Le mariage célébré le 9 mai 2009 entre M. Mélèdje Djédjémel Franck Alain et dame Yotio José Hawoud Pollinn Estelle à la mairie du Plateau est actuellement au centre d’une procédure judiciaire au tribunal d’Abidjan-Plateau.
Selon Me Oré Sylvain, avocat de M. Djigbenou Maxime Marc, le plaignant dans cette affaire, ce mariage a été célébré en violation de l’ordonnance d’interdiction du juge Blé Antoine, président du tribunal d’Abidjan-Plateau, signifiée le jeudi 7 mai 2009, soit deux jours avant le mariage contesté. “De notre avis et du constat que nous avons pu faire, pour avoir fréquenté régulièrement et assez intimement les époux Djigbenou, nous pouvons affirmer que M. Djigbenou Maxime Marc et son épouse éprouvent encore des sentiments d’amour très forts et réciproques. Malgré tout, M. Djigbenou Maxime a mis en œuvre les voies de droit qui s’offrent à lui afin que justice soit rendue”, a récemment, indiqué au cours d’une conférence de presse aux Deux-Plateaux, Me Oré Sylvain, qui a appelé à la retenue le pasteur Stephen Ahmed de l’église Faith Family, présenté comme étant celui qui a œuvré à la déstabilisation du foyer Djigbenou. Car, selon des témoignages de celui-ci, c’est au retour d’un voyage d’affaires au cours de cette année qu’il constate l’absence de son épouse Estelle, assistante de direction dans une institution bancaire de la place, qui a quitté le foyer conjugal en prenant toutes ses affaires. De fil en aiguille, l’homme apprend que sa femme a été proposée en mariage à M. Mélèdje Djédjémel Franck qui vit en France, par le pasteur Stephen Ahmed. “Selon la volonté divine de Dieu”.
Djigbenou Marc, qui aime sa femme et n’est pas prêt à divorcer, engage des négociations pour ramener celle-ci à la maison. En vain. En désespoir de cause, cet homme d’affaires saisit le tribunal d’Abidjan-Plateau pour s’opposer au remariage imminent de sa femme dont il a eu vent. Ainsi, le président du tribunal prend une ordonnance d’opposition à mariage le mercredi 6 mai 2009 signifiée le lendemain à la mairie du Plateau avec une décharge du responsable du bureau courrier. Faisant fi de décision, les autorités municipales célèbrent le mariage d’Estelle avec son nouveau mari Franck avec pour témoins le pasteur Stephen Ahmed (pour le marié) et l’épouse du pasteur Stephen Ahmed née Nimakedje Nadège (pour la mariée).
Djigbenou Maxime, qui ne veut pour rien au monde perdre son épouse Estelle, porte plainte contre la mairie du Plateau au tribunal d’Abidjan-Plateau pour l’annulation de la nouvelle union d’Estelle.
En attendant le dénouement de cette affaire judiciaire, l’avocat de Djigbenou Maxime appelle à la sérénité et au calme. Particulièrement en direction du pasteur Stephen Ahmed à qui Djigbenou Maxime s’était ouvert totalement lorsque la crise a éclaté pour ramener à la raison son épouse Estelle. Lequel homme de Dieu a apporté sa bénédiction et son soutien à ce mariage jugé illégal. “La situation que le couple vit actuellement nous paraît étrange et nous amène à nous interroger sérieusement sur les suspicions d’envoutement dudit couple, même si notre qualité ne nous met pas à l’aise pour aborder ce chapitre. En tout état de cause, si le souci des uns et des autres est de permettre que les époux se retrouvent, alors les propos de chacun doivent réfléter cette volonté, c’est-à-dire faire l’effort de ménager leur susceptibilité et leur orgueil”, a conseillé Me Oré Sylvain.
Didier Kéï
Selon Me Oré Sylvain, avocat de M. Djigbenou Maxime Marc, le plaignant dans cette affaire, ce mariage a été célébré en violation de l’ordonnance d’interdiction du juge Blé Antoine, président du tribunal d’Abidjan-Plateau, signifiée le jeudi 7 mai 2009, soit deux jours avant le mariage contesté. “De notre avis et du constat que nous avons pu faire, pour avoir fréquenté régulièrement et assez intimement les époux Djigbenou, nous pouvons affirmer que M. Djigbenou Maxime Marc et son épouse éprouvent encore des sentiments d’amour très forts et réciproques. Malgré tout, M. Djigbenou Maxime a mis en œuvre les voies de droit qui s’offrent à lui afin que justice soit rendue”, a récemment, indiqué au cours d’une conférence de presse aux Deux-Plateaux, Me Oré Sylvain, qui a appelé à la retenue le pasteur Stephen Ahmed de l’église Faith Family, présenté comme étant celui qui a œuvré à la déstabilisation du foyer Djigbenou. Car, selon des témoignages de celui-ci, c’est au retour d’un voyage d’affaires au cours de cette année qu’il constate l’absence de son épouse Estelle, assistante de direction dans une institution bancaire de la place, qui a quitté le foyer conjugal en prenant toutes ses affaires. De fil en aiguille, l’homme apprend que sa femme a été proposée en mariage à M. Mélèdje Djédjémel Franck qui vit en France, par le pasteur Stephen Ahmed. “Selon la volonté divine de Dieu”.
Djigbenou Marc, qui aime sa femme et n’est pas prêt à divorcer, engage des négociations pour ramener celle-ci à la maison. En vain. En désespoir de cause, cet homme d’affaires saisit le tribunal d’Abidjan-Plateau pour s’opposer au remariage imminent de sa femme dont il a eu vent. Ainsi, le président du tribunal prend une ordonnance d’opposition à mariage le mercredi 6 mai 2009 signifiée le lendemain à la mairie du Plateau avec une décharge du responsable du bureau courrier. Faisant fi de décision, les autorités municipales célèbrent le mariage d’Estelle avec son nouveau mari Franck avec pour témoins le pasteur Stephen Ahmed (pour le marié) et l’épouse du pasteur Stephen Ahmed née Nimakedje Nadège (pour la mariée).
Djigbenou Maxime, qui ne veut pour rien au monde perdre son épouse Estelle, porte plainte contre la mairie du Plateau au tribunal d’Abidjan-Plateau pour l’annulation de la nouvelle union d’Estelle.
En attendant le dénouement de cette affaire judiciaire, l’avocat de Djigbenou Maxime appelle à la sérénité et au calme. Particulièrement en direction du pasteur Stephen Ahmed à qui Djigbenou Maxime s’était ouvert totalement lorsque la crise a éclaté pour ramener à la raison son épouse Estelle. Lequel homme de Dieu a apporté sa bénédiction et son soutien à ce mariage jugé illégal. “La situation que le couple vit actuellement nous paraît étrange et nous amène à nous interroger sérieusement sur les suspicions d’envoutement dudit couple, même si notre qualité ne nous met pas à l’aise pour aborder ce chapitre. En tout état de cause, si le souci des uns et des autres est de permettre que les époux se retrouvent, alors les propos de chacun doivent réfléter cette volonté, c’est-à-dire faire l’effort de ménager leur susceptibilité et leur orgueil”, a conseillé Me Oré Sylvain.
Didier Kéï