Source: L'autre Quotidien
D'aucuns l'appellent, le géni e de Kpalèzo, d'autres, génie de Bassam, professeur ou encore ambassadeur des n'Zi ma Kôtôkô Lui , c'est le chanteur, Frédéric Désiré Ehui alias Meiway. En début du mois de septembre dernier, il a procédé au lancement des festivités inscrites dans le cadre de la célébration de ces vingt années de carrière musicale à Abidjan. Rencontré à l'occasion, l'artiste fait un bilan de sa carrière et parle de ses projets.
Que peut-on retenir de vingt ans de carrière du chanteur Meiway?
Il est difficile de parler de soi, mais je pense qu'en vingt ans de carrière, la semence est formidable. Tout n'a pas été gai, néanmoins j'ai réussi à m'affirmer sur le plan international. En vingt ans, j'ai connu un succès discographique, j'ai eu une carrière constante, une collaboration réussie avec plusieurs artistes tels que Jacob Devarieux, Kojo Antwi, Koffi Olomidé, Lokua Kanza et biend'autres . J'ai crée le zoblazo connu aujourd'hui a travers le monde, j'ai eu des danseuses performantes. Plusieurs de mes textes portent sur la non-violence et la dénonciation des maux qui minent l'Afrique. J'ai été plusieurs fois lauréat pour des prix de reconnaissance de talents artistiques. J'ai obtenu trois fois le trophée Kora, de même, il m'a été attribué le «Top d'Or», «Le Tamani », «le Kundé» et biend'autres . Pour finir, je peux vous confier que c'est aussi grâce à moi que les femmes aux poitrines fortes n'ont plus de complexe. Mon concept Miss lolo, les a emmenées à davantage apprécier leur poitrine et à la mettre en valeur en l'utilisant comme un atout majeur dans l'expression de leur beauté physique.
Qu'es-ce qui vous motive à célébrer vingt ans de carrière?
Vingt ans, c'est un âge important dans la vie d'un homme. C'est à cet âge que l'enfant prend conscience des nombreuses réalités et choisi le chemin qu'il va suivre. La responsabilité est souvent grande à cette étapede la vie. Il en est de même pour ma carrière. Pendant vingt ans j'ai fait la pluie et le beau temps. Aujourd'hui je marque une pose pour apprécier mon parcours et me fixer d'autres objectifs. Mais avant, je souhaite partager ma joie avec mes fans qui m'ont permis de réaliser cet exploit. C'est ce qui justifie la réalisation d'un programme particulier pour la circonstance. De quoi est fait ce programme particulier qui marque la célébration de vosvingt années de carrière ? Ce programme a déjà démarré depuis le début du mois de septembre par un défilé de mode de mannequins dans un tissu conçu et confectionné à mon effigie juste pour la circonstance. Des stylistes tels que Nathalie Kona, Gilles Touré, Ciss St Moïse et Roger Bango on travaillé avec ce pagne et ont réalisé des modèles pour hommes et femmes de 7 à 77 ans. Ce pagne sera disponible dans toutes les capitales d'Afrique. Un logo spécial, symbole de ma carrière a été aussi confectionné et figurera désormais sur mes documents officiels. Il sera organisé dans les prochains jours, une exposition photos dans le cadrede la publication d'un ouvrage biographique sur ma vie et mon parcours. Trois concerts sont programmés en fin d'année, notamment, les 12, 19 et 26 décembre 2009, les deux premiers au Palaisde la Culture et le dernier au Palais des sports de Treichville-Abidjan. Dans quelques jours, mon nouvel album de 17 titres dénommé, «M20, 100% Zoblazo» sera disponible afin de plonger les mélomanes dans l'ambiance des festivités. Après l'étapede la Côte d'Ivoire, il y aura une tournée africaine puis européenne afin d'impliquer davantage mes fans de tous les pays du monde à cette célébration.
