Une saison plus corsée avec au bout un titre de champion avant terme. L’Asec Mimosas a présenté un nouveau visage en 2009. Pour la capitaine Diomandé Hamed, l’équipe s’est montrée plus réaliste.
Vous êtes champions après deux ans d’attente. Un commentaire ?
On récupère le fauteuil de leader cette année, c’est satisfaisant, vu que nous l’avions perdu depuis 2007. Ça fait beaucoup plaisir.
Qu’est-ce qui a fait la différence durant cette saison pour vous ?
Nous avons été beaucoup plus réalistes que par le passé. Vous l’avez constaté, on n’a pas fait beaucoup de matches nuls, contrairement aux autres saisons où on en réalisait parfois onze et on terminait à un point du leader. Cette année, on a pris beaucoup de points de victoires.
Le changement de l’encadrement technique y a-t-il été pour quelque chose ?
Bien sûr, puisque le coach Gouamené Maxime est venu avec une autre philosophie du travail et de jeu. Il a changé carrément le système pour en appliquer un autre qui nous a permis d’être champions.
Quelle est la différence entre les deux systèmes ?
Avec le système 3-5-2, nous prenons énormément de risques. Quand il est mal animé, on prend des buts à tous les coups. Par contre, quand il est bien animé, nous nous créons beaucoup de bonnes occasions de but et on est plus réalistes et plus performants.
Vous êtes à votre 3ème saison à l’Asec et vous êtes devenu un cadre de l’équipe…
C’est vrai, je pousse parfois mes coéquipiers sur le terrain quand ça coince un peu, parce que j’ai eu la chance de jouer des matches de ligue et d’évoluer aussi en sélection olympique.
Le brassard de capitaine, ce n’est pas trop de responsabilité pour vous ?
Non pas du tout. Je m’en sors bien. Etant donné que j’ai côtoyé des gens comme Ali N’Dri Vincent, notre ancien capitaine, auprès de qui j’ai beaucoup appris.
Votre nouveau challenge c’est la Ligue des champions. Votre président soutient qu’il faut aller chercher un second trophée africain après celui de 1998…
Je suis d’accord avec lui. Avec toute cette organisation dont dispose le club, il faut maintenant s’imposer au plan international pour solidifier les acquis du club.
Croyez-vous avoir les moyens humains pour le faire ?
Je pense que nous avons un bon effectif. Il nous faut beaucoup travailler à l’entraînement pour combler le manque. Nous en sommes conscients.
Réalisée par Tibet Kipré
Vous êtes champions après deux ans d’attente. Un commentaire ?
On récupère le fauteuil de leader cette année, c’est satisfaisant, vu que nous l’avions perdu depuis 2007. Ça fait beaucoup plaisir.
Qu’est-ce qui a fait la différence durant cette saison pour vous ?
Nous avons été beaucoup plus réalistes que par le passé. Vous l’avez constaté, on n’a pas fait beaucoup de matches nuls, contrairement aux autres saisons où on en réalisait parfois onze et on terminait à un point du leader. Cette année, on a pris beaucoup de points de victoires.
Le changement de l’encadrement technique y a-t-il été pour quelque chose ?
Bien sûr, puisque le coach Gouamené Maxime est venu avec une autre philosophie du travail et de jeu. Il a changé carrément le système pour en appliquer un autre qui nous a permis d’être champions.
Quelle est la différence entre les deux systèmes ?
Avec le système 3-5-2, nous prenons énormément de risques. Quand il est mal animé, on prend des buts à tous les coups. Par contre, quand il est bien animé, nous nous créons beaucoup de bonnes occasions de but et on est plus réalistes et plus performants.
Vous êtes à votre 3ème saison à l’Asec et vous êtes devenu un cadre de l’équipe…
C’est vrai, je pousse parfois mes coéquipiers sur le terrain quand ça coince un peu, parce que j’ai eu la chance de jouer des matches de ligue et d’évoluer aussi en sélection olympique.
Le brassard de capitaine, ce n’est pas trop de responsabilité pour vous ?
Non pas du tout. Je m’en sors bien. Etant donné que j’ai côtoyé des gens comme Ali N’Dri Vincent, notre ancien capitaine, auprès de qui j’ai beaucoup appris.
Votre nouveau challenge c’est la Ligue des champions. Votre président soutient qu’il faut aller chercher un second trophée africain après celui de 1998…
Je suis d’accord avec lui. Avec toute cette organisation dont dispose le club, il faut maintenant s’imposer au plan international pour solidifier les acquis du club.
Croyez-vous avoir les moyens humains pour le faire ?
Je pense que nous avons un bon effectif. Il nous faut beaucoup travailler à l’entraînement pour combler le manque. Nous en sommes conscients.
Réalisée par Tibet Kipré