Le président national de la conférence CAP unir pour la réélection de Laurent Gbagbo (Cap-UR-LG), M. Gervais Coulibaly Delinpelna, a présidé, récemment, à la Place de la paix, à Bouaké, la cérémonie d’investiture de Mlle Kouamé Akissi Jacky Léandros Raphaël, la coordinatrice régionale de la Vallée du Bandama dudit mouvement. Celle-ci a été investie dans ses fonctions par M. Coulibaly Abdalah, le président national de la Jeunesse du CAP-UR-LG. Ce, en présence des têtes couronnées, des dignitaires religieux et surtout des populations venues des quatre coins de la région de la Vallée du Bandama, pour exprimer leur attachement à la personne du Président Laurent Gbagbo.
Selon Gervais Coulibaly, même si l’on n’aime pas l’Apo que le Premier ministre Soro Guillaume a signé avec Laurent Gbagbo, force est de reconnaître que c’est grâce à cet arrangement politique que tous les leaders politiques circulent à travers le pays pour rencontrer leurs militants respectifs.
Il a, à cette occasion, exhorté les jeunes à se mettre au travail parce que la paix seule ne suffit pas et que c’est en travaillant qu’ils pourront s’affranchir. Coulibaly Gervais a aussi dit que le Président Laurent Gbagbo travaille quotidiennement pour que le premier tour de la présidentielle prévu le 29 novembre se tienne effectivement à cette date.”Gbagbo dit de vous dire qu’il veut aller aux élections et puis il va battre tous ses adversaires”, a-t-il lancé. La preuve, s’il ne voulait pas aller aux élections, il n’aurait pas accepté de signer l’Accord politique de Ouagadougou qui a permis à la Côte d’Ivoire de procéder à l’opération d’identification des populations et du recensement électoral. “Il faut que nous allions aux élections pour que le Président Laurent Gbagbo ait son propre gouvernement pour diriger la Côte d’Ivoire conformément au programme pour lequel le peuple l’a élu”, a-t-il fait savoir. Car, fait-il remarquer, Gbagbo Laurent “ne maîtrise pas tout ce gouvernement dans la mesure où chacun des ministres qui appartiennent à des partis politiques et qui détiennent des ministères de souveraineté va prendre des instructions chez son leader politique, traîne les pieds lorsque surgissent des problèmes dans son département”. Selon lui, quelquefois, au lieu de régler le problème, les ministres jettent plutôt de l’huile sur le feu. Par conséquent, ce n’est pas dans cette situation que le Président Gbagbo veut rester. Il veut en finir pour mettre en œuvre sa vraie politique. Pour cela, M. Coulibaly a exhorté les populations à donner “l’occasion au Président Laurent Gbagbo de gagner les élections en faisant le bon choix le 29 novembre prochain”. C’est pour ça que le CAP-UR-LG a été créé. Pour permettre “à ceux qui n’ont pas de parti politique et qui aiment le Chef de l’Etat qui est l’homme de la situation de rallier le camp de son organisation pour ensemble œuvrer à la réélection du candidat Laurent Gbagbo”.
Adjé Jean-Alexis
Selon Gervais Coulibaly, même si l’on n’aime pas l’Apo que le Premier ministre Soro Guillaume a signé avec Laurent Gbagbo, force est de reconnaître que c’est grâce à cet arrangement politique que tous les leaders politiques circulent à travers le pays pour rencontrer leurs militants respectifs.
Il a, à cette occasion, exhorté les jeunes à se mettre au travail parce que la paix seule ne suffit pas et que c’est en travaillant qu’ils pourront s’affranchir. Coulibaly Gervais a aussi dit que le Président Laurent Gbagbo travaille quotidiennement pour que le premier tour de la présidentielle prévu le 29 novembre se tienne effectivement à cette date.”Gbagbo dit de vous dire qu’il veut aller aux élections et puis il va battre tous ses adversaires”, a-t-il lancé. La preuve, s’il ne voulait pas aller aux élections, il n’aurait pas accepté de signer l’Accord politique de Ouagadougou qui a permis à la Côte d’Ivoire de procéder à l’opération d’identification des populations et du recensement électoral. “Il faut que nous allions aux élections pour que le Président Laurent Gbagbo ait son propre gouvernement pour diriger la Côte d’Ivoire conformément au programme pour lequel le peuple l’a élu”, a-t-il fait savoir. Car, fait-il remarquer, Gbagbo Laurent “ne maîtrise pas tout ce gouvernement dans la mesure où chacun des ministres qui appartiennent à des partis politiques et qui détiennent des ministères de souveraineté va prendre des instructions chez son leader politique, traîne les pieds lorsque surgissent des problèmes dans son département”. Selon lui, quelquefois, au lieu de régler le problème, les ministres jettent plutôt de l’huile sur le feu. Par conséquent, ce n’est pas dans cette situation que le Président Gbagbo veut rester. Il veut en finir pour mettre en œuvre sa vraie politique. Pour cela, M. Coulibaly a exhorté les populations à donner “l’occasion au Président Laurent Gbagbo de gagner les élections en faisant le bon choix le 29 novembre prochain”. C’est pour ça que le CAP-UR-LG a été créé. Pour permettre “à ceux qui n’ont pas de parti politique et qui aiment le Chef de l’Etat qui est l’homme de la situation de rallier le camp de son organisation pour ensemble œuvrer à la réélection du candidat Laurent Gbagbo”.
Adjé Jean-Alexis
