C’est officiel. Depuis le jeudi 6 août 2009, le chanteur Gadji Céli a été investi dans ses nouvelles fonctions de président du Conseil d’administration du Bureau ivoirien du droit d’auteur (BURIDA) qui sort d’une longue période de réforme pour son autonomie. La cérémonie de passation des charges a eu lieu dans une liesse partagée, dans la matinée, au siège de la maison des artistes, au Deux-Plateaux.
Armand Obou, l’homme qui a provisoirement piloté l’administration du Burida pendant près de 3 ans, après le limogeage de Tantie Oussou par le ministre Mel Eg Théodore qui avait à l’époque à charge le département de la Culture et de la Francophonie, n’était pas présent à cette cérémonie. Il s’est fait représenter par Zié Coulibaly. C’est d’ailleurs lui qui a pris en premier la parole pour dire son espoir de voir ce nouveau conseil révolutionner le Burida et défendre les intérêts des artistes.
Il a été suivi de Jack Delly, membre du Conseil. Après avoir rassuré les uns et les autres qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières dans la maison, il a demandé la réhabilitation de Tantie Oussou, injustement évincé de son poste, selon lui, il y a environ 3 ans.
Chose qui a été faite, les instants suivants, par le nouveau président Gadji Celi. Il ne restait plus qu’à l’ex-PCA du Burida, son alliée de poids à toutes les étapes des élections qui l’ont consacré, de sacrifier au rituel. C’est-à-dire, investir officiellement Gadji Céli élu le 25 juillet dernier, au Palais de la culture de Treichville.
Le valeureux capitaine des Eléphants footballeurs, lors de la CAN 92 qu’ils remportaient, devient ainsi le premier président du Conseil d’administration du Burida nouveau qu’il devra conduire vers des horizons meilleurs.
C’est d’ailleurs le vœu qu’il a fait, jeudi, sous les acclamations de ses camarades. «Il y a longtemps que nous avons lutté pour la restauration de l’image des artistes de Côte d’Ivoire. Maintenant, on a le levier en main et nous allons nous mettre au travail pour le bonheur de tous», a-t-il promis. La page est tourné.
Schadé Adédé
Armand Obou, l’homme qui a provisoirement piloté l’administration du Burida pendant près de 3 ans, après le limogeage de Tantie Oussou par le ministre Mel Eg Théodore qui avait à l’époque à charge le département de la Culture et de la Francophonie, n’était pas présent à cette cérémonie. Il s’est fait représenter par Zié Coulibaly. C’est d’ailleurs lui qui a pris en premier la parole pour dire son espoir de voir ce nouveau conseil révolutionner le Burida et défendre les intérêts des artistes.
Il a été suivi de Jack Delly, membre du Conseil. Après avoir rassuré les uns et les autres qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières dans la maison, il a demandé la réhabilitation de Tantie Oussou, injustement évincé de son poste, selon lui, il y a environ 3 ans.
Chose qui a été faite, les instants suivants, par le nouveau président Gadji Celi. Il ne restait plus qu’à l’ex-PCA du Burida, son alliée de poids à toutes les étapes des élections qui l’ont consacré, de sacrifier au rituel. C’est-à-dire, investir officiellement Gadji Céli élu le 25 juillet dernier, au Palais de la culture de Treichville.
Le valeureux capitaine des Eléphants footballeurs, lors de la CAN 92 qu’ils remportaient, devient ainsi le premier président du Conseil d’administration du Burida nouveau qu’il devra conduire vers des horizons meilleurs.
C’est d’ailleurs le vœu qu’il a fait, jeudi, sous les acclamations de ses camarades. «Il y a longtemps que nous avons lutté pour la restauration de l’image des artistes de Côte d’Ivoire. Maintenant, on a le levier en main et nous allons nous mettre au travail pour le bonheur de tous», a-t-il promis. La page est tourné.
Schadé Adédé