Quels sentiments vous animent à l'entame de votre visite de quelques jours
Je voudrais remercier très sincèrement le Président Gbagbo pour cette invitation. Car il s'agit d'une belle opportunité pour nos deux pays. Cette visite s'inscrit dans un contexte marqué par la rénovation des instruments de coopération entre nos deux peuples à partir de l'accord du traité d'amitié du 29 juillet 2008. Ce qui montre que nous avons là, un environnement politique favorable à des discussions sereines pour le raffermissement des liens historiques entre nos deux peuples. J'aimerais profiter de cette occasion pour exprimer la gratitude du peuple burkinabé à l'endroit du Président Gbagbo, du gouvernement et du peuple ivoirien pour l'élan de solidarité et de compassion que nous avons reçu de la part de la Côte d'Ivoire, à la suite de l'inondation qui a causé bien de dégâts au Burkina Faso.
L'Assemblée nationale, le Conseil des ministres conjoint, etc. c'est très rare en Afrique. Quel message à l'Afrique tout entière à travers ces activités ?
(...) L'Afrique de l'Ouest doit son avenir au mieux, en organisant parfaitement l'intégration. La Côte d'Ivoire et le Burkina Faso pensent qu'il faut donner le ton. Au-delà des textes qui là, il faut marquer plus de volonté et d'ambition pour rapprocher davantage ces deux peuples. Il faut faire en sorte que nous ayons à la fois des espaces vertueux de croissances économiques, mais aussi des espaces de sécurité collectifs. C'est cela que nous allons ici en Côte d'Ivoire. Nous espérons que cela doit stimuler les ambitions des autres pays de la région, pour que nous puissions traiter efficacement des questions d'intégration dans la zone.
La Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, maillon fort de l'intégration sous-régionale ?
Nous souhaitons tirer le mouvement pour donner plus de chance à la réussite du processus en Afrique de l'Ouest.
Propos recueillis par : Tché Bi Tché
Je voudrais remercier très sincèrement le Président Gbagbo pour cette invitation. Car il s'agit d'une belle opportunité pour nos deux pays. Cette visite s'inscrit dans un contexte marqué par la rénovation des instruments de coopération entre nos deux peuples à partir de l'accord du traité d'amitié du 29 juillet 2008. Ce qui montre que nous avons là, un environnement politique favorable à des discussions sereines pour le raffermissement des liens historiques entre nos deux peuples. J'aimerais profiter de cette occasion pour exprimer la gratitude du peuple burkinabé à l'endroit du Président Gbagbo, du gouvernement et du peuple ivoirien pour l'élan de solidarité et de compassion que nous avons reçu de la part de la Côte d'Ivoire, à la suite de l'inondation qui a causé bien de dégâts au Burkina Faso.
L'Assemblée nationale, le Conseil des ministres conjoint, etc. c'est très rare en Afrique. Quel message à l'Afrique tout entière à travers ces activités ?
(...) L'Afrique de l'Ouest doit son avenir au mieux, en organisant parfaitement l'intégration. La Côte d'Ivoire et le Burkina Faso pensent qu'il faut donner le ton. Au-delà des textes qui là, il faut marquer plus de volonté et d'ambition pour rapprocher davantage ces deux peuples. Il faut faire en sorte que nous ayons à la fois des espaces vertueux de croissances économiques, mais aussi des espaces de sécurité collectifs. C'est cela que nous allons ici en Côte d'Ivoire. Nous espérons que cela doit stimuler les ambitions des autres pays de la région, pour que nous puissions traiter efficacement des questions d'intégration dans la zone.
La Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, maillon fort de l'intégration sous-régionale ?
Nous souhaitons tirer le mouvement pour donner plus de chance à la réussite du processus en Afrique de l'Ouest.
Propos recueillis par : Tché Bi Tché