Il est revenu exclusivement au pays avec un single sous les bras pour donner une nouvelle impulsion au coupé décalé. L’ivoirien de Norvège, Abu Dukuly, qui fait actuellement la Une des journaux européens, est aujourd’hui vu par les requins du showbiz comme le digne successeur de Doukouré Stéphane alias Douk Saga, l’homme a qui il rend d’ailleurs hommage à travers son dernier opus. Accompagné d’un staff impressionnant d’européens, l’artiste veut profiter de son séjour pour apporter un soutien aux jeunes artistes ivoiriens en difficulté. People Magazine vous l’offre en exclusivité.
Qu’est-ce qui t’amène ici à Abidjan ?
La Côte d’Ivoire, c’est mon pays. Mais je suis là pour présenter ‘’Hommage à Douk Saga’’, le single que je viens de réaliser. Par ailleurs, je suis membre de SERBIE PRODUCTION, qui est une maison de production d’artistes. Alors, je suis venu à Abidjan surtout pour repositionner dans les bacs la musique coupé décalé qui, depuis le décès de Douk Saga, connaît une traversée du désert. A travers cette structure, je veux aider la musique ivoirienne à se vendre en Scandinavie.
On te présente aujourd’hui comme le successeur de Douk Saga…
Si les gens le disent, c’est certainement à cause du talent et de la musique qui accompagne ma voix. Mais, je ne crois pas que je puisse avoir le même aura que le sommet de l’Himalaya, qui d’ailleurs, est mon cousin. Douk Saga est irremplaçable. Moi, j’essaie simplement de sauver le mouvement et les mécènes du show biz apprécient beaucoup.
Quel souvenir retiens- tu de DOUK SAGA ?
Je tiens d’abord à remercier la population ivoirienne pour ce qu’elle a fait pour mon cousin qui n’est plus de ce monde. Quand le pays était en conflit, Douk Saga a bravé les risques issus des couvre-feux et autres, pour apporter de la gaité aux Ivoiriens et les amener à oublier un temps soit peu le stress. Je garde cela comme le meilleur souvenir, parce que pour moi, ce n’est pas les virées que nous avons faites ensemble qui sont importantes. Les bienfaits que les populations ont pu connaître qui sont pour moi les meilleurs souvenirs.
Dans quel Etat européen précisément as-tu commencé dans le showbiz?
J’ai commencé dans le showbiz californien, aux Etats- Unis. Ensuite, j’ai été accueilli par le Canada. Enfin, je me suis retrouvé avec Ziké, Soum Bill, DJ Jacob au Danemark. Nous avons donné beaucoup de spectacles ensemble pour positionner la musique
ivoirienne là-bas. Aujourd’hui, je vis en Norvège.
Tu es à Abidjan pour combien de temps?
Juste un mois.
Des spectacles en vue ?
Bien sûr ! Je joue le 31 octobre prochain au Danemark avec Alpha Blondy dans la plus grande salle Copenhague. Je me réserve à faire la promo de mon album ici exclusivement.
Interview réalisée par Léon Saki
Qu’est-ce qui t’amène ici à Abidjan ?
La Côte d’Ivoire, c’est mon pays. Mais je suis là pour présenter ‘’Hommage à Douk Saga’’, le single que je viens de réaliser. Par ailleurs, je suis membre de SERBIE PRODUCTION, qui est une maison de production d’artistes. Alors, je suis venu à Abidjan surtout pour repositionner dans les bacs la musique coupé décalé qui, depuis le décès de Douk Saga, connaît une traversée du désert. A travers cette structure, je veux aider la musique ivoirienne à se vendre en Scandinavie.
On te présente aujourd’hui comme le successeur de Douk Saga…
Si les gens le disent, c’est certainement à cause du talent et de la musique qui accompagne ma voix. Mais, je ne crois pas que je puisse avoir le même aura que le sommet de l’Himalaya, qui d’ailleurs, est mon cousin. Douk Saga est irremplaçable. Moi, j’essaie simplement de sauver le mouvement et les mécènes du show biz apprécient beaucoup.
Quel souvenir retiens- tu de DOUK SAGA ?
Je tiens d’abord à remercier la population ivoirienne pour ce qu’elle a fait pour mon cousin qui n’est plus de ce monde. Quand le pays était en conflit, Douk Saga a bravé les risques issus des couvre-feux et autres, pour apporter de la gaité aux Ivoiriens et les amener à oublier un temps soit peu le stress. Je garde cela comme le meilleur souvenir, parce que pour moi, ce n’est pas les virées que nous avons faites ensemble qui sont importantes. Les bienfaits que les populations ont pu connaître qui sont pour moi les meilleurs souvenirs.
Dans quel Etat européen précisément as-tu commencé dans le showbiz?
J’ai commencé dans le showbiz californien, aux Etats- Unis. Ensuite, j’ai été accueilli par le Canada. Enfin, je me suis retrouvé avec Ziké, Soum Bill, DJ Jacob au Danemark. Nous avons donné beaucoup de spectacles ensemble pour positionner la musique
ivoirienne là-bas. Aujourd’hui, je vis en Norvège.
Tu es à Abidjan pour combien de temps?
Juste un mois.
Des spectacles en vue ?
Bien sûr ! Je joue le 31 octobre prochain au Danemark avec Alpha Blondy dans la plus grande salle Copenhague. Je me réserve à faire la promo de mon album ici exclusivement.
Interview réalisée par Léon Saki
