ABIDJAN - Le représentant spécial de l'ONU en Côte d'Ivoire, M. Young-jin Choi, a mis en garde jeudi contre les "risques" d'un nouveau report de l'élection présidentielle, prévue le 29 novembre après une série de reports depuis 2005.
"Au stade actuel où nous sommes, des difficultés d'ordre purement technique, de gestion et de planification paraissent comme des défis plus graves que ceux d'ordre politique ou financier", a affirmé Young-jin Choi lors d'une conférence de presse au siège de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
"Si nous ne tenons pas dans les délais impartis à chaque étape (du processus électoral), il y a des risques d'un glissement d'ensemble du chronogramme (calendrier) au-delà de l'échéance" du 29 novembre, a-t-il prévenu.
Après la fin le 30 juin du recensement qui a permis d'enregistrer quelque
6,5 millions de personnes, la prochaine étape du processus, le traitement des données en vue de l'élaboration de la liste électorale doit commencer lundi prochain, a annoncé la Primature le 7 juillet.
Dans un rapport publié la semaine dernière, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a averti les acteurs politiques ivoiriens que la non-tenue du scrutin présidentiel le 29 novembre pourrait leur coûter le soutien de la communauté internationale.
Plusieurs fois reportée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, l'élection est censée permettre de clore la grave crise politico-militaire née du coup d'Etat manqué de septembre 2002.
"Au stade actuel où nous sommes, des difficultés d'ordre purement technique, de gestion et de planification paraissent comme des défis plus graves que ceux d'ordre politique ou financier", a affirmé Young-jin Choi lors d'une conférence de presse au siège de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
"Si nous ne tenons pas dans les délais impartis à chaque étape (du processus électoral), il y a des risques d'un glissement d'ensemble du chronogramme (calendrier) au-delà de l'échéance" du 29 novembre, a-t-il prévenu.
Après la fin le 30 juin du recensement qui a permis d'enregistrer quelque
6,5 millions de personnes, la prochaine étape du processus, le traitement des données en vue de l'élaboration de la liste électorale doit commencer lundi prochain, a annoncé la Primature le 7 juillet.
Dans un rapport publié la semaine dernière, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a averti les acteurs politiques ivoiriens que la non-tenue du scrutin présidentiel le 29 novembre pourrait leur coûter le soutien de la communauté internationale.
Plusieurs fois reportée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, l'élection est censée permettre de clore la grave crise politico-militaire née du coup d'Etat manqué de septembre 2002.
