La baisse prononcée du taux de testostérone chez les hommes de 70 ans et plus, augmenterait nettement le risque de dépression. C’est la conclusion d’une étude réalisée à Perth, en Australie.
Passé 40 ans, le taux de testostérone - l’hormone sexuelle mâle – chute. Lentement, mais inexorablement, à un rythme d’environ 1% par an. Or ce phénomène, bien connu sous le nom d’hypogonadisme masculin, n’est pas sans effet sur la santé.
L’humeur est atteinte. L’abaissement du taux de testostérone c’est bien connu, peut entraîner fatigue, irritabilité, manque d’appétit... Voire chez certains, la survenue de troubles dépressifs. L’étude australienne d’ailleurs, accrédite la chose : les hommes dont le taux de testostérone était le plus faible ont vu leur risque d’épisode dépressif multiplié par trois.
Ces résultats bien sûr, sont préliminaires. D’autres études devront les confirmer… ou les infirmer. Dans l’état actuel des connaissances, certains traitements substitutifs permettent de pallier une baisse excessive du taux de testostérone. Cette dernière en effet retentit également sur la libido, et sur le tonus musculaire. Les os deviennent plus fragiles de sorte que chez l’homme âge aussi, il existe un risque d’ostéoporose. Même si elle apparaît en moyenne 10 ans plus tard que chez la femme, l’intérêt pour ces traitements est donc bien réel. Soulignons cependant que ces derniers sont totalement contre-indiqués en cas de cancer de la prostate. Que par ailleurs ce sont des traitements majeurs, dont la prescription relève d’une consultation médicale.
www.destinationsante.com
Passé 40 ans, le taux de testostérone - l’hormone sexuelle mâle – chute. Lentement, mais inexorablement, à un rythme d’environ 1% par an. Or ce phénomène, bien connu sous le nom d’hypogonadisme masculin, n’est pas sans effet sur la santé.
L’humeur est atteinte. L’abaissement du taux de testostérone c’est bien connu, peut entraîner fatigue, irritabilité, manque d’appétit... Voire chez certains, la survenue de troubles dépressifs. L’étude australienne d’ailleurs, accrédite la chose : les hommes dont le taux de testostérone était le plus faible ont vu leur risque d’épisode dépressif multiplié par trois.
Ces résultats bien sûr, sont préliminaires. D’autres études devront les confirmer… ou les infirmer. Dans l’état actuel des connaissances, certains traitements substitutifs permettent de pallier une baisse excessive du taux de testostérone. Cette dernière en effet retentit également sur la libido, et sur le tonus musculaire. Les os deviennent plus fragiles de sorte que chez l’homme âge aussi, il existe un risque d’ostéoporose. Même si elle apparaît en moyenne 10 ans plus tard que chez la femme, l’intérêt pour ces traitements est donc bien réel. Soulignons cependant que ces derniers sont totalement contre-indiqués en cas de cancer de la prostate. Que par ailleurs ce sont des traitements majeurs, dont la prescription relève d’une consultation médicale.
www.destinationsante.com