« La mise en œuvre du nouveau manuel de procédures de l’examen du Brevet de technicien supérieur (Bts) a enregistré quelques difficultés d’ordre opérationnel, et autres dysfonctionnements qui n’ont en rien entaché la qualité de l’examen » a déclaré ce lundi M. Doulaye Coulibaly, Directeur des examens et concours de l’Enseignement supérieur (Decoes), qui était face à la presse pour dresser le bilan de l’examen. En effet, M. Doulaye Coulibaly a partagé avec la presse la longueur inédite de ce Bts, qui a débuté depuis le 13 juillet 2009, pour connaître son apothéose le 10 novembre 2009.
Visiblement, le déploiement du nouveau manuel de procédures avec le système visant à rendre anonymes des copies en vue de juguler la fraude, les échanges de copies n’a pas bien marché. La saisie des notes et la proclamation des résultats, des feuilles de Bouaké que l’on n’a pas retrouvé à la dernière minute. Il a fallu la création de cinq (5) méga centres de correction. Outre les problèmes de ressources humaines en quantité qui ont fait défaut à un moment donné, les infrastructures d’accueil pour permettre aux candidats de passer les examens ont posé un tant soit peu un blocage. Car, les fondateurs des écoles privées supérieures ne voulaient pas céder leurs classes pour faire les examens. C’est à l’issue des négociations pilotées par la Primature et la mise en place d’un plan B de sauvetage avec les établissements de l’enseignement primaire qu’un heureux dénouement a été trouvé. « Il nous a fallu transgresser parfois le manuel pour surmonter nos difficultés. En plus du nouveau logiciel qui ne nous facilitait pas toujours la tâche. Nous allons tirer les leçons des blocages. Dans l’avenir, nous en tiendrons compte pour améliorer l’organisation » a martelé le Directeur avant de relever qu’en toute chose, il n’existe pas d’organisation parfaite.
Au titre des réclamations, M. Doulaye Coulibaly a relevé 46 881 cas fondés et recevables. En dépit des difficultés qui ont émaillé l’examens, sur les 39 000 candidats enregistrés, il y a 800 qui sont présentés par des établissements de pays voisins tels que le Burkina Faso, le Niger, le Mali, le Congo Brazzaville, le Togo et le Bénin a souligné le conférencier. Toute chose qui démontre la qualité et la crédibilité du Bts ivoirien a-t-il insisté. Avant de conclure que le pourcentage d’admissible reste élevé 35,95% comparé à celui de l’année dernière soit plus de 20,87%.
CISSE MAMADOU
Visiblement, le déploiement du nouveau manuel de procédures avec le système visant à rendre anonymes des copies en vue de juguler la fraude, les échanges de copies n’a pas bien marché. La saisie des notes et la proclamation des résultats, des feuilles de Bouaké que l’on n’a pas retrouvé à la dernière minute. Il a fallu la création de cinq (5) méga centres de correction. Outre les problèmes de ressources humaines en quantité qui ont fait défaut à un moment donné, les infrastructures d’accueil pour permettre aux candidats de passer les examens ont posé un tant soit peu un blocage. Car, les fondateurs des écoles privées supérieures ne voulaient pas céder leurs classes pour faire les examens. C’est à l’issue des négociations pilotées par la Primature et la mise en place d’un plan B de sauvetage avec les établissements de l’enseignement primaire qu’un heureux dénouement a été trouvé. « Il nous a fallu transgresser parfois le manuel pour surmonter nos difficultés. En plus du nouveau logiciel qui ne nous facilitait pas toujours la tâche. Nous allons tirer les leçons des blocages. Dans l’avenir, nous en tiendrons compte pour améliorer l’organisation » a martelé le Directeur avant de relever qu’en toute chose, il n’existe pas d’organisation parfaite.
Au titre des réclamations, M. Doulaye Coulibaly a relevé 46 881 cas fondés et recevables. En dépit des difficultés qui ont émaillé l’examens, sur les 39 000 candidats enregistrés, il y a 800 qui sont présentés par des établissements de pays voisins tels que le Burkina Faso, le Niger, le Mali, le Congo Brazzaville, le Togo et le Bénin a souligné le conférencier. Toute chose qui démontre la qualité et la crédibilité du Bts ivoirien a-t-il insisté. Avant de conclure que le pourcentage d’admissible reste élevé 35,95% comparé à celui de l’année dernière soit plus de 20,87%.
CISSE MAMADOU