Depuis quelques jours Kolo est devenu le troisième défenseur le mieux payé de la planète derrière John Terry et Rio Ferdinand. Mais si le défenseur des Eléphants de Côte d’Ivoire a quitté les Gunners, ce n’est pas autant pour l’argent mais bien parce qu’il a remarqué une certaine incapacité d’Arsenal à tenir ses “patrons“.
Pour une équipe qui veut caresser des trophées et emmagasiner des titres il faut bien mettre la main à la poche pour prendre ou garder les meilleurs joueurs. Une politique du football moderne devenu le foot-business qui a échappé à Arsenal. Et Kolo n’a pas manqué de le souligner dans les colonnes de la BBC en affirmant que « La seule manière pour les meilleures équipes d’être au sommet est de disposer des meilleurs joueurs, et pour avoir ces joueurs, il faut dépenser beaucoup d’argent. C’est le football d’entreprise ».
En l’espace de quelques saisons, Arsenal a vu ses figures de prou partir sous d’autres couleurs sans que ses dirigeants ne tiennent tête. « Thierry Henry est parti, Patrick Vieira est parti, Ray Parlour est parti. A Arsenal, nous avons perdu trop de meneurs » des raisons claires qui pourraient expliquer la maigre moisson d’Arsène Wenger lors de ces dix dernières années.
Pour une équipe qui veut caresser des trophées et emmagasiner des titres il faut bien mettre la main à la poche pour prendre ou garder les meilleurs joueurs. Une politique du football moderne devenu le foot-business qui a échappé à Arsenal. Et Kolo n’a pas manqué de le souligner dans les colonnes de la BBC en affirmant que « La seule manière pour les meilleures équipes d’être au sommet est de disposer des meilleurs joueurs, et pour avoir ces joueurs, il faut dépenser beaucoup d’argent. C’est le football d’entreprise ».
En l’espace de quelques saisons, Arsenal a vu ses figures de prou partir sous d’autres couleurs sans que ses dirigeants ne tiennent tête. « Thierry Henry est parti, Patrick Vieira est parti, Ray Parlour est parti. A Arsenal, nous avons perdu trop de meneurs » des raisons claires qui pourraient expliquer la maigre moisson d’Arsène Wenger lors de ces dix dernières années.