Les résultats de la mission de prospection du Centre Antipollution (Ciapol) effectuée à l’effet de connaître la nature des déchets déversés au quartier Biafra dans la commune de Treichville et parer aux dispositions utiles à prendre, sont connus depuis le samedi 25 juillet 2009. Les déchets concernés ne sont pas de nature toxique. L’assurance a été donnée par le directeur du Ciapol, M. André Doh.
Le lundi 13 juillet 2009, interpellée par le déversement de déchets dans le quartier Biafra de Treichville, une équipe du Ciapol s’est rendue sur le site pour prospecter et faire des prélèvements. Livrant les résultats de cette mission de prospection le samedi dernier, le directeur du Ciapol M. André Doh a fait savoir que deux (2) échantillons ont été pris pour être analysés au laboratoire. Avec pour méthode d’examen, la chromatographie en phase gazeuse pour la détermination des matières actives. « Les analyses ont porté sur les résidus liquides. Il en ressort la présence d’une matière active (le diazinon) avec des teneurs de 10,44 g/l dans la citerne et 4,24 g/l dans le camion de vidange. Après analyse et recoupements des données, nous affirmons avec certitude que les déchets déversés au quartier Biafra ne sont pas toxiques. Car, pour l’être, il faut que la concentration toxique des déchets concernés soit dans l’ordre d’au moins 100 g/l. Ce qui n’est pas le cas avec les déchets déversés à Treichville-Biafra», a précisé M. André Doh qui avait à ses côtés l’Inspecteur général de l’Environnement M. Guillaume Zan Bi et deux substituts du Procureur de la République. Non sans souligner qu’aucun cas de contamination liée au déversement desdits déchets n’a été enregistré. « Ceux qui se sont présentés comme des malades de ces produits ont présenté d’autres cas de maladies et non des pathologies liées directement à ces déchets. Cela achève de convaincre que les produits déversés ne sont pas toxiques comme les résultats l’ont relevé. Toutefois, pour tous ceux qui seraient tentés de mettre en cause ces résultats, les échantillons que nous avons mis sous scellés sont toujours disponibles et des examens complémentaires peuvent toujours être effectués à tout moment par tout requérant qui en formulerait la demande », a-t-il noté. Concluant, il a félicité les riverains du Biafra pour leur vigilance et l’interpellation de ses services aux premières heures du déversement des déchets de la société STPC. Avant de rassurer les populations de l’engagement de ses services pour la lutte antipollution en terre ivoirienne.
Le lundi 13 juillet 2009, interpellée par le déversement de déchets dans le quartier Biafra de Treichville, une équipe du Ciapol s’est rendue sur le site pour prospecter et faire des prélèvements. Livrant les résultats de cette mission de prospection le samedi dernier, le directeur du Ciapol M. André Doh a fait savoir que deux (2) échantillons ont été pris pour être analysés au laboratoire. Avec pour méthode d’examen, la chromatographie en phase gazeuse pour la détermination des matières actives. « Les analyses ont porté sur les résidus liquides. Il en ressort la présence d’une matière active (le diazinon) avec des teneurs de 10,44 g/l dans la citerne et 4,24 g/l dans le camion de vidange. Après analyse et recoupements des données, nous affirmons avec certitude que les déchets déversés au quartier Biafra ne sont pas toxiques. Car, pour l’être, il faut que la concentration toxique des déchets concernés soit dans l’ordre d’au moins 100 g/l. Ce qui n’est pas le cas avec les déchets déversés à Treichville-Biafra», a précisé M. André Doh qui avait à ses côtés l’Inspecteur général de l’Environnement M. Guillaume Zan Bi et deux substituts du Procureur de la République. Non sans souligner qu’aucun cas de contamination liée au déversement desdits déchets n’a été enregistré. « Ceux qui se sont présentés comme des malades de ces produits ont présenté d’autres cas de maladies et non des pathologies liées directement à ces déchets. Cela achève de convaincre que les produits déversés ne sont pas toxiques comme les résultats l’ont relevé. Toutefois, pour tous ceux qui seraient tentés de mettre en cause ces résultats, les échantillons que nous avons mis sous scellés sont toujours disponibles et des examens complémentaires peuvent toujours être effectués à tout moment par tout requérant qui en formulerait la demande », a-t-il noté. Concluant, il a félicité les riverains du Biafra pour leur vigilance et l’interpellation de ses services aux premières heures du déversement des déchets de la société STPC. Avant de rassurer les populations de l’engagement de ses services pour la lutte antipollution en terre ivoirienne.