Du 22 au 25 juin 2009, le ministre ivoirien de l’économie et des finances est allé à la conquête des investisseurs Allemands, dans le cadre d’un lobbying de repositionnement économique de la Côte d’Ivoire. Le 1er juillet 2009, la Deutsche Post DHL a relocalisé à Abidjan son bureau sous-régional, déplacé à Dakar depuis 2003 à cause de la crise. Cet exemple et bien d’autres mettent en évidence la normalisation continue de la vie économique nationale, toute chose rendant accessible les objectifs de croissance prévus par les experts internationaux.
« Malgré la crise financière mondiale, l’activité économique ivoirienne au premier semestre s’est maintenue à un bon niveau et l’objectif de croissance de 3,5% en 2009 peut être atteint ». Ces propos sont de Doris Ross, le chef de la mission du fonds monétaire international qui a séjourné à Abidjan du 2 au 17 septembre 2009. Dans le rapport sanctionnant cette première évaluation du programme économique liant la Côte d’Ivoire et ses bailleurs de fonds depuis le 31 mars 2009, Doris Ross avait alors argumenté : « La production agricole a bénéficié d’une bonne pluviométrie. L’extraction d’hydrocarbure et des mines est en hausse. La production industrielle a progressé et le secteur des services a généralement poursuivi son expansion ». A moins de ramer à contre-courant de la réalité économique tel que vécue en Côte d’Ivoire depuis quelques années, l’on est donc en droit d’affirmer que les perspectives sont bonnes, et pour cause. Non seulement le second semestre de 2009 n’est agrémenté que par de bons points, mais un fait significatif (parmi tant d’autres) est venu témoigner de la normalisation continue de la vie économique nationale : suite à la rencontre entre le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances et les investisseurs allemands du 22 au 25 juin 2009, le bureau régional de la Deutsche Post DHL s’est relocalisé à Abidjan le 1er juillet 2009. Avec 30 mille milliards de FCFA de chiffre d’affaires réalisé par an, cette firme allemande est le leader mondial de la logistique. Les exemples et les retombées sont légion, qui mettent en évidence l’utilité et l’opportunité du lobbying intensif mené à travers le monde par Charles Diby qui, à la tête de l’Administration financière nationale, œuvre au repositionnement économique de la Côte d’Ivoire, depuis 2007. Comme prévu par les experts internationaux, le taux de croissance de 3,5% pour 2009 sera bientôt atteint. Cette foi repose essentiellement sur les signaux positifs de la relance de l’économie nationale, continuellement perceptibles et marqués par des actes qui marquent. La Côte d’Ivoire est en pleine exécution du programme économique qu’elle attendait depuis longtemps, et auquel elle a finalement accédé (en même temps qu’au point de décision de l’initiative PPTE) en mars 2009. Une seconde mission d’évaluation viendra très certainement confirmer l’avis favorable émis par la première qui avait surtout affirmé que ‘’l’économie ivoirienne est globalement bien gérée’’. Malgré les difficultés liées à la crise, la roue de la relance économique avance comme sur des patins à roulette, toute chose obligeant à rendre une fière chandelle à l’Administration financière nationale pilotée avec maestria par Charles Diby Koffi.
Franck Boyo
Légende 1 : Selon le FMI et grâce aux efforts de l’Administration financière nationale, le taux de croissance de 3,5% sera atteint.
Légende 2 : Suite à la transparence et à la bonne gouvernance de mise, le Trésor Public appelle à présent les opérateurs économiques à venir récupérer leurs chèques.
« Malgré la crise financière mondiale, l’activité économique ivoirienne au premier semestre s’est maintenue à un bon niveau et l’objectif de croissance de 3,5% en 2009 peut être atteint ». Ces propos sont de Doris Ross, le chef de la mission du fonds monétaire international qui a séjourné à Abidjan du 2 au 17 septembre 2009. Dans le rapport sanctionnant cette première évaluation du programme économique liant la Côte d’Ivoire et ses bailleurs de fonds depuis le 31 mars 2009, Doris Ross avait alors argumenté : « La production agricole a bénéficié d’une bonne pluviométrie. L’extraction d’hydrocarbure et des mines est en hausse. La production industrielle a progressé et le secteur des services a généralement poursuivi son expansion ». A moins de ramer à contre-courant de la réalité économique tel que vécue en Côte d’Ivoire depuis quelques années, l’on est donc en droit d’affirmer que les perspectives sont bonnes, et pour cause. Non seulement le second semestre de 2009 n’est agrémenté que par de bons points, mais un fait significatif (parmi tant d’autres) est venu témoigner de la normalisation continue de la vie économique nationale : suite à la rencontre entre le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances et les investisseurs allemands du 22 au 25 juin 2009, le bureau régional de la Deutsche Post DHL s’est relocalisé à Abidjan le 1er juillet 2009. Avec 30 mille milliards de FCFA de chiffre d’affaires réalisé par an, cette firme allemande est le leader mondial de la logistique. Les exemples et les retombées sont légion, qui mettent en évidence l’utilité et l’opportunité du lobbying intensif mené à travers le monde par Charles Diby qui, à la tête de l’Administration financière nationale, œuvre au repositionnement économique de la Côte d’Ivoire, depuis 2007. Comme prévu par les experts internationaux, le taux de croissance de 3,5% pour 2009 sera bientôt atteint. Cette foi repose essentiellement sur les signaux positifs de la relance de l’économie nationale, continuellement perceptibles et marqués par des actes qui marquent. La Côte d’Ivoire est en pleine exécution du programme économique qu’elle attendait depuis longtemps, et auquel elle a finalement accédé (en même temps qu’au point de décision de l’initiative PPTE) en mars 2009. Une seconde mission d’évaluation viendra très certainement confirmer l’avis favorable émis par la première qui avait surtout affirmé que ‘’l’économie ivoirienne est globalement bien gérée’’. Malgré les difficultés liées à la crise, la roue de la relance économique avance comme sur des patins à roulette, toute chose obligeant à rendre une fière chandelle à l’Administration financière nationale pilotée avec maestria par Charles Diby Koffi.
Franck Boyo
Légende 1 : Selon le FMI et grâce aux efforts de l’Administration financière nationale, le taux de croissance de 3,5% sera atteint.
Légende 2 : Suite à la transparence et à la bonne gouvernance de mise, le Trésor Public appelle à présent les opérateurs économiques à venir récupérer leurs chèques.