Bien que ne représentant que 0,3% de la population totale de la Côte d’Ivoire, la communauté libanaise détient près de 75% des entreprises. Une présence dans le tissu économique qui inquiète plus d’un.
Utilisation de prête-noms, faible intégration, pratique de la corruption dans les activités commerciales, exploitation supposée de leurs employés ... etc. Les accusations et préjugés sur la communauté libanaise œuvrant dans la sphère des affaires ne se comptent plus. Et pourtant, la taille des parts d’entreprises détenues par des ressortissants libanais ne cesse de grandir. Si pour Fouad Omaïs, homme d’affaires libanais et conseiller économique et social, il s’agit là d’un ‘’anathème jeté par dépit, jalousie et méchanceté’’ sur toute une communauté, alors que ces comportements sus-cités ne sont le fait que d’une ‘’minorité de brebis égarés’’, nombre d’acteurs économiques ivoiriens déplorent la complicité des autorités qui contribuent ainsi à donner un coup de main à l’implantation des entreprises libanaises.
Par Jean-Louis GBANGBO
jean-louis.gbangbo@jde-ci.com
Lire la suite de cet article dans le JDE 031 du lundi 28 septembre au dimanche 04 octobre 2009
Utilisation de prête-noms, faible intégration, pratique de la corruption dans les activités commerciales, exploitation supposée de leurs employés ... etc. Les accusations et préjugés sur la communauté libanaise œuvrant dans la sphère des affaires ne se comptent plus. Et pourtant, la taille des parts d’entreprises détenues par des ressortissants libanais ne cesse de grandir. Si pour Fouad Omaïs, homme d’affaires libanais et conseiller économique et social, il s’agit là d’un ‘’anathème jeté par dépit, jalousie et méchanceté’’ sur toute une communauté, alors que ces comportements sus-cités ne sont le fait que d’une ‘’minorité de brebis égarés’’, nombre d’acteurs économiques ivoiriens déplorent la complicité des autorités qui contribuent ainsi à donner un coup de main à l’implantation des entreprises libanaises.
Par Jean-Louis GBANGBO
jean-louis.gbangbo@jde-ci.com
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