Le président de l’Africa Sport d’Abidjan, Kuyo Téa Narcisse, ne semble pas se préoccuper de la vague de contestations qui le fouette depuis quelques semaines au sein de l’establishment vert et rouge. Les raisons.
« Kuyo Téa finira son mandat. Mieux, il sera réélu par tous les moyens », refrain de taille de certains supporters vert et rouge qui soutiennent mordicus Kuyo Téa Narcisse depuis qu’une crise s’est emparée du club. Pour ces inconditionnels Membres Associés pour Kuyo Téa, leur mentor attend même rendre public son nouveau comité directeur pour asseoir définitivement son règne. Et cela ne fait aucun doute. Il se séparera de Bahi Antoine et autres Vagba Alexis qui sont, à en croire les proches de Kuyo Téa, les éternels perturbateurs du navire vert et rouge. Pourquoi est-ce après trois ans de gestion que Kuyo veut mettre sur pied un comité directeur ? Pourra-t-il juguler la crise avec sa reforme ? Quelles sont ses motivations ? Les réponses se rejoignent et coulent de source : Kuyo compte maintenir le cap à l’Africa afin de prendre le contrôle de la FIF.
Un objectif Kamikaze !
C’est un secret de polichinelle. Le président Kuyo Téa Narcisse veut prendre le contrôle de la FIF après Jacques Anouma. Raison pour laquelle, il a œuvré à offrir au club vert et rouge, deux titres de champions de Côte d’Ivoire d’affilée (2007 et 2008) après huit années de disette durant lesquelles l’Asec Mimosas a imposé son hégémonie. Certes, ceux qui ont écourté le mandat de Donwahi pour lui confier les rênes du club avaient songé qu’il bâtirait l’Africa Sport d’Abidjan. Mais force est de reconnaître que ‘’Cercueil’’ voyait au-delà et plus grand. Et son véritable objectif était la prise du contrôle de la FIF. Cependant, à l’allure où vont les choses depuis quelques semaines, il est fort possible que Kuyo Téa Narcisse échoue lamentablement. En effet, la crise qui secoue l’Africa plombe l’objectif de son premier responsable. Mieux, il n’arrive pas à rassembler ses collaborateurs afin que la paix revienne au sein de la famille. « Si Kuyo n’est pas capable de diriger un club, ce n’est pas une fédération qu’il pourra diriger. Qui votera pour lui d’ailleurs ? », ironisent certains MAM très déterminés à contraindre leur président à la démission. En tout cas, le patron des Aiglons se trouve confronté à une équation au sein de sa famille à laquelle il devra trouver une solution rapide pour avoir toutes les chances de rester à la tête de l’Africa. Car si le vent de désordre réussit à l’emporter avant ou au terme de son mandat, il n’aura aucun argument pour pouvoir être candidat à la présidence de la FIF. A cet effet, certains partisans de Kuyo Téa accusent sans preuve le président Jacques Anouma d’être à la base de la crise qui fragilise l’Africa. Et Digbeu Cyriaque serait l’homme orchestre de Jacques Anouma peut troubler le sommeil de Kuyo. Vrai ou faux ? Nul ne le sait. Mais les accusations fusent de partout. Dans ce tohu bohu, nombre d’observateurs pronostiquent déjà que Kuyo Téa Narcisse aura du mal à juguler la crise qui agite son club. Et pourtant, il lui aurait fallu tout simplement discuter franchement avec ses amis d’hier dans le but de repartir sur de nouvelles bases.
S’entourer de tout le monde
Il est plus que jamais primordial que le président Kuyo lâche du lest. Il doit échanger franchement avec Vagba Alexis, Bahi Antoine, Digbeu Cyriaque et autres MAM pour penser la construction l’Africa. « Nous voulons que notre club soit construit », répète Bahi Antoine qui a besoin du mandat du président Kuyo pour poser les bases du projet de construction. Les MAM dans leur ensemble, retrouveraient le sourire pour le bonheur de leur club. Car les intérêts des individus ne sauveront pas l’Africa. Au contraire, les guerres de succession ou de leadership ont fait beaucoup de torts à ce club. C’est pourquoi, les supporters ne doivent pas se défier au stade au profit Kuyo ou Bahi. Pendant que les joueurs Aiglons assurent l’essentiel sur le terrain depuis belle lurette pour se qualifier pour le Ligue des champions édition 2010, ce sont les supporters qui s’insultent sans répit. Comme ce pitoyable spectacle qu’ils ont donné de voir le week-end écoulé au stade Robert Champroux de Marcory. Au moment même où sur l’aire de jeu les vert et rouge s’offraient nette victoire (2-1) sur les Guerriers de Bouna. « L’Africa est à la rue », se moquait une supportrice de l’Asec. Vivement que ce club retrouve son lustre d’antan. Et Kuyo Téa est interpellé.
