Alfred Obrou ne se fait pas de souci pour le transfert de Kader Kéita, de Lyon à Galatassaray, dont des observateurs trouvent le montant dérisoire, si ce n’est la direction du joueur qui étonne. Dans son vaste bureau de Cocody-Angré où un poste de télévision diffuse en permanence des images de matches de foot, le tout puissant agent FIFA ivoirien, sourire en coin, décortique le sujet avec une seule intention : convaincre. « Kader n’a pas été bradé. Il a été acheté à sa juste valeur. Il a signé pour 8 millions d’euros à Galatassaray qui est un des plus grands clubs d’Europe. Je comprends la déception des uns et des autres. Mais il fallait le faire. Kader était le plus gros transfert de toute l’histoire du football français. Aujourd’hui encore, il détient le plus gros transfert de Galatassaray », confie l’agent FiFA qui se réjouit de l’amélioration de la cagnotte de l’international milieu offensif ivoirien. « Au plan salarial, il passe du simple au double. Sans commentaire », insiste- il.
Alfred Obrou se félicite de ce choix « à la fois un challenge sportif et financier ». Pour lui, il fallait trouver à Kader une destination qui devait lui donner la possibilité de participer à une coupe d’Europe. « Les dirigeants le voulaient. Le coach le voulait et ne s’empêchait pas de l’appeler », martèle-t-il.
Mais à quel Kader devrait-on s’attendre en Turquie ? « Un garçon qui a envie de jouer comme il prenait plaisir à le faire du temps où il évoluait à Lille avant d’atterrir à Lyon», répond-il sans ambages. Et Alfred Obrou de se réjouir à l’avance que Kader trouvera chez les Turcs ce qui lui a cruellement manqué au contact des Français (être bien entouré) et qui lui a coûté deux saisons maussades : « Kader n’a jamais été heureux à Lyon. C’est quelqu’un qui a besoin d’être se sentir aimé. Or Lyon ne fonctionne pas comme ça. En Turquie, à son arrivée, on lui a fait visiter 4 appartements en 3 jours. Il avait à sa disposition un chauffeur. Il prend son petit déjeuner avec son coach Franck Rijkaard…En tout cas, Kader se sent chez lui en Turquie » affirme l’agent FIFA.
Alfred Obrou confie que Kader qui ne voulait pas prendre la direction de la Turquie a été édifié lorsqu’il lui a appris qu’il venait de signer le plus gros transfert en Turquie. L’agent FIFA évoque aussi les coups de fil du coach néerlandais qui le pistait depuis Lille et qui « l’a vu jouer 7 fois ».
Schadé Adédé
Alfred Obrou se félicite de ce choix « à la fois un challenge sportif et financier ». Pour lui, il fallait trouver à Kader une destination qui devait lui donner la possibilité de participer à une coupe d’Europe. « Les dirigeants le voulaient. Le coach le voulait et ne s’empêchait pas de l’appeler », martèle-t-il.
Mais à quel Kader devrait-on s’attendre en Turquie ? « Un garçon qui a envie de jouer comme il prenait plaisir à le faire du temps où il évoluait à Lille avant d’atterrir à Lyon», répond-il sans ambages. Et Alfred Obrou de se réjouir à l’avance que Kader trouvera chez les Turcs ce qui lui a cruellement manqué au contact des Français (être bien entouré) et qui lui a coûté deux saisons maussades : « Kader n’a jamais été heureux à Lyon. C’est quelqu’un qui a besoin d’être se sentir aimé. Or Lyon ne fonctionne pas comme ça. En Turquie, à son arrivée, on lui a fait visiter 4 appartements en 3 jours. Il avait à sa disposition un chauffeur. Il prend son petit déjeuner avec son coach Franck Rijkaard…En tout cas, Kader se sent chez lui en Turquie » affirme l’agent FIFA.
Alfred Obrou confie que Kader qui ne voulait pas prendre la direction de la Turquie a été édifié lorsqu’il lui a appris qu’il venait de signer le plus gros transfert en Turquie. L’agent FIFA évoque aussi les coups de fil du coach néerlandais qui le pistait depuis Lille et qui « l’a vu jouer 7 fois ».
Schadé Adédé