Pendant qu’Alberto Contador défendait sereinement son Maillot Jaune mardi dans la deuxième étape alpestre, Lance Armstrong a marqué les esprits en plaçant une accélération spectaculaire qui a arrêté net le front de révolte des frères Schleck.
C’est assurément l’image de cette seizième étape: distancé par cinq prétendants au podium dans l’ascension du Petit-Saint-Bernard, Lance Armstrong saute sur ses pédales, secoue son vélo et colle sur place le groupe de poursuivants qui l’accompagnait pour combler en quelques centaines de mètres les vingt-trente secondes de retard qu’il avait concédées à Frank et Andy Schleck, Alberto Contador, Andreas Klöden et Bradley Wiggins. Alors que l’attaque des frères Schleck a semblé précipiter son déclin et sa chute du podium, le coureur américain a confirmé qu’il vendrait chèrement son cuir épais de septuple vainqueur du Tour et qu’il allait privilégier la stratégie d’équipe. Au classement général, Contador devance toujours Armstrong d’1’37’’ et Andy Schleck de 2’26’’. «Je persiste à dire que je ne peux plus accélérer comme ces gosses», confie Amstrong. Constamment au contact d’Andy Schleck, Alberto Contador a pu constater qu’Andreas Klöden n’était plus cantonné au rôle d’équipier d’Armstrong et a considéré de manière bienveillante cette accélération spectaculaire de l’Américain.(...)
Afp
C’est assurément l’image de cette seizième étape: distancé par cinq prétendants au podium dans l’ascension du Petit-Saint-Bernard, Lance Armstrong saute sur ses pédales, secoue son vélo et colle sur place le groupe de poursuivants qui l’accompagnait pour combler en quelques centaines de mètres les vingt-trente secondes de retard qu’il avait concédées à Frank et Andy Schleck, Alberto Contador, Andreas Klöden et Bradley Wiggins. Alors que l’attaque des frères Schleck a semblé précipiter son déclin et sa chute du podium, le coureur américain a confirmé qu’il vendrait chèrement son cuir épais de septuple vainqueur du Tour et qu’il allait privilégier la stratégie d’équipe. Au classement général, Contador devance toujours Armstrong d’1’37’’ et Andy Schleck de 2’26’’. «Je persiste à dire que je ne peux plus accélérer comme ces gosses», confie Amstrong. Constamment au contact d’Andy Schleck, Alberto Contador a pu constater qu’Andreas Klöden n’était plus cantonné au rôle d’équipier d’Armstrong et a considéré de manière bienveillante cette accélération spectaculaire de l’Américain.(...)
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