Communion totale dans une mobilisation exemplaire les 9 et 10 juillet derniers à Béoué- Zagna, Diéouzon, Guézon-Taouaké, Zéo et Dah, pour Stéphane Kipré qui débutait sa tournée dans le département de Bangolo. Danses, sorties de masques pour des échanges, au terme desquels, le Président de l’UNG a proposé la création d’un Haut Commissariat pour les zones CNO.
«On nous demande de pardonner. Mais, si nous pardonnons, nous devons retrouver ce que nous avons perdu, c`est-à-dire le développement. Toutes les zones qui ont connu la guerre doivent donc être la priorité de l’Etat de Côte d’Ivoire. La vraie réconciliation, c’est lorsqu’on nous donnera le développement. Le pardon doit être suivi d’actes de développement », c’est en substance, le message que le Président de l’Union des Nouvelles Générations a voulu partager avec ses hôtes de Bangolo. De Béoué- Zagna à Dah, en passant par Diéouzon, Guézon-Taouaké et Zéo, Stéphane Kipré qui a pu tester la cote de popularité de son parti, a proposé la création d’un Haut Commissariat pour les zones CNO. « Ces zones ont payé un lourd tribut à la crise. Elles ont vécu les pires atrocités de la guerre et ont assisté à la destruction de leurs infrastructures. L’Etat doit leur permettre de retrouver le minimum qu’elles ont perdu. C’est une réalité qui n’incombera pas aux Conseils généraux. C’est une préoccupation étatique et non locale». Réclamant pratiquement un plan Marshall pour ces zones qui ont souffert de la crise militaro-civile, Stéphane Kipré a soutenu que les budgets des Conseils généraux devaient dans cet état d’esprit différer de celui du haut-commissariat, parce que les zones CNO ont plus que les autres, besoin de réhabiliter l’existant, avant de s’engager sur la voie de la compétitivité avec les autres régions. Après avoir rappelé les difficultés qui ont émaillé le quotidien des populations, Stéphane Kipré a indiqué que l’heure du changement avait sonné, parce que la décentralisation n’a pas donné des résultats tangibles au département de Bangolo. « Les écoles, les bâtiments administratifs, les infrastructures sanitaires et scolaires sont dans un état lamentable », a-t-il souligné. Pour y remédier, Stéphane Kipré a prôné le renouvellement de la classe politique, avec comme critère de choix, l’aptitude des acteurs à s’orienter vers le développement de nos régions. «Il faut savoir choisir. Les grands noms ne développent pas. Un petit nom qui agit, qui travaille et développe vaut mieux qu’un grand nom qui ne fait rien. Vous avez déjà essayé plusieurs personnes, et vous n’avez rien vu. Essayez maintenant l’Union des Nouvelles Générations et vous verrez », a conseillé le patron des nouvelles générations. Dans toutes les localités précitées, les populations ont exprimé avec enthousiasme leur joie de recevoir le Président de l’UNG. Elles ont également affirmé leur fidélité aux idéaux de l’UNG ainsi que leur attachement au Président Stéphane Kipré.
CP
«On nous demande de pardonner. Mais, si nous pardonnons, nous devons retrouver ce que nous avons perdu, c`est-à-dire le développement. Toutes les zones qui ont connu la guerre doivent donc être la priorité de l’Etat de Côte d’Ivoire. La vraie réconciliation, c’est lorsqu’on nous donnera le développement. Le pardon doit être suivi d’actes de développement », c’est en substance, le message que le Président de l’Union des Nouvelles Générations a voulu partager avec ses hôtes de Bangolo. De Béoué- Zagna à Dah, en passant par Diéouzon, Guézon-Taouaké et Zéo, Stéphane Kipré qui a pu tester la cote de popularité de son parti, a proposé la création d’un Haut Commissariat pour les zones CNO. « Ces zones ont payé un lourd tribut à la crise. Elles ont vécu les pires atrocités de la guerre et ont assisté à la destruction de leurs infrastructures. L’Etat doit leur permettre de retrouver le minimum qu’elles ont perdu. C’est une réalité qui n’incombera pas aux Conseils généraux. C’est une préoccupation étatique et non locale». Réclamant pratiquement un plan Marshall pour ces zones qui ont souffert de la crise militaro-civile, Stéphane Kipré a soutenu que les budgets des Conseils généraux devaient dans cet état d’esprit différer de celui du haut-commissariat, parce que les zones CNO ont plus que les autres, besoin de réhabiliter l’existant, avant de s’engager sur la voie de la compétitivité avec les autres régions. Après avoir rappelé les difficultés qui ont émaillé le quotidien des populations, Stéphane Kipré a indiqué que l’heure du changement avait sonné, parce que la décentralisation n’a pas donné des résultats tangibles au département de Bangolo. « Les écoles, les bâtiments administratifs, les infrastructures sanitaires et scolaires sont dans un état lamentable », a-t-il souligné. Pour y remédier, Stéphane Kipré a prôné le renouvellement de la classe politique, avec comme critère de choix, l’aptitude des acteurs à s’orienter vers le développement de nos régions. «Il faut savoir choisir. Les grands noms ne développent pas. Un petit nom qui agit, qui travaille et développe vaut mieux qu’un grand nom qui ne fait rien. Vous avez déjà essayé plusieurs personnes, et vous n’avez rien vu. Essayez maintenant l’Union des Nouvelles Générations et vous verrez », a conseillé le patron des nouvelles générations. Dans toutes les localités précitées, les populations ont exprimé avec enthousiasme leur joie de recevoir le Président de l’UNG. Elles ont également affirmé leur fidélité aux idéaux de l’UNG ainsi que leur attachement au Président Stéphane Kipré.
CP
