“C’est une cabale de la fédération contre ma personne. Ils m’ont vu athlète, c’est vrai, mais l’enfant a grandi. J’ai mis en place une organisation que personne ne pourra déraciner… Je suis un passionné du sport. Personne ne réussira à me chasser du milieu. Est- ce qu’ils veulent que je crée une fédération de handball parce que je peux le faire ? … Je n’ai pas été radié parce qu’aucune notification ne m’en a été faite. Peut- être que nous avons une équipe qui dérange ?”, s’est insurgé dimanche en conférence de presse dans un restaurant sis à Cocody Ettien Pétémé, président de Tiassalé handball club, pour marquer son courroux et son indignation contre la Fédération ivoirienne de handball qui a suspendu des athlètes de cette équipe.
De quoi s’agit-il ? L’intéressé indique qu’en prélude à la saison en cours et après communication du programme d’activités de l’instance fédérale et l’ouverture d’une période de mutation, Tiassalé a introduit des dossiers qui ont été validés. “Selon les statuts, il n’y a pas de délai limite de paiement des mutations. Nous avons été surpris lorsque l’on nous a demandé une date butoir. Nous avons alors dit non. En plus, nous avions un litige qui était pendant concernant le contrat de Korotoumou que l’Africa avait brandi”. Et Pétémé de soutenir que l’athlète n’a jamais été liée par un quelconque contrat à l’Africa. Parce que les parties contractantes et la fédération ne possédant aucune copie du document en question. D’où vient alors que la fédération reste inflexible en dépit des différentes démarches pour solutions à cette situation ? s’est interrogé le conférencier qui estime que le problème se trouve ailleurs.
L’occasion a été donnée à M. Boni Ehouman, membre du comité directeur de Tiassalé HBC, d’affirmer que jamais les licences querellées n’ont été prises frauduleusement. Bien au contraire, elles ont été régulièrement retirées auprès du secrétaire permanent de la FIHB et ce en présence de Paul Blesson, DTN, contre le paiement d’une somme de 875.000FCFA dont reçu a été brandi. Les athlètes concernées par l’affaire sont Tchagam Marguérite, Kassi Charlotte, Marie Josée Guibanost ( Africa ) et Sara du WAC.
“Si, comme veut le faire croire la fédérartion, nous avons agi hors délai et que nous sommes de ce fait hors délai, pour quoi garde-t-elle l’argent ? “A Tiassalé, nous sommes respectueux des textes. Nous ne pouvons pas les contourner. Nous demandons simplement leur application… Nous sommes pour l’apaisement pour la cause commune, pour un handball ivoirien fort”, a- t-il soutenu.
Moise Sasso, le secrétaire général a abondé dans le même sens après avoir déploré la situation de blocage. Il a déclaré : “Il faut ramener tout le monde à la table dé négociation, trouver les voies et moyens pour lever les sanctions, ramener la sérénité… Le président Ouéréga se trompe sans doute de bonne foi”.
Pour mémoire, suite à la radicalisation des positions, le président Ettien Pétémé a été radié, Yesso François, un membre du comité directeur, suspendu pour 2 ans avec une amende de 100.000FCFA. Le secrétaire général, lui, a écopé d’un blâme et d’une amende de 50.000FCFA.
R.O.V rogerokou@yahoo.fr
De quoi s’agit-il ? L’intéressé indique qu’en prélude à la saison en cours et après communication du programme d’activités de l’instance fédérale et l’ouverture d’une période de mutation, Tiassalé a introduit des dossiers qui ont été validés. “Selon les statuts, il n’y a pas de délai limite de paiement des mutations. Nous avons été surpris lorsque l’on nous a demandé une date butoir. Nous avons alors dit non. En plus, nous avions un litige qui était pendant concernant le contrat de Korotoumou que l’Africa avait brandi”. Et Pétémé de soutenir que l’athlète n’a jamais été liée par un quelconque contrat à l’Africa. Parce que les parties contractantes et la fédération ne possédant aucune copie du document en question. D’où vient alors que la fédération reste inflexible en dépit des différentes démarches pour solutions à cette situation ? s’est interrogé le conférencier qui estime que le problème se trouve ailleurs.
L’occasion a été donnée à M. Boni Ehouman, membre du comité directeur de Tiassalé HBC, d’affirmer que jamais les licences querellées n’ont été prises frauduleusement. Bien au contraire, elles ont été régulièrement retirées auprès du secrétaire permanent de la FIHB et ce en présence de Paul Blesson, DTN, contre le paiement d’une somme de 875.000FCFA dont reçu a été brandi. Les athlètes concernées par l’affaire sont Tchagam Marguérite, Kassi Charlotte, Marie Josée Guibanost ( Africa ) et Sara du WAC.
“Si, comme veut le faire croire la fédérartion, nous avons agi hors délai et que nous sommes de ce fait hors délai, pour quoi garde-t-elle l’argent ? “A Tiassalé, nous sommes respectueux des textes. Nous ne pouvons pas les contourner. Nous demandons simplement leur application… Nous sommes pour l’apaisement pour la cause commune, pour un handball ivoirien fort”, a- t-il soutenu.
Moise Sasso, le secrétaire général a abondé dans le même sens après avoir déploré la situation de blocage. Il a déclaré : “Il faut ramener tout le monde à la table dé négociation, trouver les voies et moyens pour lever les sanctions, ramener la sérénité… Le président Ouéréga se trompe sans doute de bonne foi”.
Pour mémoire, suite à la radicalisation des positions, le président Ettien Pétémé a été radié, Yesso François, un membre du comité directeur, suspendu pour 2 ans avec une amende de 100.000FCFA. Le secrétaire général, lui, a écopé d’un blâme et d’une amende de 50.000FCFA.
R.O.V rogerokou@yahoo.fr
