Le président de l’Africa Sports d’Abidjan peut tranquillement continuer sa mission à la tête du club. Kuyo Téa Narcisse a eu l’approbation des supporters, le dimanche dernier lors de l’Assemblée générale du club tenue à la Bourse du Travail à Treichville (Abidjan). Satisfaits du bilan du comité directeur, les Membres associés mobilisés (MAM) ont promis soutien et assistance au président et à son équipe. Ils ont décidé de taire les querelles inutiles et de faire bloc autour de l’équipe pour atteindre ses objectifs. Si le club a perdu cette saison le titre de champion de Côte d’Ivoire qu’il a détenu depuis deux saisons, il se réjouit d’avoir remporté la Coupe nationale. Mais la perte du titre national, aux dires de Kuyo, est à mettre au compte de la mauvaise entame de la saison et des problèmes récurrents. Au chapitre des finances, le budget du club a été de 408 millions F CFA équilibré en recettes et dépenses. La participation des MAM est évaluée à 680000 F CFA pour 1180 cartes de membres vendues.
Au titre de la saison 2010, le club fonctionnera avec un budget de 550 millions. Un budget réaliste et réalisable si le club tient a renoué avec les résultats qu’il a enregistrés lors des exercices 2007 et 2008.
Toutefois, il faut noter l’absence de Vagba Alexis, vice-président chargé des finances et Bahi Antoine, président du Comité national des supporters (CNS). Accusés d’être à la base de la tentative de déstabilisation du président central, ces deux dirigeants ont préféré se terrer pour fuir le courroux des MAM.
OUATTARA Gaoussou
Au titre de la saison 2010, le club fonctionnera avec un budget de 550 millions. Un budget réaliste et réalisable si le club tient a renoué avec les résultats qu’il a enregistrés lors des exercices 2007 et 2008.
Toutefois, il faut noter l’absence de Vagba Alexis, vice-président chargé des finances et Bahi Antoine, président du Comité national des supporters (CNS). Accusés d’être à la base de la tentative de déstabilisation du président central, ces deux dirigeants ont préféré se terrer pour fuir le courroux des MAM.
OUATTARA Gaoussou