle de développement pour les autres États du continent noir, sombre à son tour dans le chaos. Le 24 décembre 1999, une insurrection militaire qui cachait un coup d’Etat organisé et planifié va bouleverser la destinée de la Côte d’Ivoire. Des hommes armés, tirant dans les rues sous les applaudissements de certains ignorants qui ne savaient pas qu’ils étaient en train d’encourager le spectre de la guerre qui rôde autour de l’Afrique, renversant le président d’alors. Le peuple, était-il conscient à cette époque qu’un «putsch» est l’opposé catégorique de la démocratie (relisez un peu plus haut la signification du terme démocratie) ? Le peuple, savait-il qu’en encourageant ce coup d’Etat il renversait ainsi le régime démocratique pour installer l’anarchie dans le pays ? Le peuple, savait-il que s’il ne voulait plus vraiment du président Aimé Henri Konan Bédié à la magistrature suprême, il n’avait qu’à attendre les élections de 2000 pour ne pas le voter ? Pourquoi donc ce coup d’Etat ? La loi ne dit-elle pas «qui règne par les armes périra par les armes» ? Et le fait d’avoir accepté qu’en lieu et place de la démocratie, les armes règnent dans le pays ; nous avons invité la guerre à venir nous diriger. Ceux qui me connaissent personnellement vous confirmeront que je n’ai aucune attache avec le PDCI encore moins avec le président Bédié. Et ils vous diront par ailleurs tous mes propos sympathiques à l’endroit du président Laurent Gbagbo et que je parle sans cesse du Premier ministre Alassane Dramane Ouattara comme étant un homme charismatique de la politique ivoirienne. Mais, il fallait que ce message salvateur vienne par moi afin de tirer le pays du gouffre dans lequel il se trouve. Franchement, convenez avec moi, qu’après avoir pris connaissance du terme «démocratie», il est impossible qu’un démocrate, un vrai, reste muet devant un putsch sans le condamner allant même jusqu’à le traiter de «salvateur». Reconnaissons en toute humilité que nous nous sommes tous plantés et recommençons à zéro pour une Côte d’Ivoire nouvelle. Maintenant, voici la révélation de l’Esprit sur la signification spirituelle de la guerre en Côte d’Ivoire et comment en sortir pour toujours.
Hadès, le «dieu de la guerre» «maître de l’enfer» et du «royaume de la mort», dans sa grande campagne de déstabilisation du monde accompagné de ses ministres, a décidé de s’installer en Côte d’Ivoire et de changer ce «Havre de Paix» en «charnier humain». Profitant d’une mutinerie, il a séduit le peuple ivoirien et la classe politique par le «règne des armes» leur faisant croire que sa raison, celle du plus fort est toujours la meilleure. Le peuple, ignorant tout de son rôle prépondérant dans le processus de paix a pactisé avec Hadès en acclamant les tirs des mutins. La volonté du peuple étant donc montée dans la loi cosmique qui régit l’univers, ne laissait donc pas autre choix aux forces du bien que celui de céder le territoire ivoirien aux forces du mal, car la volonté du peuple prime plus que tout dans la démocratie. Les Ivoiriens ont donc refusé le Président Légitime, Aimé Henri Konan Bédié, que leur donnait leur propre constitution pour un pouvoir chaotique. Nous avons nous-mêmes, par une action spirituelle, accepté la crise que nous vivons présentement et Dieu merci, nous pouvons aussi, par une autre action spirituelle, déjouer les plans des «Anges Rebelles» à Dieu qui veulent imposer la guerre en Côte d’Ivoire comme cela a été le cas dans bon nombre de pays dans le monde. Car «les mille ans se sont écoulés et Satan a été relâché de sa prison».

Voici donc la prophétie : «Tant que les Ivoiriens ne redonnent pas le pouvoir au Parti Démocratique de Côte d’Ivoire et à son président M. Aimé Henri Konan Bédié , la Côte d’Ivoire ne retrouvera jamais la PAIX». Ecoutez ce que l’Esprit vous annonce peuple de Côte d’Ivoire. Moi personnellement, je n’ai d’autre intérêt que le retour définitif de la paix dans notre beau pays. Nos mêmes mains qui ont acclamé la rébellion sont capables de renouer avec la démocratie en prenant le bulletin de vote du Président Bédié pour le déposer dans l’urne afin de nous repentir des actions ignorantes qui nous ont poussés à chasser la paix loin de nous. Car la parole déclare: «Mon peuple périt par faute de connaissance». Oui, nous sommes pardonnés car nous avons ignoré le pacte que nous étions en train de signer avec le Diable. Le Seigneur a dit : «Père pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font.» Mais la BIBLE déclare aussi : «Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira».

Voici, je vous ai fait connaître la vérité afin que massivement nous allions voter pour Henri Konan Bédié lors des élections pour nous sortir du cercle infernal de la guerre et pour bouter le spectre de la guerre hors de la Côte d’Ivoire. J’ai encore beaucoup de choses à dire, mais cela nécessitera une interview de votre part. Par ailleurs, j’ai un message révélé à remettre au Président Bédié en personne pour accomplir la prophétie. En espérant d’être publié, répondez-moi à mes adresses mail suivantes boyaralph@hotmail.com et aussi k_apocalypse@yahoo.fr
Paix, Amour, Joie, Lumière, Justice et Vérité à L’humanité entière.

Par LE YHVH le Père! Amen !
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