Traité Côte d'Ivoire-Burkina Faso
« Cette visite s'inscrit dans le contexte de rénovation des instruments de coopération entre nos deux pays »
Intégration régionale
« L'Afrique de l'Ouest doit préparer au mieux son avenir en organisant parfaitement l'intégration. La Côte d'Ivoire et le Burkina pensent qu'il faut donner le ton. Qu'il faut, au-delà des textes, marquer plus de volonté et d'ambition pour rapprocher les deux peuples »
Paix et développement
« Nous avons deux pays qui peuvent accélérer ensemble, le progrès et l'épanouissement de leurs de leurs peuples. Maintenant à partir de cet accord (Ndlr : APO), je dois dire que plus rien ne sera comme avant. Nous allons avancer ensemble ».
Genèse de l'APO
« Pour arriver à cet accord, il a fallu que le président Laurent Gbagbo et moi-même, puissions échanger, partager nos vues sur l'histoire de nos deux peuples ; échanger sur les liens historiques entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire, et nous dire finalement que, si Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo ne règlent pas cette crise, ce n'est pas la communauté internationale qui va le faire à leur place ».
Clin d'œil au chef du gouvernement
« Nous avons eu la chance de bénéficier de la grande compréhension du Premier ministre, Guillaume Soro, de sa vision, et de son grand patriotisme pour la Côte d'Ivoire ».
Election présidentielle
«Certes, on peut ça et là parler du rythme de progression de l'Accord. Mais, pour nous, il ne s'agit de bâcler un processus aussi important pour l'avenir de nos pays. Il s'agit de nous assurer que nous allons progresser surement vers l'objectif principal qui est le scrutin présidentiel ».
Challenge Ouest-africain
« Je suis honoré parce que le président Gbagbo m'a fait l'amitié de m'amener à Mama et de me faire connaître de ses parents ; et bien sûr, d'aller à la rencontre de tant d'hommes et de femmes qui partagent avec nous, les nobles sentiments de construction d'une paix durable en Côte d'Ivoire. Mais aussi et surtout, la construction d'un partenariat fécond entre le Burkina-Faso et la Côte d'Ivoire, afin que c'est deux pays, par l'action et l'ambition, soient une grande locomotive pour l'Afrique de l'Ouest ».
Appel aux burkinabé
« Je demanderai à mes frères et sœurs Burkinabè que leur patrie doit être ici ; que leur engagement pour le Burkina, doit être le même que celui qu'ils peuvent avoir pour la Côte d'Ivoire. Car, bâtir la Côte d'Ivoire, c'est bâtir le Burkina Faso. Je voudrais leur demander de comprendre que cette amitié, cet accueil généreux, suppose qu'ici, ils puissent respecter les lois et les règlements de la Côte d'Ivoire. C'est important parce que les communautés humaines, modernes, sont avant tout des communautés de droit ».
Une sélection de BI
« Cette visite s'inscrit dans le contexte de rénovation des instruments de coopération entre nos deux pays »
Intégration régionale
« L'Afrique de l'Ouest doit préparer au mieux son avenir en organisant parfaitement l'intégration. La Côte d'Ivoire et le Burkina pensent qu'il faut donner le ton. Qu'il faut, au-delà des textes, marquer plus de volonté et d'ambition pour rapprocher les deux peuples »
Paix et développement
« Nous avons deux pays qui peuvent accélérer ensemble, le progrès et l'épanouissement de leurs de leurs peuples. Maintenant à partir de cet accord (Ndlr : APO), je dois dire que plus rien ne sera comme avant. Nous allons avancer ensemble ».
Genèse de l'APO
« Pour arriver à cet accord, il a fallu que le président Laurent Gbagbo et moi-même, puissions échanger, partager nos vues sur l'histoire de nos deux peuples ; échanger sur les liens historiques entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire, et nous dire finalement que, si Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo ne règlent pas cette crise, ce n'est pas la communauté internationale qui va le faire à leur place ».
Clin d'œil au chef du gouvernement
« Nous avons eu la chance de bénéficier de la grande compréhension du Premier ministre, Guillaume Soro, de sa vision, et de son grand patriotisme pour la Côte d'Ivoire ».
Election présidentielle
«Certes, on peut ça et là parler du rythme de progression de l'Accord. Mais, pour nous, il ne s'agit de bâcler un processus aussi important pour l'avenir de nos pays. Il s'agit de nous assurer que nous allons progresser surement vers l'objectif principal qui est le scrutin présidentiel ».
Challenge Ouest-africain
« Je suis honoré parce que le président Gbagbo m'a fait l'amitié de m'amener à Mama et de me faire connaître de ses parents ; et bien sûr, d'aller à la rencontre de tant d'hommes et de femmes qui partagent avec nous, les nobles sentiments de construction d'une paix durable en Côte d'Ivoire. Mais aussi et surtout, la construction d'un partenariat fécond entre le Burkina-Faso et la Côte d'Ivoire, afin que c'est deux pays, par l'action et l'ambition, soient une grande locomotive pour l'Afrique de l'Ouest ».
Appel aux burkinabé
« Je demanderai à mes frères et sœurs Burkinabè que leur patrie doit être ici ; que leur engagement pour le Burkina, doit être le même que celui qu'ils peuvent avoir pour la Côte d'Ivoire. Car, bâtir la Côte d'Ivoire, c'est bâtir le Burkina Faso. Je voudrais leur demander de comprendre que cette amitié, cet accueil généreux, suppose qu'ici, ils puissent respecter les lois et les règlements de la Côte d'Ivoire. C'est important parce que les communautés humaines, modernes, sont avant tout des communautés de droit ».
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