Il est insatiable et n’arrête pas de faire tourner son cerveau pour le compte de l’Asec Mimosas. En dépit des résultats sportifs obtenus, les réalisations en infrastructures en 20 ans, Roger Ouégnin estime qu’il n’a pas encore atteint ses objectifs pour son club.
Témoignages pathétiques et émotifs. Images saisissantes. Des scènes de joie. Des faits et gestes de fête. Tout ou presque a été réuni, hier à Sol béni, par les Actionnaires et dirigeants de l’Asec Mimosas pour rendre belle la fête des 20 ans à leur président, Me Désiré Roger Ouégnin. Naturellement la couleur dominante à cette cérémonie était le jaune et le noir. Les Actionnaires n’ont pas lésiné sur les moyens pour se rendre dans l’antre de leur club préféré. Personne n’a voulu se faire raconter ce moment unique. Tous ont voulu être témoins d’une partie de l’histoire de leur club, devenu une religion pour eux. Pour ce faire, il fallait être là tôt pour ne pas rater les moindres détails. « Mlle Kouadio », de son vrai Kouadio Kouassi Dominique, 67 ans, grand Actionnaire devant l’éternel témoigne. « J’étais actionnaire avant de naître. Si je ne venais pas à cette fête, je ne sais pas ce qui allait m’arriver. Mais je ne pouvais rater ça pour rien au monde. Pour moi, il n’y a rien de plus important que l’Asec et Roger Ouégnin. Avec ce qu’il a fait pour nous et donné à l’Asec en vingt ans de sa vie, il fallait qu’on lui rende cet hommage de son vivant. Il le mérite plus que quiconque ». Pour ses 20 de règne à la tête de l’Asec Mimosas, Me Roger Ouégnin n’a rien négligé. Il a invité ses pairs présidents de clubs, les anciens dirigeants de l’Asec, les anciennes gloires du club, les supporters, les entraîneurs, il a tenu à rendre hommage, dans son discours, à toutes ces personnes qui lui ont permis d’avoir le parcours qui est le sien en vingt ans. Vingt ans de lutte. Vingt ans d’abnégation et de conviction. Vingt ans de réussites et d’échecs cumulés. En clair, c’est vingt ans de passion. Une période qui a permis à l’Asec de gagner un trophée de ligue des champions(1998), une super Coupe(1999), 16 titres de champions de champions de Côte d’Ivoire, de construire Sol béni. Vingt ans qui ont vu passer des entraîneurs et des joueurs. Que reste-t-il encore à prouver à Roger Ouégnin ? « On n’est même pas encore à 20% de ce qui doit être une bonne appréciation de notre travail. On n’a encore rien fait ! Mon rêve, c’est qu’il y ait encore plus de cadres formés à l’Asec Mimosas, car les hommes sont importants. Asseoir des bases pour pérenniser notre œuvre. Parce qu’on perd beaucoup de personnes en route. Même en tant que président, si je dévie l’objectif, le système m’éjecte. Mon secret, c’est l’union. On a réussi à fédérer tous les états d’âme dans la même opinion ». A entendre Me Roger Ouégnin, le meilleur reste à venir. Mais comment et quand ? Une chose est certaine, c’est que beaucoup de challenges l’attendent encore. Et pas des moindres.
Tibet Kipré
Témoignages pathétiques et émotifs. Images saisissantes. Des scènes de joie. Des faits et gestes de fête. Tout ou presque a été réuni, hier à Sol béni, par les Actionnaires et dirigeants de l’Asec Mimosas pour rendre belle la fête des 20 ans à leur président, Me Désiré Roger Ouégnin. Naturellement la couleur dominante à cette cérémonie était le jaune et le noir. Les Actionnaires n’ont pas lésiné sur les moyens pour se rendre dans l’antre de leur club préféré. Personne n’a voulu se faire raconter ce moment unique. Tous ont voulu être témoins d’une partie de l’histoire de leur club, devenu une religion pour eux. Pour ce faire, il fallait être là tôt pour ne pas rater les moindres détails. « Mlle Kouadio », de son vrai Kouadio Kouassi Dominique, 67 ans, grand Actionnaire devant l’éternel témoigne. « J’étais actionnaire avant de naître. Si je ne venais pas à cette fête, je ne sais pas ce qui allait m’arriver. Mais je ne pouvais rater ça pour rien au monde. Pour moi, il n’y a rien de plus important que l’Asec et Roger Ouégnin. Avec ce qu’il a fait pour nous et donné à l’Asec en vingt ans de sa vie, il fallait qu’on lui rende cet hommage de son vivant. Il le mérite plus que quiconque ». Pour ses 20 de règne à la tête de l’Asec Mimosas, Me Roger Ouégnin n’a rien négligé. Il a invité ses pairs présidents de clubs, les anciens dirigeants de l’Asec, les anciennes gloires du club, les supporters, les entraîneurs, il a tenu à rendre hommage, dans son discours, à toutes ces personnes qui lui ont permis d’avoir le parcours qui est le sien en vingt ans. Vingt ans de lutte. Vingt ans d’abnégation et de conviction. Vingt ans de réussites et d’échecs cumulés. En clair, c’est vingt ans de passion. Une période qui a permis à l’Asec de gagner un trophée de ligue des champions(1998), une super Coupe(1999), 16 titres de champions de champions de Côte d’Ivoire, de construire Sol béni. Vingt ans qui ont vu passer des entraîneurs et des joueurs. Que reste-t-il encore à prouver à Roger Ouégnin ? « On n’est même pas encore à 20% de ce qui doit être une bonne appréciation de notre travail. On n’a encore rien fait ! Mon rêve, c’est qu’il y ait encore plus de cadres formés à l’Asec Mimosas, car les hommes sont importants. Asseoir des bases pour pérenniser notre œuvre. Parce qu’on perd beaucoup de personnes en route. Même en tant que président, si je dévie l’objectif, le système m’éjecte. Mon secret, c’est l’union. On a réussi à fédérer tous les états d’âme dans la même opinion ». A entendre Me Roger Ouégnin, le meilleur reste à venir. Mais comment et quand ? Une chose est certaine, c’est que beaucoup de challenges l’attendent encore. Et pas des moindres.
Tibet Kipré