Ce mercredi, alors que débute le second stage de l’UNFP, Francefootball.fr donne la parole à l’avant-centre Eli Kroupi, sans club depuis janvier 2009 et son départ de Nîmes (L2). Entretien.
« Eli Kroupi, quels clubs se sont manifestés à votre égard depuis le premier stage de l’UNFP ?
Je suis en pourparlers avec des clubs du Golfe. J’ai des contacts au Qatar, aux Emirats arabes unis et à Oman.Ca neme dérangerait pas departir vers l’une de ces destinations. Pour moi, le principal, c’est de jouer. Mais si je reçois une bonne proposition venant de L1 ou L2 française, je serai content de revenir en France. Tout dépend des conditions dans lesquelles on me le permet. Croisons les doigts d’ici là.
Comment se fait-il que vous ayez rompu votre contrat à Nîmes, fin janvier ?
C’est un peu compliqué, je ne veux pas entrer dans les détails. Le côté sportif a un peu pesé dans la balance. Je tiens juste à dire que les dirigeants nîmois ont été très corrects avec moi. J’ai gardé de bons rapports avec eux. Mes six mois là-bas restent donc une expérience positive.
Parmi les stagiaires UNFP, vous faites partie de ceux qui ont déjà joué au plus haut niveau français. Un retour en L1 est-il de l’ordre du possible ?
Sans me jeter des fleurs, quand je vois certains matches de l’élite, je me dis que je dois encore avoir le niveau pour évoluer en première division. Je ne pense pas être un mauvais joueur. C’est juste que le football français m’a collé l’étiquette d’homme difficile à gérer. Dans ce milieu, les gens parlent beaucoup sans vraiment vérifier leurs informations. C’est regrettable. Pour juger une personne, il faut d’abord la connaître...
Pourquoi avez-vous hérité d’une telle réputation ?
Sûrement à cause de mon fort tempérament. Oui, j’ai du caractère. Mais du caractère, il en faut pour s’en sortir quand on est footballeur professionnel.Lorsque je poussedes coups de gueule sur le terrain, c’est toujours pour le bien de l’équipe. Je ne suis pas un individualiste, j’aime me démener pour mes coéquipiers. D’ailleurs, dans chacun de mes clubs, je m’entendais bien avec tous mes partenaires. Le véritable Eli Kroupi est le contraire de celui auquel beaucoup croient avoir à faire. »
France Football
« Eli Kroupi, quels clubs se sont manifestés à votre égard depuis le premier stage de l’UNFP ?
Je suis en pourparlers avec des clubs du Golfe. J’ai des contacts au Qatar, aux Emirats arabes unis et à Oman.Ca neme dérangerait pas departir vers l’une de ces destinations. Pour moi, le principal, c’est de jouer. Mais si je reçois une bonne proposition venant de L1 ou L2 française, je serai content de revenir en France. Tout dépend des conditions dans lesquelles on me le permet. Croisons les doigts d’ici là.
Comment se fait-il que vous ayez rompu votre contrat à Nîmes, fin janvier ?
C’est un peu compliqué, je ne veux pas entrer dans les détails. Le côté sportif a un peu pesé dans la balance. Je tiens juste à dire que les dirigeants nîmois ont été très corrects avec moi. J’ai gardé de bons rapports avec eux. Mes six mois là-bas restent donc une expérience positive.
Parmi les stagiaires UNFP, vous faites partie de ceux qui ont déjà joué au plus haut niveau français. Un retour en L1 est-il de l’ordre du possible ?
Sans me jeter des fleurs, quand je vois certains matches de l’élite, je me dis que je dois encore avoir le niveau pour évoluer en première division. Je ne pense pas être un mauvais joueur. C’est juste que le football français m’a collé l’étiquette d’homme difficile à gérer. Dans ce milieu, les gens parlent beaucoup sans vraiment vérifier leurs informations. C’est regrettable. Pour juger une personne, il faut d’abord la connaître...
Pourquoi avez-vous hérité d’une telle réputation ?
Sûrement à cause de mon fort tempérament. Oui, j’ai du caractère. Mais du caractère, il en faut pour s’en sortir quand on est footballeur professionnel.Lorsque je poussedes coups de gueule sur le terrain, c’est toujours pour le bien de l’équipe. Je ne suis pas un individualiste, j’aime me démener pour mes coéquipiers. D’ailleurs, dans chacun de mes clubs, je m’entendais bien avec tous mes partenaires. Le véritable Eli Kroupi est le contraire de celui auquel beaucoup croient avoir à faire. »
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