Vingt après «Ayibébou», votre premier album, quelle surprise réserve votre prochain opus ?
Ma prochaine oeuvre discographique est un cocktail de 17 titres chantés en différentes langues de la Côte d'Ivoire; un véritable tour d'horizon de la nation éburnéenne parce que dans ce pays nous avons envie d'unité, nous avons envie de Paix. J'ai également fait un clin d'oeil à plusieurs autres cultures d'Afrique à travers des rythmes tels que le Mbalax et biend'autres sonorités d'Afrique.
Quelle place pour le Bénin sur cet album ?
J'ai beaucoup d'admirateurs au Bénin. J'ai même un fan club présidé par mon ami, Edgard Marie de Souza. Je ne saurai donc les oublier à l'occasion d'un moment si important pour ma carrière. Le public béninois est un public assez critique, j'en ai tenu compte et je promets qu'il ne sera pas déçu en écoutant cet album. Dans le cadre de ma tournée africaine, je marquerai une pose au Bénin afin de faire la fête. Je demande à tous les Béninois de se tenir prêts pour ce grand moment. Je serai au Bénin dans la période des deux premiers trimestres de l'année 2010.
Selon vous comment peut-on définir un artiste ?
Un artiste c'est celui qui a de l'inspiration, de l'imagination, un bon savoir faire et du style. Il doit être persévérant, combattant et humble, c'est très important. On ne devient pas artiste après un album à succès. Mais on est artiste parce qu'on aréussi des années durant à maintenir le cap et rester dans le temps sans être inquiété par aucune autre tendance.
A l'avènement du Décalé coupé, le Zoblazo a connu une traversée de désert. Cela vous a d'ailleurs contraint à faire une virée vers ce rythme en vogue, afin de donnerde la voix. Cela a été ressenti pour certains de vos fans comme un déclin du grand Meiway. Qu'en dites-vous ?
C'est tant mieux, dans la vie d'un homme il y a toujours des hauts et des bas. Mais je n'ais pas encore connu de déclin. Beaucoup ne savent pas que je suis le principal précurseur du Décalé coupé. Si vous observez de près le rythme que je fais, vous constaterez que c'est seulement le nom qui a changé. Le Décalé coupé a été inspiré de ma musique. Ce n'est donc pas moi qui suis allé vers ce rythme, mais c'est plutôt de moi qu'il a été inspiré. Je ne veux pas alimenter une polémique mais ceux qui savent, comprennent de quoi je parle. L'essentiel pour moi est que cette musique a contribué à consolider l'unité nationale en Côte d'Ivoire. C'est un exploit qu'aucun homme politique n'a jamaisréussi. Pourquoi avez-vous choisi de faire de la musique ?
J'ai eu un grand père musicien, un père accordéoniste à ses heures perdues, une mère et une soeur aînée choristes de paroisse catholique. Je ne pouvais donc pas résister longtemps à l'influencede la musique sur moi dés mon jeune âge. J'ai donc commencé très tôt à louer le Seigneur. Au collège j'ai intégré le groupe « Pace », puis « Lynx groupe » et biend'autres . J'ai participé avec brio à de nombreuses compétitions musicales. Plus tard j'ai crée mon propre groupe, « Les génitos » qui a d'ailleurs connu un grand succès jusqu'en 1985 date à laquelle je suis allé approfondir mes recherches musicales en France. Là-bas, j'ai crée un autre groupe dénommé «Défense d'ivoire» composé de musiciens algériens et français. Avec ce groupe j'ai remporté le prix du club parisien, l'Excalibur. En 1989 j'airéussi à sortir mon premier album «Ayibebou» suivi du rythme Zoblazo, une musique du groupe ethnique Akan. C'est un rythme basé sur des percussions et qui se danse avec les mouchoirs blancs. Le succès de ce premier album m'a emmené à m'imposer la réalisation d'un album tous les deux ans. C'est ainsi qu'en 1991 j'ai sorti «200% Zoblazo», en 1993, «Jamais 203»(300% Zoblazo), en 1995 «Appolo95» (400% Zoblazo), en 1997, «Les génies vous parlent » (500% Zoblazo). En 1999 «Extraterrestre» a vu le jour, suivi en 2001 de «Eternel » (700%Zoblazo), «Golgotha» (800% Zoblazo), en 2004 et «9ème commandement » (900% Zoblazo) en 2006. Mon prochain album est donc celui qui sera bientôt disponible dans le cadre des festivités de mesvingt ans de carrière. Il s'appellera « M20, 100% Zoblazo ». Je profite pour remercier les membres de mon groupe « Zo gang international » pour le travail abattu depuis 1993, année de naissance du groupe jusqu'à nos jours.
