Moins de quatre ans après l’investiture de son premier représentant l’hinterland, M. Marcel Gossio, directeur général du Port autonome d’Abidjan par ailleurs président de la communauté portuaire a décidé de prendre ses responsabilités. Après l’investiture de M. Savadogo Mahamadou à Abobo-Dioulasso, en juillet 2007 comme son représentant au Burkina Faso, que de promesses non tenues. Malgré la volonté manifeste du Dg du Paa de répondre favorablement aux attentes des opérateurs économiques de l’hinterland, les différentes préoccupations de M. Marcel Gossio ont butté sur la mauvaise volonté de certaines autorités politiques.
Conséquences, les tracasseries avec leur corollaire de rackets, les barrages non autorisés et autres facteurs ont pesé lourd dans les échanges commerciaux entre le port d’Abidjan et l’hinterland. Pourtant, c’est devant les premières autorités politiques, administratives et syndicales des différents pays de l’hinterland qu’il a pris l’engagement ferme d’une collaboration franche. Face à la négligence de certaines autorités à accompagner son projet, il vient de trouver lui-même la solution. On peut dire que ses difficultés viennent de connaître un début de résolution par la mise en place de nouvelles technologies. C’est pour partager cette expérience avec les partenaires du Paa de l’hinterland qu’il s’est rendu depuis le dimanche 29 novembre dernier à Ouagadougou. Il est d’ailleurs annoncé à Niamey au Niger où il va remobiliser et sensibiliser les opérateurs économiques sur la compétitivité du Port autonome d’Abidjan à répondre positivement à leurs attentes.
Sériba K.
Conséquences, les tracasseries avec leur corollaire de rackets, les barrages non autorisés et autres facteurs ont pesé lourd dans les échanges commerciaux entre le port d’Abidjan et l’hinterland. Pourtant, c’est devant les premières autorités politiques, administratives et syndicales des différents pays de l’hinterland qu’il a pris l’engagement ferme d’une collaboration franche. Face à la négligence de certaines autorités à accompagner son projet, il vient de trouver lui-même la solution. On peut dire que ses difficultés viennent de connaître un début de résolution par la mise en place de nouvelles technologies. C’est pour partager cette expérience avec les partenaires du Paa de l’hinterland qu’il s’est rendu depuis le dimanche 29 novembre dernier à Ouagadougou. Il est d’ailleurs annoncé à Niamey au Niger où il va remobiliser et sensibiliser les opérateurs économiques sur la compétitivité du Port autonome d’Abidjan à répondre positivement à leurs attentes.
Sériba K.
