La participation de la sélection nationale de Guinée à la Can Angola 2010 passe nécessairement par une victoire sur celle de la Côte d'Ivoire samedi prochain, au stade Félix Houphouët-Boigny.
Pour le Sily, l'équipe nationale de la Guinée, participer à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations (Can) Angola 2010 passe inéluctablement par une victoire aux dépens de son homologue de la Côte d'Ivoire. Une équation vraiment rébarbative et acrimonieuse pour les Guinéens qui fouleront le sol ivoirien, aujourd'hui. Ils auront la ferme conviction de s'offrir les protégés du président Jacques Anouma devant leur public ce week-end au stade Félix Houphouët-Boigny. Un devoir astringent pour la bande à Mamady Souaré, le patron du banc de touche du Sily. Il leur faut vaille que vaille battre Tioté Cheick et ses camarades qui ont déjà entaillé leur sésame pour les deux grandes fêtes du football, la Can et le Mondial. Seulement, entre leur envie, leur détermination et la qualité de leurs adversaires que sont les Eléphants de Côte d'Ivoire, le fossé est énorme. Surtout que du côté de la Fédération ivoirienne de football (Fif) et de l'encadrement technique on veut faire de cette opposition une grande fête. Les accommodements vont même bon train. Après la restriction de 20 mille places levée par la Fifa (conséquemment aux événements du 29 mars dernier) ce sont, au total, 30 mille spectateurs que la Fif et les Eléphants veulent honorer. Feu d'artifice, mini-concert avec des artistes de renom et bien d'autres dispositions festives sont prévues par le président Anouma et ses collaborateurs. " Nous allons jouer franchement et gagner, avait promis coach Vahid samedi dernier, pour faire plaisir au public ivoirien qui n'a eu de cesse de soutenir depuis le début de cette aventure ". Les Eléphants guinéens devront alors sortir le grand jeu pour espérer venir à bout des Eléphants ivoiriens. Les pachydermes venus des forêts guinéennes doivent avoir des trompes herculéennes que ceux de leurs hôtes. Le virevoltant Pascal Feindouno, Ismaël Bangoura, et leurs équipiers qui avaient disputé les quarts de finale de la Can Ghana 2006 ne voudront pas briller par leur absence à Angola 2010. Battre Maestro, Gnégnéry, Dindane et autres reste leur leitmotiv. Difficile équation à tout point de vue.
Eugène Djabia
djabia05664285@yahoo.fr
Pour le Sily, l'équipe nationale de la Guinée, participer à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations (Can) Angola 2010 passe inéluctablement par une victoire aux dépens de son homologue de la Côte d'Ivoire. Une équation vraiment rébarbative et acrimonieuse pour les Guinéens qui fouleront le sol ivoirien, aujourd'hui. Ils auront la ferme conviction de s'offrir les protégés du président Jacques Anouma devant leur public ce week-end au stade Félix Houphouët-Boigny. Un devoir astringent pour la bande à Mamady Souaré, le patron du banc de touche du Sily. Il leur faut vaille que vaille battre Tioté Cheick et ses camarades qui ont déjà entaillé leur sésame pour les deux grandes fêtes du football, la Can et le Mondial. Seulement, entre leur envie, leur détermination et la qualité de leurs adversaires que sont les Eléphants de Côte d'Ivoire, le fossé est énorme. Surtout que du côté de la Fédération ivoirienne de football (Fif) et de l'encadrement technique on veut faire de cette opposition une grande fête. Les accommodements vont même bon train. Après la restriction de 20 mille places levée par la Fifa (conséquemment aux événements du 29 mars dernier) ce sont, au total, 30 mille spectateurs que la Fif et les Eléphants veulent honorer. Feu d'artifice, mini-concert avec des artistes de renom et bien d'autres dispositions festives sont prévues par le président Anouma et ses collaborateurs. " Nous allons jouer franchement et gagner, avait promis coach Vahid samedi dernier, pour faire plaisir au public ivoirien qui n'a eu de cesse de soutenir depuis le début de cette aventure ". Les Eléphants guinéens devront alors sortir le grand jeu pour espérer venir à bout des Eléphants ivoiriens. Les pachydermes venus des forêts guinéennes doivent avoir des trompes herculéennes que ceux de leurs hôtes. Le virevoltant Pascal Feindouno, Ismaël Bangoura, et leurs équipiers qui avaient disputé les quarts de finale de la Can Ghana 2006 ne voudront pas briller par leur absence à Angola 2010. Battre Maestro, Gnégnéry, Dindane et autres reste leur leitmotiv. Difficile équation à tout point de vue.
Eugène Djabia
djabia05664285@yahoo.fr