Êtes-vous fier de votre parcours ?
Je ne regrette pas grande chose. Et je pense que je mérite vraiment la promesse que le gouvernement ivoirien m'a faite, relative à mon élévation à l'ordre du mérite culturel en Côte d'Ivoire. J'espère que cette distinction ne viendra pas à titre posthume comme ça été le cas pour plusieurs artistes africains.
Votre carrière n'a pas seulement été une réussite musicale, il y a eu aussi des scandales. D'aucuns disent que vous êtes homosexuel. Que répondez-vous ?
Je préfère ne pas répondre. Mais je tiens à vous informer que je suis père de neuf enfants que j'ai d'ailleurs eu avec cinq femmes différentes. Je vous laisse apprécier vous- même. J'adore la femme.
Avez-vous d'autres projets immédiats ?
J'ai de nombreux projets, mais je préfère d'abord privilégier ceux, inscrits dans le cadre de la célébration de mes vingt ans de carrière. Mon staff se fera le devoir d'annoncer les autres projets au moment opportun. Mais pour l'instant, je préfère juste dire aux Béninois que je ne saurai durer, car ils me manquent beaucoup.
D'aucuns l'appellent, le géni e de Kpalèzo, d'autres, génie de Bassam, professeur ou encore ambassadeur des n'Zi ma Kôtôkô Lui , c'est le chanteur, Frédéric Désiré Ehui alias Meiway. En début du mois de septembre dernier, il a procédé au lancement des festivités inscrites dans le cadre de la célébration de ces vingt années de carrière musicale à Abidjan. Rencontré à l'occasion, l'artiste fait un bilan de sa carrière et parle de ses projets.
Que peut-on retenir de vingt ans de carrière du chanteur Meiway?
Il est difficile de parler de soi, mais je pense qu'en vingt ans de carrière, la semence est formidable. Tout n'a pas été gai, néanmoins j'ai réussi à m'affirmer sur le plan international. En vingt ans, j'ai connu un succès discographique, j'ai eu une carrière constante, une collaboration réussie avec plusieurs artistes tels que Jacob Devarieux, Kojo Antwi, Koffi Olomidé, Lokua Kanza et biend'autres . J'ai crée le zoblazo connu aujourd'hui a travers le monde, j'ai eu des danseuses performantes. Plusieurs de mes textes portent sur la non-violence et la dénonciation des maux qui minent l'Afrique. J'ai été plusieurs fois lauréat pour des prix de reconnaissance de talents artistiques. J'ai obtenu trois fois le trophée Kora, de même, il m'a été attribué le «Top d'Or», «Le Tamani », «le Kundé» et biend'autres . Pour finir, je peux vous confier que c'est aussi grâce à moi que les femmes aux poitrines fortes n'ont plus de complexe. Mon concept Miss lolo, les a emmenées à davantage apprécier leur poitrine et à la mettre en valeur en l'utilisant comme un atout majeur dans l'expression de leur beauté physique.
Qu'es-ce qui vous motive à célébrer vingt ans de carrière?
