Ce n’était pas une rumeur, Laurent Gbagbo est vraiment malade. « Nous le disons tout net : Non, le Chef de l’Etat n’est pas malade… A preuve, il n’est pas monté à bord du Grumann présidentiel le mardi 11 août dernier, sur une civière (en témoignent les images de la télévision nationale). En tout état de cause, le Président Gbagbo reste un homme et a aussi droit au repos (..) ». Ce droit de réponse du service de communication de la Présidence de la République adressé à nos confrères de « L’expression » (publié dans l’édition n°40 du 14 août au 16 août 2009) pensait ainsi démentir l’information circulant sur l’état de santé pas très reluisant du Chef de l’Etat. Le concerné est venu battre en brèche toute la littérature de ses « Messieurs Com ». Alors que la rumeur l’annonçait pour mort, Laurent Gbagbo, qui a atterri à Yamoussoukro en provenance du Maroc a confié à la presse qu’il n’était pas en séjour de noces ou encore moins en villégiature. Il est allé dans le royaume Chérifien pour un mal de dent. Il était malade. Il avait un mal de dent.
« Je ne suis pas allé me reposer au Maroc. Avant de partir, j’ai appelé le Premier ministre, les Officiers, comme je le fais d’habitude. Et je leur ai dit que je m’absente pour 10 jours au Maroc, parce que mon dentiste m’a dit que j’avais un problème sur la dent et qu’il savait ce qu’il fallait faire, mais qu’il n’avait pas le matériel adéquat ici. Un cabinet ami au Maroc pouvait le faire. Il fallait donc qu’on y aille. C’est tout. Il n’y a rien d’autre », a déclaré Laurent Gbagbo, certainement heureux de retrouver son pays.
Pour ne pas prendre de risque inutile, le médecin de Laurent Gbagbo a préféré l’orienter vers un plateau technique plus performant. Parce qu’on meurt aussi bien d’un mal de dent que d’un cancer. Que Dieu nous en garde ! A-t-il été définitivement soulagé ? Difficile de répondre maintenant avec certitude.
Car vous devinez aisément que ce n’est pas un mal ordinaire qu’on peut soigner dans nos établissements hospitaliers de référence. Au-delà de tout, le Chef est bel et bien vivant. Et nous en sommes contents. Il y a donc eu plus de peur que de mal. Et Pour mieux montrer sa santé retrouvée, Laurent Gbagbo a montré sa dentition relookée à tout le monde. La télévision nationale a même fait un zoom sur la scénette.
Pour ne pas prendre de risque inutile, le médecin de Laurent Gbagbo a préféré l’orienter vers un plateau technique plus performant. Parce qu’on meurt aussi bien d’un mal de dent que d’un cancer. Une précaution n’est jamais de trop en la matière. Que Dieu nous en garde !
Coulibaly Brahima
« Je ne suis pas allé me reposer au Maroc. Avant de partir, j’ai appelé le Premier ministre, les Officiers, comme je le fais d’habitude. Et je leur ai dit que je m’absente pour 10 jours au Maroc, parce que mon dentiste m’a dit que j’avais un problème sur la dent et qu’il savait ce qu’il fallait faire, mais qu’il n’avait pas le matériel adéquat ici. Un cabinet ami au Maroc pouvait le faire. Il fallait donc qu’on y aille. C’est tout. Il n’y a rien d’autre », a déclaré Laurent Gbagbo, certainement heureux de retrouver son pays.
Pour ne pas prendre de risque inutile, le médecin de Laurent Gbagbo a préféré l’orienter vers un plateau technique plus performant. Parce qu’on meurt aussi bien d’un mal de dent que d’un cancer. Que Dieu nous en garde ! A-t-il été définitivement soulagé ? Difficile de répondre maintenant avec certitude.
Car vous devinez aisément que ce n’est pas un mal ordinaire qu’on peut soigner dans nos établissements hospitaliers de référence. Au-delà de tout, le Chef est bel et bien vivant. Et nous en sommes contents. Il y a donc eu plus de peur que de mal. Et Pour mieux montrer sa santé retrouvée, Laurent Gbagbo a montré sa dentition relookée à tout le monde. La télévision nationale a même fait un zoom sur la scénette.
Pour ne pas prendre de risque inutile, le médecin de Laurent Gbagbo a préféré l’orienter vers un plateau technique plus performant. Parce qu’on meurt aussi bien d’un mal de dent que d’un cancer. Une précaution n’est jamais de trop en la matière. Que Dieu nous en garde !
Coulibaly Brahima
