La 2ème édition du Salon ivoirien de la micro finance se tiendra du 29 au 31 juillet prochain à la Caistab, à Abidjan-Plateau, à l’initiative de l’agence de communication MDC. Le rôle de la micro finance en tant que facteur de développement sera au centre des réflexions de cette édition. Une conférence de presse qui vise à présenter l’évènement s’est tenue, le 24 juillet dernier, à la fondation Niagoran Bouah, à la Riviéra.
Selon le commissaire général du salon, Aristide Monney, ce salon entend rassembler, toutes les entreprises partenaires, les institutions, les organisations et structures d’appui aux institutions de micro finance, notamment les banques, les assurances, l’Etat, les bailleurs de fonds. Egalement les services de valeur ajoutée que sont les télécoms, le transfert d’argent, le transport. Il s’agira, dit-il, d’informer sur le rôle et le fonctionnement des institutions de micro finance (IMF), de renforcer les liens de collaboration entre elles, de sensibiliser les autorités sur l’importance de ces institutions et de renforcer leurs capacités de financement auprès des bailleurs de fonds. En plus de susciter des souscriptions auprès des IMF, les initiateurs envisagent de créer une plate-forme de rencontre annuelle entre ces institutions, les entreprises, les porteurs de projets et les populations, a rapporté le commissaire général.
Par ailleurs, le salon s’articulera autour de trois grands axes que sont les expositions, les conférences et le déjeuner de clôture. “En Côte d’Ivoire, on compte à ce jour plus de 91 institutions de micro finance pour environ 210 caisses de base légalement constituées. Plus de 900 mille personnes bénéficient des services offerts par ce secteur dont le montant de l’épargne mobilisée se chiffe à plus de 90 milliards de FCFA”, a-t-il précisé.
Djè Abel
Selon le commissaire général du salon, Aristide Monney, ce salon entend rassembler, toutes les entreprises partenaires, les institutions, les organisations et structures d’appui aux institutions de micro finance, notamment les banques, les assurances, l’Etat, les bailleurs de fonds. Egalement les services de valeur ajoutée que sont les télécoms, le transfert d’argent, le transport. Il s’agira, dit-il, d’informer sur le rôle et le fonctionnement des institutions de micro finance (IMF), de renforcer les liens de collaboration entre elles, de sensibiliser les autorités sur l’importance de ces institutions et de renforcer leurs capacités de financement auprès des bailleurs de fonds. En plus de susciter des souscriptions auprès des IMF, les initiateurs envisagent de créer une plate-forme de rencontre annuelle entre ces institutions, les entreprises, les porteurs de projets et les populations, a rapporté le commissaire général.
Par ailleurs, le salon s’articulera autour de trois grands axes que sont les expositions, les conférences et le déjeuner de clôture. “En Côte d’Ivoire, on compte à ce jour plus de 91 institutions de micro finance pour environ 210 caisses de base légalement constituées. Plus de 900 mille personnes bénéficient des services offerts par ce secteur dont le montant de l’épargne mobilisée se chiffe à plus de 90 milliards de FCFA”, a-t-il précisé.
Djè Abel