Vingt ans, c'est un âge important dans la vie d'un homme. C'est à cet âge que l'enfant prend conscience des nombreuses réalités et choisi le chemin qu'il va suivre. La responsabilité est souvent grande à cette étapede la vie. Il en est de même pour ma carrière. Pendant vingt ans j'ai fait la pluie et le beau temps. Aujourd'hui je marque une pose pour apprécier mon parcours et me fixer d'autres objectifs. Mais avant, je souhaite partager ma joie avec mes fans qui m'ont permis de réaliser cet exploit. C'est ce qui justifie la réalisation d'un programme particulier pour la circonstance. De quoi est fait ce programme particulier qui marque la célébration de vosvingt années de carrière ? Ce programme a déjà démarré depuis le début du mois de septembre par un défilé de mode de mannequins dans un tissu conçu et confectionné à mon effigie juste pour la circonstance. Des stylistes tels que Nathalie Kona, Gilles Touré, Ciss St Moïse et Roger Bango on travaillé avec ce pagne et ont réalisé des modèles pour hommes et femmes de 7 à 77 ans. Ce pagne sera disponible dans toutes les capitales d'Afrique. Un logo spécial, symbole de ma carrière a été aussi confectionné et figurera désormais sur mes documents officiels. Il sera organisé dans les prochains jours, une exposition photos dans le cadrede la publication d'un ouvrage biographique sur ma vie et mon parcours. Trois concerts sont programmés en fin d'année, notamment, les 12, 19 et 26 décembre 2009, les deux premiers au Palaisde la Culture et le dernier au Palais des sports de Treichville-Abidjan. Dans quelques jours, mon nouvel album de 17 titres dénommé, «M20, 100% Zoblazo» sera disponible afin de plonger les mélomanes dans l'ambiance des festivités. Après l'étapede la Côte d'Ivoire, il y aura une tournée africaine puis européenne afin d'impliquer davantage mes fans de tous les pays du monde à cette célébration.
Vingt après «Ayibébou», votre premier album, quelle surprise réserve votre prochain opus ?
Ma prochaine oeuvre discographique est un cocktail de 17 titres chantés en différentes langues de la Côte d'Ivoire; un véritable tour d'horizon de la nation éburnéenne parce que dans ce pays nous avons envie d'unité, nous avons envie de Paix. J'ai également fait un clin d'oeil à plusieurs autres cultures d'Afrique à travers des rythmes tels que le Mbalax et biend'autres sonorités d'Afrique.
Quelle place pour le Bénin sur cet album ?
J'ai beaucoup d'admirateurs au Bénin. J'ai même un fan club présidé par mon ami, Edgard Marie de Souza. Je ne saurai donc les oublier à l'occasion d'un moment si important pour ma carrière. Le public béninois est un public assez critique, j'en ai tenu compte et je promets qu'il ne sera pas déçu en écoutant cet album. Dans le cadre de ma tournée africaine, je marquerai une pose au Bénin afin de faire la fête. Je demande à tous les Béninois de se tenir prêts pour ce grand moment. Je serai au Bénin dans la période des deux premiers trimestres de l'année 2010.
Selon vous comment peut-on définir un artiste ?
Un artiste c'est celui qui a de l'inspiration, de l'imagination, un bon savoir faire et du style. Il doit être persévérant, combattant et humble, c'est très important. On ne devient pas artiste après un album à succès. Mais on est artiste parce qu'on aréussi des années durant à maintenir le cap et rester dans le temps sans être inquiété par aucune autre tendance.
A l'avènement du Décalé coupé, le Zoblazo a connu une traversée de désert. Cela vous a d'ailleurs contraint à faire une virée vers ce rythme en vogue, afin de donnerde la voix. Cela a été ressenti pour certains de vos fans comme un déclin du grand Meiway. Qu'en dites-vous ?
