Le buteur de l’Africa Sports, revenu à son meilleur niveau, reconnaît que ses coéquipiers
et lui ont pu se hisser en finale de la Coupe nationale grâce à Dieu.
Comment vous sentez-vous à la veille de votre première finale de Coupe nationale ?
Bien. Je signale que je ne suis pas seul dans ce cas puisqu’il y a une dizaine d’autres joueurs de l’Africa qui seront aussi à leur première finale de Coupe nationale. Si le Seigneur nous a donné la chance de revenir dans la course en Coupe nationale après notre défaite (1-0), en quart de finale, devant l’Asec Mimosas, nous n’avons plus droit à l’erreur.
Avec une qualification inespérée en demi-finale après un match de rattrapage contre l’ASC Ouragahio, ne peut-on pas affirmer que vous avez connu un parcours tortueux ?
On peut le dire. Pour avoir le droit de disputer cette finale de demain contre l’Asec, nous avons sué. Nous étions abattus après notre défaite contre l’Asec en quart de finale. Dieu nous a donné la chance de revenir dans la course. Demain, nous prendrons notre revanche.
Quel est votre choix : remporter la Coupe nationale ou la Ligue 1 ?
(Sourire) Je n’ai pas de choix à faire. La Ligue 1 et la Coupe nationale font partie de nos principaux objectifs. Cette finale, nous la jouerons jusqu’au bout.
Vous semblez être en forme depuis quelques semaines. Comment expliquez-vous cela après un début de saison timide ?
Cela s’explique par le travail. J’ai écouté les critiques et même certaines injures et je me suis mis au travail. Aujourd’hui, le fruit est là et je ne fais que le cueillir.
Gianni Bortoletto vous a-t-il apporté quelque chose dans votre rédemption ?
Il m’a effectivement apporté beaucoup. Coach Gianni me répète aussi toujours que le plus dur n’est pas d’arriver au plafond mais de pouvoir s’y maintenir.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Y.
et lui ont pu se hisser en finale de la Coupe nationale grâce à Dieu.
Comment vous sentez-vous à la veille de votre première finale de Coupe nationale ?
Bien. Je signale que je ne suis pas seul dans ce cas puisqu’il y a une dizaine d’autres joueurs de l’Africa qui seront aussi à leur première finale de Coupe nationale. Si le Seigneur nous a donné la chance de revenir dans la course en Coupe nationale après notre défaite (1-0), en quart de finale, devant l’Asec Mimosas, nous n’avons plus droit à l’erreur.
Avec une qualification inespérée en demi-finale après un match de rattrapage contre l’ASC Ouragahio, ne peut-on pas affirmer que vous avez connu un parcours tortueux ?
On peut le dire. Pour avoir le droit de disputer cette finale de demain contre l’Asec, nous avons sué. Nous étions abattus après notre défaite contre l’Asec en quart de finale. Dieu nous a donné la chance de revenir dans la course. Demain, nous prendrons notre revanche.
Quel est votre choix : remporter la Coupe nationale ou la Ligue 1 ?
(Sourire) Je n’ai pas de choix à faire. La Ligue 1 et la Coupe nationale font partie de nos principaux objectifs. Cette finale, nous la jouerons jusqu’au bout.
Vous semblez être en forme depuis quelques semaines. Comment expliquez-vous cela après un début de saison timide ?
Cela s’explique par le travail. J’ai écouté les critiques et même certaines injures et je me suis mis au travail. Aujourd’hui, le fruit est là et je ne fais que le cueillir.
Gianni Bortoletto vous a-t-il apporté quelque chose dans votre rédemption ?
Il m’a effectivement apporté beaucoup. Coach Gianni me répète aussi toujours que le plus dur n’est pas d’arriver au plafond mais de pouvoir s’y maintenir.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Y.