« Vous avez perdu un fils, mais la Côte d’Ivoire a perdu un grand serviteur, un travailleur » c’est par ces mots que le Ministre Ahmed Bakoyoko a salué la mémoire de son directeur de Cabinet le vendredi dernier lors de l’ultime séparation. Devant les populations de Bengué, commune situé dans le département de Boundiali, Ahmed a rendu hommage à la mémoire de ce cadre des Télécommunications, Soro Karman qui, dirige son cabinet depuis avril 2003. A l’occasion de cette inhumation, qui a vu se déplacer tout le cabinet du ministre des NTIC, la grande famille de Soro Karman a vu la solidarité de l’ensemble de la République.
Le président Laurent Gbagbo, le Premier ministre Guilaume Soro, Le Président du RDR Dr Alassane Dramane Ouattara, ont apporté soutien financier et réconfort moral à la famille. Ahmed Bakayoko attristé par le décès de son proche collaborateur, a pu trouver les mots pour réconforter la famille éplorée en insistant sur la grandeur du défunt. Il a fait savoir son parcours professionnel depuis son passage à l’école normale supérieure à la prestigieuse école supérieure des Ingénieurs des Télecom de Paris. Ahmed Bakayoko a aussi salué la brillante carrière professionnelle du défunt tant les différents postes de responsabilités occupés dans les postes et télécommunications. Ce sont différents échelons que Soro Karman a franchi avant de se retrouver à un poste de directeur de cabinet qu’il occupe depuis avril 2003. Cette longévité, Ahmed Bakayoko la met sur le compte des qualités humaines de son collaborateur. Un homme affable et brillant. Pour tes ses raisons, la nation ivoirienne a été reconnaissante au défunt. Il a été fait à titre postun commandeur dans l’ordre du mérite nationale. De La lévée de corps à Ivosep à l’enterrement à Baingué le ministère des nouvelles technologique de l’information et la communication a mis un point d’honneur à rendre hommage à Soro Karma qui repose désormais dans le caveau familial.
Désormais, plus de place à la démagogie. Le RDR a décidé de traquer le mensonge afin de le repousser au-delà des limites. Le FPI doit désormais le comprendre. Samedi, au Stade municipal de Korhogo, différents observateurs ont vite fait de comprendre car Korhogo, il y a le RDR et les autres. A en juger par la grande mobilisation de la jeunesse, sortie massivement répondre à l’invitation du ministre Ahmed Bakayoko, il n’y a plus lieu de douter. pas Korhogo ne peut pas basculer. La jeunesse départementale, le Directeur national de campagne, ainsi que le directeur central chargé de la jeunesse, n’ont –t-il pas tous insister sur la dignité, marque distinctive du peuple sénoufo. Il aura fallut cette mobilisation exceptionnelle pour montrer aux yeux de tous que le débauchage des cadres de la région encore moins des billets de banque distribués ici et là n’ont d’effet sur cette jeunesse mobilisée et engagée derrière Alassane Dramane Ouattara. Malick Coulibaly copté par le candidat Laurent Gbagbo pour des raisons tribales, n’a pas fait le poids. Il ne saura le faire car, il ne pèse rien. Aux yeux de la population korhogolaise qu’il ne le découvre réellement qu’à l’occasion de ce cette campagne électorale. Or, Korhogo n’a pas de prix. Donc, n’est pas achetable. C’est l’essentiel du message sur lequel ont insisté les différents intervenants. Le courant semble –t-il est passé entre Ahmed Bakayoko et la jeunesse de Korhogo.
Charles Sanga
Le président Laurent Gbagbo, le Premier ministre Guilaume Soro, Le Président du RDR Dr Alassane Dramane Ouattara, ont apporté soutien financier et réconfort moral à la famille. Ahmed Bakayoko attristé par le décès de son proche collaborateur, a pu trouver les mots pour réconforter la famille éplorée en insistant sur la grandeur du défunt. Il a fait savoir son parcours professionnel depuis son passage à l’école normale supérieure à la prestigieuse école supérieure des Ingénieurs des Télecom de Paris. Ahmed Bakayoko a aussi salué la brillante carrière professionnelle du défunt tant les différents postes de responsabilités occupés dans les postes et télécommunications. Ce sont différents échelons que Soro Karman a franchi avant de se retrouver à un poste de directeur de cabinet qu’il occupe depuis avril 2003. Cette longévité, Ahmed Bakayoko la met sur le compte des qualités humaines de son collaborateur. Un homme affable et brillant. Pour tes ses raisons, la nation ivoirienne a été reconnaissante au défunt. Il a été fait à titre postun commandeur dans l’ordre du mérite nationale. De La lévée de corps à Ivosep à l’enterrement à Baingué le ministère des nouvelles technologique de l’information et la communication a mis un point d’honneur à rendre hommage à Soro Karma qui repose désormais dans le caveau familial.
Désormais, plus de place à la démagogie. Le RDR a décidé de traquer le mensonge afin de le repousser au-delà des limites. Le FPI doit désormais le comprendre. Samedi, au Stade municipal de Korhogo, différents observateurs ont vite fait de comprendre car Korhogo, il y a le RDR et les autres. A en juger par la grande mobilisation de la jeunesse, sortie massivement répondre à l’invitation du ministre Ahmed Bakayoko, il n’y a plus lieu de douter. pas Korhogo ne peut pas basculer. La jeunesse départementale, le Directeur national de campagne, ainsi que le directeur central chargé de la jeunesse, n’ont –t-il pas tous insister sur la dignité, marque distinctive du peuple sénoufo. Il aura fallut cette mobilisation exceptionnelle pour montrer aux yeux de tous que le débauchage des cadres de la région encore moins des billets de banque distribués ici et là n’ont d’effet sur cette jeunesse mobilisée et engagée derrière Alassane Dramane Ouattara. Malick Coulibaly copté par le candidat Laurent Gbagbo pour des raisons tribales, n’a pas fait le poids. Il ne saura le faire car, il ne pèse rien. Aux yeux de la population korhogolaise qu’il ne le découvre réellement qu’à l’occasion de ce cette campagne électorale. Or, Korhogo n’a pas de prix. Donc, n’est pas achetable. C’est l’essentiel du message sur lequel ont insisté les différents intervenants. Le courant semble –t-il est passé entre Ahmed Bakayoko et la jeunesse de Korhogo.
Charles Sanga
