Il s’appelle Koné Alpha Ismaël, plus connu sous le pseudonyme d’Agana. Il a décidé de se faire une place dans le monde du reggae. Mais l’héritage est lourd parfois à porter et à assumer. Il est le fils de la méga star Alpha Blondy.
Son style (Rootsteady) est particulier et le jeune homme veut l’imposer loin des influences du père. Il est né le 30 décembre 1972 à Ouragahio, dans l’Ouest en Côte d’Ivoire. Il passe son enfance et son adolescence entre Adzopé et Abidjan, la capitale économique ivoirienne, et refuse d’aller à l’université. L’informatique l’intéresse au point même de commencer à suivre une formation dans ce domaine. Mais, il aime le reggae. L’influence de son père y est certainement pour quelque chose. Car cette musique l’a bercé de long moment. En Côte d’Ivoire, la carrière d’Agana débute en 1995 où il produit l’album The Day qui sera suivi de Massif en 1997 et Patriote en 1999.
Aussi, ce militant actif pour une société africaine responsable n'hésite pas à s'engager sur le terrain en s'impliquant aux côtés d'une ONG dans une campagne de sensibilisation contre le SIDA en 1996, ou encore l'ulcère de buruli en 1998.
En outre, lorsqu'un appel de don du sang est lancé pour sauver des soldats blessés lors des attaques d'Abidjan, le citoyen Agana répond immédiatement à cet appel, allant jusqu'à battre le pavé lors de la Grande Marche de la "Réconciliation et de la Liberté " pour sauver une Côte d'Ivoire au bord de l'explosion.
Soucieux de prouver à ses détracteurs des premiers temps qu'ils auront fait sa force, cette bombe à retardement dont la persévérance, l'humilité, la ténacité, le souci de la perfection, l'acharnement au travail sont des vertus qu’il cultive. Agana prend ensuite, comme il le dit, « son baluchon pour courir le monde ».
Hana M.
Son style (Rootsteady) est particulier et le jeune homme veut l’imposer loin des influences du père. Il est né le 30 décembre 1972 à Ouragahio, dans l’Ouest en Côte d’Ivoire. Il passe son enfance et son adolescence entre Adzopé et Abidjan, la capitale économique ivoirienne, et refuse d’aller à l’université. L’informatique l’intéresse au point même de commencer à suivre une formation dans ce domaine. Mais, il aime le reggae. L’influence de son père y est certainement pour quelque chose. Car cette musique l’a bercé de long moment. En Côte d’Ivoire, la carrière d’Agana débute en 1995 où il produit l’album The Day qui sera suivi de Massif en 1997 et Patriote en 1999.
Aussi, ce militant actif pour une société africaine responsable n'hésite pas à s'engager sur le terrain en s'impliquant aux côtés d'une ONG dans une campagne de sensibilisation contre le SIDA en 1996, ou encore l'ulcère de buruli en 1998.
En outre, lorsqu'un appel de don du sang est lancé pour sauver des soldats blessés lors des attaques d'Abidjan, le citoyen Agana répond immédiatement à cet appel, allant jusqu'à battre le pavé lors de la Grande Marche de la "Réconciliation et de la Liberté " pour sauver une Côte d'Ivoire au bord de l'explosion.
Soucieux de prouver à ses détracteurs des premiers temps qu'ils auront fait sa force, cette bombe à retardement dont la persévérance, l'humilité, la ténacité, le souci de la perfection, l'acharnement au travail sont des vertus qu’il cultive. Agana prend ensuite, comme il le dit, « son baluchon pour courir le monde ».
Hana M.