Quelquefois, l’on se demande s’il n’y a pas des gens qui ont intérêt à ce que la parole du président de la République soit mise en doute. Au nombre de ces personnes, l’on peut citer sans se tromper le cas du Procureur Tchimou Féhou Raymond, près du tribunal de première instance d’Abidjan Plateau. Le président de la République Laurent Gbagbo qui a ‘’libéré la parole’’, démocrate convaincu, a décidé depuis 2004, de dépénaliser le délit de presse. Joignant ainsi l’acte à sa parole, de ne voir aucun homme ou femme de presse emprisonné sous son règne. Le faisant, il a pertinemment muri sa conception d’une Côte d’Ivoire moderne, démocratique et libre.
Malheureusement, pendant que lui-même rigole et banalise certains écrits virulents contre son auguste personnalité, ses subalternes qu’il a bien voulu nommer à certains postes clés, abuse de leur autorité, mettant ainsi le chef de l’Etat en contradiction avec ses principes, également devant le fait accompli. Depuis le début de cette année, des journalistes sont perturbés dans l’exercice de leur fonction par le Procureur de la République, Monsieur Tchimou Féhou Raymond. Le dernier en date, fut tristement le cas du Directeur de publication du journal ‘’Notre Défi’’. Pendant quatre(4) jours, le procureur Tchimou n’a pas lésiné sur les pouvoirs qui sont les siens pour faire garder le Directeur de publication dans les geôles de la police criminelle. Confondu ainsi aux braqueurs et autres criminels, Monsieur Baté Mabo, fera deux fois de suite, le voyage entre la police criminelle et le parquet d’Abidjan. Attendant que Monsieur le ‘’grand patron’’ ‘’digère’’ sa colère, conséquence d’un article de presse, publié dans ce journal, et qui mettait en cause sa gestion de l’affaire MATCA. Pour Monsieur le procureur, il ne fallait pas non plus ‘’toucher’’ à son parcours professionnel. En fin, au fameux procès, ‘’Notre Défi’’ sera condamné à une suspension de huit (8) parutions, cinq(5) millions d’amende de francs CFA d’amende…. Naturellement, un appel a été fait pour que ce procès soit révisé. Le journal du peuple qui a pour devise ’’informer, critiquer et prévenir’’ suit cependant son petit bonhomme de chemin au grand dam de Monsieur Tchimou Raymond qui avait pourtant menacé de ‘’fermer définitivement ce journal par tous les moyens’’.
C’est le lieu de demander à Monsieur le procureur qui a le droit de faire arrêter tout individu dans sa circonscription, pourquoi a-t-il fait incarcérer Monsieur Baté pendant quatre jours, tout en sachant qu’il n’y aurait jamais de peine privative ? Aussi, est-il au-dessus du président de la République et son épouse Simone Ehivet, qui attaqués frontalement au quotidien par des tabloïds, ferment soit les yeux là-dessus, ou au pire des cas, intentent des procédures sans qu’on arrête personne. Pourquoi Tchimou utilise-t-il les pouvoirs à lui déléguer pour régler ses problèmes personnels ? En effet, nous avons récemment vu à la télévision, un jeune homme qui aurait utilisé le nom de Monsieur Tchimou pour faire ‘’chanter’’ un ressortissant français. L’homme qui devait faire parvenir des sous à l’individu, après qu’il se soit masturbé sur le net, via la webcam, face à la pression que son interlocuteur faisait peser sur lui, aurait joint Monsieur le Procureur sur le téléphone fixe pour exprimer son exaspération. Le procureur qui aurait finit par comprendre que son nom a été utilisé par autrui pour soutirer de l’argent, aurait mobilisé un vaste département de la police criminelle pour que cet individu soit retrouvé. L’ATCI, n’a pas été épargné pour retrouver le cybercafé où le mis en cause surfait . Après son arrestation dans les délais records de l’existence de la police criminelle en pareilles circonstance, l’infortuné a été présenté à la télévision nationale, nonobstant la présomption d’innocence. Cette gestion cavalière et personnelle des fonctionnaires payés par le contribuable est-elle digne ? Si autant de célérité pouvait être de mise dans les affaires criminelle et tous ces comploteurs contre la nation, c’est sûr que les Ivoiriens se sentiraient beaucoup mieux. En fin, pour paraphraser un internaute, on est en mesure de se demander si Tchimou n’est pas en réalité au-dessus de Gbagbo ou s’il travaille à mettre à mal, l’image du chef de l’Etat qui est préoccupé par la sortie de crise et le processus PPTE. Bientôt, une grande enquête sur la destinée des fonds générés par la mise en liberté sous caution.
