A 22 ans, Yao Kouassi Gervais dit Gervinho s’est officiellement engagé hier avec Lille (Ligue 1, France) pour les trois saisons à venir. Le montant du transfert est estimé à plus de 5 milliards de Fcfa.
Le feuilleton a pris fin. Yao Kouassi Gervais, l’attaquant ivoirien de Le Mans (Ligue 1, France) n’était plus proche de Lille (Ligue 1, France), il y a de cela 72 h. Les dirigeants Lillois avaient semblé lâcher le morceau face à la surenchère des dirigeants du MUC 72. Les Dogues ne voulaient pas débourser les 6 milliards 559 millions de Fcfa exigés par le club sarthois. L’affaire a donc traîné. Cette situation a même agacé l’enfant de Tanda. Car l’Eléphant n’avait plus la tête au Mans. Il souhait changer d’air. Il était annoncé un peu partout. Surtout en Espagne. Mais c’est en France, qu’il va poursuivre sa carrière. Lui, qui avait inscrit 7 buts en 33 rencontres de Ligue 1, la saison dernière avec les Manceaux. Lui, qui a coûté plus de 5 milliards de Fcfa aux Dogues. Hier en fin d’après-midi, nous l’avons joint au téléphone, au moment où il se trouvait à Lille. Ecoutons-le.
Gervinho, c’est maintenant fait. Vous êtes officiellement Lillois. Quel est le sentiment qui vous anime ?
Je suis soulagé. L’affaire a mis du temps. Mais les choses ont fini par s’arranger. Je suis très heureux. J’arrive à Lille pour poursuivre ma progression, car je n’ai que 22 ans.
Comment avez-vous été accueilli à Lille ?
J’ai été très bien accueilli. Je viens de finir la visite médicale aujourd’hui même (hier) et tout se passe bien. J’ai rencontré quelques joueurs. J’ai visité les installations du club.
N’avez-vous jamais douté vue la tournure que prenait l’affaire ?
Non, je n’ai jamais douté. Je savais que c’était une question de temps. Et j’avais confiance en mes dirigeants et leur habileté à traiter ce genre de dossier.
Vous remplacez Michel Bastos, qui a fait briller les Dogues la saison dernière. N’avez pas peur de ce challenge ?
Je n’ai pas peur du challenge. Je vais essayer d’apporter ma pierre à la construction de l’édifice. Il me faut confirmer, car je sais que l’attente sera plus grande. Et je ne dois pas décevoir.
Le fait de retrouver Rudi Garcia, qui a vous déjà entraîné au Mans, a-t-il influencé votre choix ?
Il est vrai qu’il est souvent bon de retrouver un entraîneur qui vous connaît bien. C’est toujours un avantage. Mais Rudi Garcia ne va pas me dérouler le tapis rouge. C’est à moi de me battre pour avoir ma place. Je dois continuer de travailler pour atteindre le plus haut niveau.
Entretien réalisé au téléphone par Choilio Diomandé
Le feuilleton a pris fin. Yao Kouassi Gervais, l’attaquant ivoirien de Le Mans (Ligue 1, France) n’était plus proche de Lille (Ligue 1, France), il y a de cela 72 h. Les dirigeants Lillois avaient semblé lâcher le morceau face à la surenchère des dirigeants du MUC 72. Les Dogues ne voulaient pas débourser les 6 milliards 559 millions de Fcfa exigés par le club sarthois. L’affaire a donc traîné. Cette situation a même agacé l’enfant de Tanda. Car l’Eléphant n’avait plus la tête au Mans. Il souhait changer d’air. Il était annoncé un peu partout. Surtout en Espagne. Mais c’est en France, qu’il va poursuivre sa carrière. Lui, qui avait inscrit 7 buts en 33 rencontres de Ligue 1, la saison dernière avec les Manceaux. Lui, qui a coûté plus de 5 milliards de Fcfa aux Dogues. Hier en fin d’après-midi, nous l’avons joint au téléphone, au moment où il se trouvait à Lille. Ecoutons-le.
Gervinho, c’est maintenant fait. Vous êtes officiellement Lillois. Quel est le sentiment qui vous anime ?
Je suis soulagé. L’affaire a mis du temps. Mais les choses ont fini par s’arranger. Je suis très heureux. J’arrive à Lille pour poursuivre ma progression, car je n’ai que 22 ans.
Comment avez-vous été accueilli à Lille ?
J’ai été très bien accueilli. Je viens de finir la visite médicale aujourd’hui même (hier) et tout se passe bien. J’ai rencontré quelques joueurs. J’ai visité les installations du club.
N’avez-vous jamais douté vue la tournure que prenait l’affaire ?
Non, je n’ai jamais douté. Je savais que c’était une question de temps. Et j’avais confiance en mes dirigeants et leur habileté à traiter ce genre de dossier.
Vous remplacez Michel Bastos, qui a fait briller les Dogues la saison dernière. N’avez pas peur de ce challenge ?
Je n’ai pas peur du challenge. Je vais essayer d’apporter ma pierre à la construction de l’édifice. Il me faut confirmer, car je sais que l’attente sera plus grande. Et je ne dois pas décevoir.
Le fait de retrouver Rudi Garcia, qui a vous déjà entraîné au Mans, a-t-il influencé votre choix ?
Il est vrai qu’il est souvent bon de retrouver un entraîneur qui vous connaît bien. C’est toujours un avantage. Mais Rudi Garcia ne va pas me dérouler le tapis rouge. C’est à moi de me battre pour avoir ma place. Je dois continuer de travailler pour atteindre le plus haut niveau.
Entretien réalisé au téléphone par Choilio Diomandé