S’il y a une proposition pour relancer les investissements et assurer une plus grande profitabilité des Entreprises, le règlement de la dette intérieure serait une urgence parmi toute que le PIT s’implorera à définir dès son accession au pouvoir. C’est ce qui ressort de l’exposé de la candidature du PIT à la Présidentielle Francis Wangah Wodié lors de la rencontre avec les membres de la confédération Générale des Entreprises de Côte d’ Ivoire (CGECI), vendredi 30 octobre dernier à l’hôtel Pullman au Plateau. Face aux opérateurs économiques, le candidat de ‘’la clé du vrai changement’’ a évoqué la difficulté qui existe au niveau de l’allégement de la fiscalité.
Ainsi dira-t-il, « en Afrique de l’ouest, la Côte d’Ivoire, a toujours été l’un des pays où la fiscalité est lourde. Cette situation qui pénalise la rentabilité des Entreprises devrait pouvoir nous interpeller. Bien que des efforts aient été faits durant la crise, il va falloir poursuivre et respecter nos engagements vis-à-vis de nos partenaires extérieures au risque de ne pas voir ces entreprises se délocaliser chez nos voisins », a-t-il ajouté. Par ailleurs, s’agissant des impôts sur les investissements privés, le professeur de droit a promis la déduction d’impôts chaque année sur les excédents d’investissements réalisés par les entreprises en tenant compte du chiffre d’Affaire de l’année précédente. Cela pour favoriser le développement des investissements nouveaux, c`est-à-dire les investissements de développement, fait-il remarquer. En outre, l’accent sera mis sur le développement propre, celui qui respecte l’environnement a encore mentionné Wodié. A ce titre, il a confié que le PIT se proposera de créer un fonds pour permettre le développement des énergies renouvelables. Nous allons subventionner à partir de ce fonds les entreprises qui interviennent dans le secteur des énergies renouvelables et le fonds sera alimenté par les prélèvements obligatoires sur les entreprises polluantes et surtout sur les ressources pétrolières, a-t-il poursuivit avant d’ajouter pour terminer que la modernisation de l’agriculture va prendre une part active dans son programme économique. Selon lui, « il faut changer radicalement les modes de production pour l’adapter au niveau actuel de formation de nos jeunes. Aujourd’hui, il n’est pas juste de leur demander de continuer à travailler dans des plantations avec les mêmes outils que nos parents. C’est pourquoi, le PIT va faire de la modernisation et de la transformation de nos produits agricoles une grande priorité », a-t-il conclu. Avant l’intervention du président du PIT, le Directeur Général de la Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Lakoum Ouattara a situé l’objectif de cette rencontre avec ces hommes politiques. Pour lui, il s’agit pour ces derniers de dresser leurs programmes économiques et le rôle à jouer dans le secteur privé afin qu’ils puissent permettre aux opérateurs économiques de travailler dans des conditions propices aux Affaires dès leurs accession au pouvoir d’Etat. Notons qu’après le passage du Président du PIT, Francis Wodié, l’occasion sera donnée au Président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, le 9 novembre prochain de présenter lui aussi son programme.
Ainsi dira-t-il, « en Afrique de l’ouest, la Côte d’Ivoire, a toujours été l’un des pays où la fiscalité est lourde. Cette situation qui pénalise la rentabilité des Entreprises devrait pouvoir nous interpeller. Bien que des efforts aient été faits durant la crise, il va falloir poursuivre et respecter nos engagements vis-à-vis de nos partenaires extérieures au risque de ne pas voir ces entreprises se délocaliser chez nos voisins », a-t-il ajouté. Par ailleurs, s’agissant des impôts sur les investissements privés, le professeur de droit a promis la déduction d’impôts chaque année sur les excédents d’investissements réalisés par les entreprises en tenant compte du chiffre d’Affaire de l’année précédente. Cela pour favoriser le développement des investissements nouveaux, c`est-à-dire les investissements de développement, fait-il remarquer. En outre, l’accent sera mis sur le développement propre, celui qui respecte l’environnement a encore mentionné Wodié. A ce titre, il a confié que le PIT se proposera de créer un fonds pour permettre le développement des énergies renouvelables. Nous allons subventionner à partir de ce fonds les entreprises qui interviennent dans le secteur des énergies renouvelables et le fonds sera alimenté par les prélèvements obligatoires sur les entreprises polluantes et surtout sur les ressources pétrolières, a-t-il poursuivit avant d’ajouter pour terminer que la modernisation de l’agriculture va prendre une part active dans son programme économique. Selon lui, « il faut changer radicalement les modes de production pour l’adapter au niveau actuel de formation de nos jeunes. Aujourd’hui, il n’est pas juste de leur demander de continuer à travailler dans des plantations avec les mêmes outils que nos parents. C’est pourquoi, le PIT va faire de la modernisation et de la transformation de nos produits agricoles une grande priorité », a-t-il conclu. Avant l’intervention du président du PIT, le Directeur Général de la Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Lakoum Ouattara a situé l’objectif de cette rencontre avec ces hommes politiques. Pour lui, il s’agit pour ces derniers de dresser leurs programmes économiques et le rôle à jouer dans le secteur privé afin qu’ils puissent permettre aux opérateurs économiques de travailler dans des conditions propices aux Affaires dès leurs accession au pouvoir d’Etat. Notons qu’après le passage du Président du PIT, Francis Wodié, l’occasion sera donnée au Président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, le 9 novembre prochain de présenter lui aussi son programme.