Malheureusement, pendant que lui-même rigole et banalise certains écrits virulents contre son auguste personnalité, ses subalternes qu’il a bien voulu nommer à certains postes clés, abuse de leur autorité, mettant ainsi le chef de l’Etat en contradiction avec ses principes, également devant le fait accompli. Depuis le début de cette année, des journalistes sont perturbés dans l’exercice de leur fonction par le Procureur de la République, Monsieur Tchimou Féhou Raymond. Le dernier en date, fut tristement le cas du Directeur de publication du journal ‘’Notre Défi’’. Pendant quatre(4) jours, le procureur Tchimou n’a pas lésiné sur les pouvoirs qui sont les siens pour faire garder le Directeur de publication dans les geôles de la police criminelle. Confondu ainsi aux braqueurs et autres criminels, Monsieur Baté Mabo, fera deux fois de suite, le voyage entre la police criminelle et le parquet d’Abidjan. Attendant que Monsieur le ‘’grand patron’’ ‘’digère’’ sa colère, conséquence d’un article de presse, publié dans ce journal, et qui mettait en cause sa gestion de l’affaire MATCA. Pour Monsieur le procureur, il ne fallait pas non plus ‘’toucher’’ à son parcours professionnel. En fin, au fameux procès, ‘’Notre Défi’’ sera condamné à une suspension de huit (8) parutions, cinq(5) millions d’amende de francs CFA d’amende…. Naturellement, un appel a été fait pour que ce procès soit révisé. Le journal du peuple qui a pour devise ’’informer, critiquer et prévenir’’ suit cependant son petit bonhomme de chemin au grand dam de Monsieur Tchimou Raymond qui avait pourtant menacé de ‘’fermer définitivement ce journal par tous les moyens’’.
C’est le lieu de demander à Monsieur le procureur qui a le droit de faire arrêter tout individu dans sa circonscription, pourquoi a-t-il fait incarcérer Monsieur Baté pendant quatre jours, tout en sachant qu’il n’y aurait jamais de peine privative ? Aussi, est-il au-dessus du président de la République et son épouse Simone Ehivet, qui attaqués frontalement au quotidien par des tabloïds, ferment soit les yeux là-dessus, ou au pire des cas, intentent des procédures sans qu’on arrête personne. Pourquoi Tchimou utilise-t-il les pouvoirs à lui déléguer pour régler ses problèmes personnels ? En effet, nous avons récemment vu à la télévision, un jeune homme qui aurait utilisé le nom de Monsieur Tchimou pour faire ‘’chanter’’ un ressortissant français. L’homme qui devait faire parvenir des sous à l’individu, après qu’il se soit masturbé sur le net, via la webcam, face à la pression que son interlocuteur faisait peser sur lui, aurait joint Monsieur le Procureur sur le téléphone fixe pour exprimer son exaspération. Le procureur qui aurait finit par comprendre que son nom a été utilisé par autrui pour soutirer de l’argent, aurait mobilisé un vaste département de la police criminelle pour que cet individu soit retrouvé. L’ATCI, n’a pas été épargné pour retrouver le cybercafé où le mis en cause surfait . Après son arrestation dans les délais records de l’existence de la police criminelle en pareilles circonstance, l’infortuné a été présenté à la télévision nationale, nonobstant la présomption d’innocence. Cette gestion cavalière et personnelle des fonctionnaires payés par le contribuable est-elle digne ? Si autant de célérité pouvait être de mise dans les affaires criminelle et tous ces comploteurs contre la nation, c’est sûr que les Ivoiriens se sentiraient beaucoup mieux. En fin, pour paraphraser un internaute, on est en mesure de se demander si Tchimou n’est pas en réalité au-dessus de Gbagbo ou s’il travaille à mettre à mal, l’image du chef de l’Etat qui est préoccupé par la sortie de crise et le processus PPTE. Bientôt, une grande enquête sur la destinée des fonds générés par la mise en liberté sous caution.