Dablemon Tasman
« Kuyo Téa finira son mandat. Mieux, il sera réélu par tous les moyens », refrain de taille de certains supporters vert et rouge qui soutiennent mordicus Kuyo Téa Narcisse depuis qu’une crise s’est emparée du club. Pour ces inconditionnels Membres Associés pour Kuyo Téa, leur mentor attend même rendre public son nouveau comité directeur pour asseoir définitivement son règne. Et cela ne fait aucun doute. Il se séparera de Bahi Antoine et autres Vagba Alexis qui sont, à en croire les proches de Kuyo Téa, les éternels perturbateurs du navire vert et rouge. Pourquoi est-ce après trois ans de gestion que Kuyo veut mettre sur pied un comité directeur ? Pourra-t-il juguler la crise avec sa reforme ? Quelles sont ses motivations ? Les réponses se rejoignent et coulent de source : Kuyo compte maintenir le cap à l’Africa afin de prendre le contrôle de la FIF.
Un objectif Kamikaze !
C’est un secret de polichinelle. Le président Kuyo Téa Narcisse veut prendre le contrôle de la FIF après Jacques Anouma. Raison pour laquelle, il a œuvré à offrir au club vert et rouge, deux titres de champions de Côte d’Ivoire d’affilée (2007 et 2008) après huit années de disette durant lesquelles l’Asec Mimosas a imposé son hégémonie. Certes, ceux qui ont écourté le mandat de Donwahi pour lui confier les rênes du club avaient songé qu’il bâtirait l’Africa Sport d’Abidjan. Mais force est de reconnaître que ‘’Cercueil’’ voyait au-delà et plus grand. Et son véritable objectif était la prise du contrôle de la FIF. Cependant, à l’allure où vont les choses depuis quelques semaines, il est fort possible que Kuyo Téa Narcisse échoue lamentablement. En effet, la crise qui secoue l’Africa plombe l’objectif de son premier responsable. Mieux, il n’arrive pas à rassembler ses collaborateurs afin que la paix revienne au sein de la famille. « Si Kuyo n’est pas capable de diriger un club, ce n’est pas une fédération qu’il pourra diriger. Qui votera pour lui d’ailleurs ? », ironisent certains MAM très déterminés à contraindre leur président à la démission. En tout cas, le patron des Aiglons se trouve confronté à une équation au sein de sa famille à laquelle il devra trouver une solution rapide pour avoir toutes les chances de rester à la tête de l’Africa. Car si le vent de désordre réussit à l’emporter avant ou au terme de son mandat, il n’aura aucun argument pour pouvoir être candidat à la présidence de la FIF. A cet effet, certains partisans de Kuyo Téa accusent sans preuve le président Jacques Anouma d’être à la base de la crise qui fragilise l’Africa. Et Digbeu Cyriaque serait l’homme orchestre de Jacques Anouma peut troubler le sommeil de Kuyo. Vrai ou faux ? Nul ne le sait. Mais les accusations fusent de partout. Dans ce tohu bohu, nombre d’observateurs pronostiquent déjà que Kuyo Téa Narcisse aura du mal à juguler la crise qui agite son club. Et pourtant, il lui aurait fallu tout simplement discuter franchement avec ses amis d’hier dans le but de repartir sur de nouvelles bases.
S’entourer de tout le monde
Il est plus que jamais primordial que le président Kuyo lâche du lest. Il doit échanger franchement avec Vagba Alexis, Bahi Antoine, Digbeu Cyriaque et autres MAM pour penser la construction l’Africa. « Nous voulons que notre club soit construit », répète Bahi Antoine qui a besoin du mandat du président Kuyo pour poser les bases du projet de construction. Les MAM dans leur ensemble, retrouveraient le sourire pour le bonheur de leur club. Car les intérêts des individus ne sauveront pas l’Africa. Au contraire, les guerres de succession ou de leadership ont fait beaucoup de torts à ce club. C’est pourquoi, les supporters ne doivent pas se défier au stade au profit Kuyo ou Bahi. Pendant que les joueurs Aiglons assurent l’essentiel sur le terrain depuis belle lurette pour se qualifier pour le Ligue des champions édition 2010, ce sont les supporters qui s’insultent sans répit. Comme ce pitoyable spectacle qu’ils ont donné de voir le week-end écoulé au stade Robert Champroux de Marcory. Au moment même où sur l’aire de jeu les vert et rouge s’offraient nette victoire (2-1) sur les Guerriers de Bouna. « L’Africa est à la rue », se moquait une supportrice de l’Asec. Vivement que ce club retrouve son lustre d’antan. Et Kuyo Téa est interpellé.
Dablemon Tasman