Le Manhattan Suites Hôtel sis à la Riviera Attoban a servi de cadre, le 8 juillet dernier, à la cérémonie de lancement du projet Firca .
Anacarde portant sur l’amélioration variétale de l’anacardier. L’anacarde est produit essentiellement en zone de savane avec du matériel végétal peu performant, ce qui entraîne des rendements peu élevés. La cajouculture apparaît donc comme une véritable culture de diversification. L’accroissement du rendement des vergers sera ainsi un atout pour l’amélioration et la sécurisation des revenus des producteurs. Aussi, en raison de la forte pression foncière dans la zone de savane, le développement durable de la cajouculture ne peut prospérer avec des pratiques culturales extensives. Il importe donc d’intensifier la culture par une amélioration de la productivité qui doit nécessairement commencer par l’utilisation de matériel végétal sélectionné. C’est pourquoi, le Centre national de recherches agronomiques (Cnra), le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca) et l’Autorité de régulation de la cajou africaine (Areca) ont retenu au nombre des projets prioritaires identifiés par la filière, celui portant sur l’amélioration variétale de l’anacardier. Selon les organisateurs de l’atelier, l’objectif dudit projet est d’intensifier la cajouculture en Côte d’Ivoire, par la sélection de matériel végétal de plantation performant répondant aux critères de précocité, de rendement, de résistance aux maladies et ravageurs de qualité des noix. D’une durée de deux ans, les activités du projet consisteront à la caractérisation d’arbres hauts producteurs identifiés localement et à l’introduction de variétés améliorées. Le renforcement des capacités bénéficiaires sera assuré à travers des sessions de formation, des visites de parcelles de démonstration et des séminaires de restitution. Les sites d’exécution sont les Régions du Zanzan, des Lacs, de la Marahoué, du N’Zi Comoé, du Moyen Comoé, de la Vallée du Bandama, du Denguélé, des Savanes et du Worodougou. Quant aux bénéficiaires, ce sont entre autres les producteurs, les exportateurs, les Pme / Pmi, les structures de recherches, d’enseignement et d’encadrement, les collectivités locales, les ONGs. Notons à toutes fins utiles que le présent atelier de lancement vise à informer les différents acteurs de la filière et à échanger sur les activités à mener d’une part, et à sensibiliser les producteurs sur leur participation dans la conduite des activités d’autre part.
Coulibaly N’Golo A.
aboubackr@yahoo.fr
Source: Service Communication Cnra
Anacarde portant sur l’amélioration variétale de l’anacardier. L’anacarde est produit essentiellement en zone de savane avec du matériel végétal peu performant, ce qui entraîne des rendements peu élevés. La cajouculture apparaît donc comme une véritable culture de diversification. L’accroissement du rendement des vergers sera ainsi un atout pour l’amélioration et la sécurisation des revenus des producteurs. Aussi, en raison de la forte pression foncière dans la zone de savane, le développement durable de la cajouculture ne peut prospérer avec des pratiques culturales extensives. Il importe donc d’intensifier la culture par une amélioration de la productivité qui doit nécessairement commencer par l’utilisation de matériel végétal sélectionné. C’est pourquoi, le Centre national de recherches agronomiques (Cnra), le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca) et l’Autorité de régulation de la cajou africaine (Areca) ont retenu au nombre des projets prioritaires identifiés par la filière, celui portant sur l’amélioration variétale de l’anacardier. Selon les organisateurs de l’atelier, l’objectif dudit projet est d’intensifier la cajouculture en Côte d’Ivoire, par la sélection de matériel végétal de plantation performant répondant aux critères de précocité, de rendement, de résistance aux maladies et ravageurs de qualité des noix. D’une durée de deux ans, les activités du projet consisteront à la caractérisation d’arbres hauts producteurs identifiés localement et à l’introduction de variétés améliorées. Le renforcement des capacités bénéficiaires sera assuré à travers des sessions de formation, des visites de parcelles de démonstration et des séminaires de restitution. Les sites d’exécution sont les Régions du Zanzan, des Lacs, de la Marahoué, du N’Zi Comoé, du Moyen Comoé, de la Vallée du Bandama, du Denguélé, des Savanes et du Worodougou. Quant aux bénéficiaires, ce sont entre autres les producteurs, les exportateurs, les Pme / Pmi, les structures de recherches, d’enseignement et d’encadrement, les collectivités locales, les ONGs. Notons à toutes fins utiles que le présent atelier de lancement vise à informer les différents acteurs de la filière et à échanger sur les activités à mener d’une part, et à sensibiliser les producteurs sur leur participation dans la conduite des activités d’autre part.
Coulibaly N’Golo A.
aboubackr@yahoo.fr
Source: Service Communication Cnra