C'est tant mieux, dans la vie d'un homme il y a toujours des hauts et des bas. Mais je n'ais pas encore connu de déclin. Beaucoup ne savent pas que je suis le principal précurseur du Décalé coupé. Si vous observez de près le rythme que je fais, vous constaterez que c'est seulement le nom qui a changé. Le Décalé coupé a été inspiré de ma musique. Ce n'est donc pas moi qui suis allé vers ce rythme, mais c'est plutôt de moi qu'il a été inspiré. Je ne veux pas alimenter une polémique mais ceux qui savent, comprennent de quoi je parle. L'essentiel pour moi est que cette musique a contribué à consolider l'unité nationale en Côte d'Ivoire. C'est un exploit qu'aucun homme politique n'a jamaisréussi. Pourquoi avez-vous choisi de faire de la musique ?
J'ai eu un grand père musicien, un père accordéoniste à ses heures perdues, une mère et une soeur aînée choristes de paroisse catholique. Je ne pouvais donc pas résister longtemps à l'influencede la musique sur moi dés mon jeune âge. J'ai donc commencé très tôt à louer le Seigneur. Au collège j'ai intégré le groupe « Pace », puis « Lynx groupe » et biend'autres . J'ai participé avec brio à de nombreuses compétitions musicales. Plus tard j'ai crée mon propre groupe, « Les génitos » qui a d'ailleurs connu un grand succès jusqu'en 1985 date à laquelle je suis allé approfondir mes recherches musicales en France. Là-bas, j'ai crée un autre groupe dénommé «Défense d'ivoire» composé de musiciens algériens et français. Avec ce groupe j'ai remporté le prix du club parisien, l'Excalibur. En 1989 j'airéussi à sortir mon premier album «Ayibebou» suivi du rythme Zoblazo, une musique du groupe ethnique Akan. C'est un rythme basé sur des percussions et qui se danse avec les mouchoirs blancs. Le succès de ce premier album m'a emmené à m'imposer la réalisation d'un album tous les deux ans. C'est ainsi qu'en 1991 j'ai sorti «200% Zoblazo», en 1993, «Jamais 203»(300% Zoblazo), en 1995 «Appolo95» (400% Zoblazo), en 1997, «Les génies vous parlent » (500% Zoblazo). En 1999 «Extraterrestre» a vu le jour, suivi en 2001 de «Eternel » (700%Zoblazo), «Golgotha» (800% Zoblazo), en 2004 et «9ème commandement » (900% Zoblazo) en 2006. Mon prochain album est donc celui qui sera bientôt disponible dans le cadre des festivités de mesvingt ans de carrière. Il s'appellera « M20, 100% Zoblazo ». Je profite pour remercier les membres de mon groupe « Zo gang international » pour le travail abattu depuis 1993, année de naissance du groupe jusqu'à nos jours.
Êtes-vous fier de votre parcours ?
Je ne regrette pas grande chose. Et je pense que je mérite vraiment la promesse que le gouvernement ivoirien m'a faite, relative à mon élévation à l'ordre du mérite culturel en Côte d'Ivoire. J'espère que cette distinction ne viendra pas à titre posthume comme ça été le cas pour plusieurs artistes africains.
Votre carrière n'a pas seulement été une réussite musicale, il y a eu aussi des scandales. D'aucuns disent que vous êtes homosexuel. Que répondez-vous ?
Je préfère ne pas répondre. Mais je tiens à vous informer que je suis père de neuf enfants que j'ai d'ailleurs eu avec cinq femmes différentes. Je vous laisse apprécier vous- même. J'adore la femme.
Avez-vous d'autres projets immédiats ?
J'ai de nombreux projets, mais je préfère d'abord privilégier ceux, inscrits dans le cadre de la célébration de mes vingt ans de carrière. Mon staff se fera le devoir d'annoncer les autres projets au moment opportun. Mais pour l'instant, je préfère juste dire aux Béninois que je ne saurai durer, car ils me manquent beaucoup.