La stérilité est l’incapacité d’obtenir et/ou de garder une grossesse jusqu’à terme. Les couples qui sont confrontés à ce problème ont recours à la Procréation médicalement assistée qui présente à son tour des dangers. La prévention de la stérilité est donc primordiale.
La meilleure façon de prévenir la stérilité est la pratique de la sexualité à risques réduits. Cela passe par l’éducation des enfants et la promotion de valeurs sociales et morales dans chaque famille. C’est au cours d’un débat précédé d’une projection de film sur les dangers de la Procréation médicalement assistée (Pma) que le Pr Yangni-Angaté Koffi Hervé, directeur du Centre de formation médicale continue et de bioéthique a révélé ces informations. C’était jeudi, au siège du centre à Cocody. Les plus grandes causes de stérilité sont les avortements, les maladies sexuellement transmissibles et l’obstruction des trompes de Fallope. Étant donné que des affections vénériennes comme une infection à Chlamydia et la gonorrhée (la chaude-pisse) peuvent mener à la stérilité, il importe de prendre des précautions pour les éviter. Pour le Prof Yangni-Angaté, les parents doivent axer l’éducation de leurs enfants sur les valeurs morales et sociales et être eux-mêmes des modèles afin que les enfants ne s’adonnent pas à des pratiques telles que les avortements. L’âge est également un facteur important. Le patron de la bioéthique note que le risque de ne pas parvenir à avoir un enfant (sans aide médicale) augmente au fur et à mesure que la femme avance en âge. Les risques de ne pas avoir un enfant sont de 20 % à 35 ans et 40 % à 40 ans. Pour lui, les femmes ne devraient pas recourir à la Pma, mais plutôt à l’adoption. Car selon le scientifique, les conséquences de la Pma sont multiples.
Grossesses multiples et facteurs de risque, transfert d’anomalies à l’enfant, avortement écho-guidé sélectif des embryons. Pour le Pr Yangni-Angaté, la Pma est une technique qui règle un problème en engendrant d’autres : la réduction des embryons, en d’autres termes les avortements. Elle s’explique par une production d’embryons surnuméraires lors de la pratique de la Pma. Les embryons n’ayant pas servis à l’opération sont soit congelés, détruits soit destinés aux recherches dans des centres. « Il ne faut pas réparer un mal en créant d’autres. Il ne faut pas détruire des vies humaines pour en fabriquer une », a-t-il tranché.
Adélaïde Konin (Stagiaire)
La meilleure façon de prévenir la stérilité est la pratique de la sexualité à risques réduits. Cela passe par l’éducation des enfants et la promotion de valeurs sociales et morales dans chaque famille. C’est au cours d’un débat précédé d’une projection de film sur les dangers de la Procréation médicalement assistée (Pma) que le Pr Yangni-Angaté Koffi Hervé, directeur du Centre de formation médicale continue et de bioéthique a révélé ces informations. C’était jeudi, au siège du centre à Cocody. Les plus grandes causes de stérilité sont les avortements, les maladies sexuellement transmissibles et l’obstruction des trompes de Fallope. Étant donné que des affections vénériennes comme une infection à Chlamydia et la gonorrhée (la chaude-pisse) peuvent mener à la stérilité, il importe de prendre des précautions pour les éviter. Pour le Prof Yangni-Angaté, les parents doivent axer l’éducation de leurs enfants sur les valeurs morales et sociales et être eux-mêmes des modèles afin que les enfants ne s’adonnent pas à des pratiques telles que les avortements. L’âge est également un facteur important. Le patron de la bioéthique note que le risque de ne pas parvenir à avoir un enfant (sans aide médicale) augmente au fur et à mesure que la femme avance en âge. Les risques de ne pas avoir un enfant sont de 20 % à 35 ans et 40 % à 40 ans. Pour lui, les femmes ne devraient pas recourir à la Pma, mais plutôt à l’adoption. Car selon le scientifique, les conséquences de la Pma sont multiples.
Grossesses multiples et facteurs de risque, transfert d’anomalies à l’enfant, avortement écho-guidé sélectif des embryons. Pour le Pr Yangni-Angaté, la Pma est une technique qui règle un problème en engendrant d’autres : la réduction des embryons, en d’autres termes les avortements. Elle s’explique par une production d’embryons surnuméraires lors de la pratique de la Pma. Les embryons n’ayant pas servis à l’opération sont soit congelés, détruits soit destinés aux recherches dans des centres. « Il ne faut pas réparer un mal en créant d’autres. Il ne faut pas détruire des vies humaines pour en fabriquer une », a-t-il tranché.
Adélaïde Konin (Stagiaire)
