Situés sur le Port Autonome d’Abidjan, les Grands Moulins d’Abidjan (GMA) ont leur seconde représentation à San Pédro. Autre localité portuaire qui a accueilli une vingtaine de journalistes à l’occasion d’un séminaire de formation.
En 46 ans d’existence, c’est certainement la plus grande offensive communicationnelle entreprise par les Grands moulins d’Abidjan. Ateliers sur les thèmes “politique de communication des GMA”, “processus de fabrication de la farine”, “commercialisation et distribution de la farine”, projections de films, visite guidée du Moulin de San Pédro, d’une capacité de stockage de11000 tonnes et produisant 220 tonnes de farine par jour. Telles sont en substance les différentes étapes qui ont meublées le séminaire de formation organisé par les Grands Moulins d’Abidjan à l’attention de la presse ivoirienne, du 31 juillet au 1er août dernier à San Pédro. Comme pour faire taire ses détracteurs, quant à la qualité de ses produits, cette entreprise a permis aux journalistes de s’instruire sur le processus de fabrication de la farine, depuis l’arrivée des grains de blé par bateaux, jusqu’à leur transformation en farine boulangère et pâtissière. Pour Félix Diouf, Directeur général des Grands Moulins d’Abidjan, il s’agit là de la nouvelle vision de l’entreprise : « un besoin d’ouverture, pour mieux se faire connaître, vu que les GMA sont restés longtemps sans communiquer. Mais aussi de tisser un nouveau partenariat avec la presse, en mettant à sa disposition les informations nécessaires afin de rétablir la vérité quant à la qualité de la farine produite ». Dans un secteur soumis à une forte concurrence, avec l’existence, à ce jour, de quatre minoteries ayant une capacité de production totale de 500.000 tonnes de farine, pour un marché local qui ne peut en consommer que 250.000 tonnes, les GMA entendent conserver leur leadership, tout en étendant leurs tentacules aux pays de la sous région que sont le Mali, le Burkina-Faso, le Ghana, le Niger et la Guinée. Un véritable challenge qui fait dire à André Oka, chef du département des ventes, que « le vrai concurrent des GMA, c’est la lutte contre la malnutrition, le combat pour prendre des parts de marché aux autres produits céréaliers et de grande consommation tels le riz, le maïs et le manioc, à travers une politique de prix ».
Par Constant GUEY,
envoyé spécial à San Pédro
En 46 ans d’existence, c’est certainement la plus grande offensive communicationnelle entreprise par les Grands moulins d’Abidjan. Ateliers sur les thèmes “politique de communication des GMA”, “processus de fabrication de la farine”, “commercialisation et distribution de la farine”, projections de films, visite guidée du Moulin de San Pédro, d’une capacité de stockage de11000 tonnes et produisant 220 tonnes de farine par jour. Telles sont en substance les différentes étapes qui ont meublées le séminaire de formation organisé par les Grands Moulins d’Abidjan à l’attention de la presse ivoirienne, du 31 juillet au 1er août dernier à San Pédro. Comme pour faire taire ses détracteurs, quant à la qualité de ses produits, cette entreprise a permis aux journalistes de s’instruire sur le processus de fabrication de la farine, depuis l’arrivée des grains de blé par bateaux, jusqu’à leur transformation en farine boulangère et pâtissière. Pour Félix Diouf, Directeur général des Grands Moulins d’Abidjan, il s’agit là de la nouvelle vision de l’entreprise : « un besoin d’ouverture, pour mieux se faire connaître, vu que les GMA sont restés longtemps sans communiquer. Mais aussi de tisser un nouveau partenariat avec la presse, en mettant à sa disposition les informations nécessaires afin de rétablir la vérité quant à la qualité de la farine produite ». Dans un secteur soumis à une forte concurrence, avec l’existence, à ce jour, de quatre minoteries ayant une capacité de production totale de 500.000 tonnes de farine, pour un marché local qui ne peut en consommer que 250.000 tonnes, les GMA entendent conserver leur leadership, tout en étendant leurs tentacules aux pays de la sous région que sont le Mali, le Burkina-Faso, le Ghana, le Niger et la Guinée. Un véritable challenge qui fait dire à André Oka, chef du département des ventes, que « le vrai concurrent des GMA, c’est la lutte contre la malnutrition, le combat pour prendre des parts de marché aux autres produits céréaliers et de grande consommation tels le riz, le maïs et le manioc, à travers une politique de prix ».
Par Constant GUEY,
envoyé spécial à San Pédro