A 48 heures de la rencontre entre les membres du bureau de la délégation départemental Pdci de Bongouanou, les responsables Ufpdci, Jpdci ainsi les élus du parti, Mme Ehouman Angoua Chantal, déléguée Ufpdci de Bongouanou invite les femmes à répondre massivement à la réunion convoquée par la déléguée Amah Marie Tehoua. Dans cette interview, la responsable de l'Ufpdci du Moronou se réjouit de l'opération d'identification et invite ses sœurs à voter massivement le président de son parti Henri Konan Bédié le 29 novembre prochain.
Madame la présidente de l'Ufpdci de la délégation départementale du Pdci à Bongouanou organise les rencontres ce week-end dans votre circonscription. On vient d'achever l'opération d'identification. En ce qui concerne les femmes dont vous avez la charge au niveau du département, vous êtes satisfaite de leur comportement sur le terrain ?
Je dirais oui parce que la femme n'est pas au cœur de toutes les activités. Elles sont sorties massivement entraînant maris et enfants à se faire enrôler donc je peux dire oui.
Madame la présidente, c'est bien qu'elles soient sorties. Mais êtes-vous confiante par rapport à cette échéance qui va commencer certainement, le 29 novembre. En d'autres termes, pensez-vous que les femmes du Moronou, les femmes du département de Bongouanou seront suffisamment mobilisées pour soutenir les différents candidats du Pdci-Rda ?
Les femmes vont porter leur poids non pas sur tous les candidats mais sur le candidat Henri Konan Bédié pour son succès au soir du 29 novembre. Je dis oui.
Le samedi, vous avez une rencontre, une concertation, on s'attend certainement à beaucoup de monde. Les femmes sont attendues, avez-vous un message à l'endroit de vos sœurs du Moronou ?
Comme la rencontre s'intitule, journée de retrouvailles, au moment de l'identification et de l'enrôlement, nous avons arrêté quelque peu les rencontres. Donc c'est la première grande réunion que nous faisons après cette opération d'identification. Je souhaite que mes sœurs, les braves femmes de l'Ufpdci, sortent massivement pour que nous puissions ensemble écouter les messages de la déléguée, les consignes à nous donner avant d'harmoniser la dernière phase qui est la phase des élections.
Madame la responsable, est-ce que les femmes du département de Bongouanou, en ce qui concerne l'Ufpdci, ont une préoccupation particulière à l'endroit de leur déléguée, un message ou des préoccupations à partager avec elle ?
Je ne pense pas. Dans l'ensemble, nous sommes derrière la déléguée départementale Amah Marie Téhoua. Nous savons tout ce qu'elle fait au plan politique, au plan social pour que le Pdci reprenne les rênes du pouvoir, et donc nous femmes de l'Ufpdci, nous sommes derrière elle et avec elle pour la victoire du Pdci.
Ce sont les femmes de Arrah, de Tiémélékro, de M'batto, de Bongouanou, d'Anoumaba, qui sont certainement invitées. Est-ce que vos femmes seront présentes samedi ?
Les femmes seront présentes. Mais, il faut dire que cette réunion de samedi est une réunion un peu circonscrite au bureau départemental de l'Ufpdci, et donc si les femmes ne sont pas nombreuses à sortir, c'est parce qu'elles auront su discipliner le monde resté pour que leurs représentantes départementales viennent assister à la réunion. Sinon, si c'était une réunion ouverte à tous les militants, les femmes seules auraient fait le plein de la place Henri Konan Bédié à Bongouanou.
Interview réalisée par Patrice Yao
Madame la présidente de l'Ufpdci de la délégation départementale du Pdci à Bongouanou organise les rencontres ce week-end dans votre circonscription. On vient d'achever l'opération d'identification. En ce qui concerne les femmes dont vous avez la charge au niveau du département, vous êtes satisfaite de leur comportement sur le terrain ?
Je dirais oui parce que la femme n'est pas au cœur de toutes les activités. Elles sont sorties massivement entraînant maris et enfants à se faire enrôler donc je peux dire oui.
Madame la présidente, c'est bien qu'elles soient sorties. Mais êtes-vous confiante par rapport à cette échéance qui va commencer certainement, le 29 novembre. En d'autres termes, pensez-vous que les femmes du Moronou, les femmes du département de Bongouanou seront suffisamment mobilisées pour soutenir les différents candidats du Pdci-Rda ?
Les femmes vont porter leur poids non pas sur tous les candidats mais sur le candidat Henri Konan Bédié pour son succès au soir du 29 novembre. Je dis oui.
Le samedi, vous avez une rencontre, une concertation, on s'attend certainement à beaucoup de monde. Les femmes sont attendues, avez-vous un message à l'endroit de vos sœurs du Moronou ?
Comme la rencontre s'intitule, journée de retrouvailles, au moment de l'identification et de l'enrôlement, nous avons arrêté quelque peu les rencontres. Donc c'est la première grande réunion que nous faisons après cette opération d'identification. Je souhaite que mes sœurs, les braves femmes de l'Ufpdci, sortent massivement pour que nous puissions ensemble écouter les messages de la déléguée, les consignes à nous donner avant d'harmoniser la dernière phase qui est la phase des élections.
Madame la responsable, est-ce que les femmes du département de Bongouanou, en ce qui concerne l'Ufpdci, ont une préoccupation particulière à l'endroit de leur déléguée, un message ou des préoccupations à partager avec elle ?
Je ne pense pas. Dans l'ensemble, nous sommes derrière la déléguée départementale Amah Marie Téhoua. Nous savons tout ce qu'elle fait au plan politique, au plan social pour que le Pdci reprenne les rênes du pouvoir, et donc nous femmes de l'Ufpdci, nous sommes derrière elle et avec elle pour la victoire du Pdci.
Ce sont les femmes de Arrah, de Tiémélékro, de M'batto, de Bongouanou, d'Anoumaba, qui sont certainement invitées. Est-ce que vos femmes seront présentes samedi ?
Les femmes seront présentes. Mais, il faut dire que cette réunion de samedi est une réunion un peu circonscrite au bureau départemental de l'Ufpdci, et donc si les femmes ne sont pas nombreuses à sortir, c'est parce qu'elles auront su discipliner le monde resté pour que leurs représentantes départementales viennent assister à la réunion. Sinon, si c'était une réunion ouverte à tous les militants, les femmes seules auraient fait le plein de la place Henri Konan Bédié à Bongouanou.
Interview réalisée par Patrice Yao
