Source: Africahits
Même son ancien patron l’avait stigmatisé avec une pointe de raillerie propre au Quartier Latin. L’auteur ne m’a pas encore donné son opus pour l’auditionner. Toutefois, cette fois, il devra se battre contre lui- même ».
Dans l’ensemble, nous avons reconnu sa force de frappe ainsi que celle de son groupe lequel s’était affirmé scéniquement au même titre que l’album « Droit chemin ».
Cependant, nous inquiétudes s’étaient manifestées pour le couronnement spectaculaire de l’ « Arsenal de belles mélodies ».
Promis depuis la St Valentin, beaucoup des mélomanes n’avaient cessé de spéculer sur la quintessence de l’œuvre dont l’éventuel échec pourrait coûter cher l’artiste.
L’album « Qui est derrière toi ? » de son concurrent direct Ferré, un plus grand chanteur d’avenir, s’annonce avec effervescence.
Ce dernier qui demeure aux aguets n’entend pas encore dire son dernier mot. Il attend avec des sentiments revanchards après son « Sans interdit » jugé moyen. A ses côtés se joignent les Mulopwé, Céléo, Cabossé, toujours prêts à revendiquer leurs droits.
Cette palette d’antagonistes attendent l’heure propice pour le désillusionner. Pour le moment, Fally c’est dont l’homme à abattre l’avenir laisse augurer des perspectives honteuses.
Pour mieux situer l’ampleur de l’enjeu de l’Arsenal 2BM, au cours d’une interview télévisée, Maïka Munan, diplômé de Conservatoire de musique de Paris et successivement directeur artistique des albums « Lois » (Koffi), « Solola bien » (Werra, « Tempelo » (Rochereau) et autres de Wemba, Debaba, avait re connu que dans « Droit chemin » qu’il avait également supervise en comprie de Fally, ils avaient placé artisti quement la barre très haut.
Et depuis 2006, révéla-t-il, il attend avec impatience le musicien congolais capable d’atteindre la performance ou la prestance affichée par Fally.
C’est qui suppose que l’auteur de « Liputa » devrait se surpasser lui-même pour ce second round avec son arsenal des titres apparemment moins convaincants. C’est aussi l’avis de la rue.
Même son ancien patron l’avait stig matisé avec une pointe de raillerie propre au Quartier Latin. L’auteur ne m’a pas encore donné son opus pour l’auditionner. Toutefois, cette fois, il devra se battre contre lui- même ».
Comme on peut le remarquer, le nouvel album de Fally soulève des diverses commentaires qui interpellent l’auteur. C’est pourquoi, nous aurions souhaité que l’Arsenal 2 BM soit plus inspire d’un « schéma perfectible style Maïka » et non d’une charpente dégarnie et figée de « Droit-Chemin », expression du déjà entendu.
En se ressourçant systématiquement de son précédent style auquel il nous avait habitués pendant plus de deux ans, Fally a fait.
Il semble passer à côté du coche. La composition instrumentale de son travail paraît bâclée et surtout monocorde. Impossible à digérer. Les instrumentalistes principale ment sont nuls... pas à la hauteur des mélodies exubérantes.
Bref, de lavis général, sans un parti pris, Fally Ipupa, coqueluche du moment, n’est pas parvenu à lever le défi. Cette fois, il feint le droit chemin, qui la fait porter dans les cœurs de mélomanes pendant près de trois ans.
(Ern/BT/PKF)
Johnny Lukombo/La Référence Plus
Même son ancien patron l’avait stigmatisé avec une pointe de raillerie propre au Quartier Latin. L’auteur ne m’a pas encore donné son opus pour l’auditionner. Toutefois, cette fois, il devra se battre contre lui- même ».
Dans l’ensemble, nous avons reconnu sa force de frappe ainsi que celle de son groupe lequel s’était affirmé scéniquement au même titre que l’album « Droit chemin ».
Cependant, nous inquiétudes s’étaient manifestées pour le couronnement spectaculaire de l’ « Arsenal de belles mélodies ».
Promis depuis la St Valentin, beaucoup des mélomanes n’avaient cessé de spéculer sur la quintessence de l’œuvre dont l’éventuel échec pourrait coûter cher l’artiste.
L’album « Qui est derrière toi ? » de son concurrent direct Ferré, un plus grand chanteur d’avenir, s’annonce avec effervescence.
Ce dernier qui demeure aux aguets n’entend pas encore dire son dernier mot. Il attend avec des sentiments revanchards après son « Sans interdit » jugé moyen. A ses côtés se joignent les Mulopwé, Céléo, Cabossé, toujours prêts à revendiquer leurs droits.
Cette palette d’antagonistes attendent l’heure propice pour le désillusionner. Pour le moment, Fally c’est dont l’homme à abattre l’avenir laisse augurer des perspectives honteuses.
Pour mieux situer l’ampleur de l’enjeu de l’Arsenal 2BM, au cours d’une interview télévisée, Maïka Munan, diplômé de Conservatoire de musique de Paris et successivement directeur artistique des albums « Lois » (Koffi), « Solola bien » (Werra, « Tempelo » (Rochereau) et autres de Wemba, Debaba, avait re connu que dans « Droit chemin » qu’il avait également supervise en comprie de Fally, ils avaient placé artisti quement la barre très haut.
Et depuis 2006, révéla-t-il, il attend avec impatience le musicien congolais capable d’atteindre la performance ou la prestance affichée par Fally.
C’est qui suppose que l’auteur de « Liputa » devrait se surpasser lui-même pour ce second round avec son arsenal des titres apparemment moins convaincants. C’est aussi l’avis de la rue.
Même son ancien patron l’avait stig matisé avec une pointe de raillerie propre au Quartier Latin. L’auteur ne m’a pas encore donné son opus pour l’auditionner. Toutefois, cette fois, il devra se battre contre lui- même ».
Comme on peut le remarquer, le nouvel album de Fally soulève des diverses commentaires qui interpellent l’auteur. C’est pourquoi, nous aurions souhaité que l’Arsenal 2 BM soit plus inspire d’un « schéma perfectible style Maïka » et non d’une charpente dégarnie et figée de « Droit-Chemin », expression du déjà entendu.
En se ressourçant systématiquement de son précédent style auquel il nous avait habitués pendant plus de deux ans, Fally a fait.
Il semble passer à côté du coche. La composition instrumentale de son travail paraît bâclée et surtout monocorde. Impossible à digérer. Les instrumentalistes principale ment sont nuls... pas à la hauteur des mélodies exubérantes.
Bref, de lavis général, sans un parti pris, Fally Ipupa, coqueluche du moment, n’est pas parvenu à lever le défi. Cette fois, il feint le droit chemin, qui la fait porter dans les cœurs de mélomanes pendant près de trois ans.
(Ern/BT/PKF)
Johnny Lukombo/La Référence Plus